Manon en Enfer 17

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Amateur

TOURNEE SEXE 1

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Le téléphone de Manon sonne.

Elle n’a pas besoin de chercher qui appelle, le numéro est seulement connu du DRH et de Bernard le directeur commercial de la société qui emploie son mari et la prostitue en lui exerçant un chantage sur elle.

Evidemment pas de “bonjour” ni de “comment ça va”, pour eux elle n’est qu’un objet.

– la putain, j’ai une bonne nouvelle pour toi –

Manon se méfie connaissant l’homme qui n’a pas de scrupules.

– je t’ai programmé une tournée d’une semaine dans différentes villes –

– pourquoi faire –

– tu es idiote où tu le fais exprès, comme d’habitude pour utiliser ton cul avec des clients –

– je ne peux pas partir si longtemps, mon mari ne comprendra pas et j’ai des choses à faire –

– ce n’est pas un souci, pour lui un déplacement longue durée est prévu en Provence et ce que tu as à faire je m’en tape –

Comme d’habitude Manon n’a pas le choix et est contrainte d’accepter même si cela ne lui plait pas, elle prend des notes pendant que Bernard lui détaille ce qu’elle doit faire et ou elle doit aller.

Manon prépare une valise, hormis les vêtements sexy mais pas pute pour la route et les moments ou elle ne devra pas s’exhiber, elle choisit des maquillages voyants ainsi que des sous-vêtements, maillots, corsages, bas et chaussures qui la font ressembler à ce qu’elle est maintenant: une prostituée.

Obéissant aux directives reçues elle passe à la réception de l’hôtel ou le directeur commercial l’envoie habituellement offrir son corps aux clients de la société.

Elle y récupère deux mini caméras, une qu’elle devra mettre dans les chambres ou elle séjournera et une qui ne quittera pas son sac à main pour les fois ou elle devra se prostituer au domicile des clients.

Elle emporte aussi une bonne provision de cartes SD. Le réceptionniste lui explique le fonctionnement et quelle carte elle doit mettre en fonction de temps à passer avec le ou les clients mais tout cela elle le sait déjà ce qui ne l’empêche pas de faire l’ignorante.

Le lundi Manon quitte son domicile pour arriver en début d’après-midi dans une zone commerciale à la périphérie de Nantes.

Peu après 13 heures 30 elle gare sa voiture sur le parking d’un hôtel et se rend à la réception.

– une chambre est réservée au nom de Simon, je suis son épouse, il va venir plus tard –

Elle récupère un code et se rend dans la chambre réservée. Elle inspecte les lieux, donne de la clarté en manipulant le store occultant ensuite elle pose la mini caméra à l’endroit qu’elle juge le mieux approprié puis la met en marche.

Elle se change mettant un maillot moulant, sans soutien-gorge, une “plus que mini” jupe rouge, des chaussures à hauts talons assorties.

Manon sort de l’hôtel et adossée à sa voiture elle attend. Elle ne manque pas d’attirer le regard de deux personnes (le responsable et une femme de chambre) qui travaillent dans l’établissement quand il passent devant elle.

Les pointes de ses seins dardent à travers le tissu et sa poitrine doit être plus ou moins visible à travers le vêtement avec le soleil.

Une BMW arrive et se gare non loin d’elle, un homme brun moustachu en costume cravate s’approche d’elle.

– je suppose que c’est avec toi que j’ai rendez-vous –

Evidemment avec sa tenue le doute n’est pas possible.

– oui monsieur –

– je m’appelle Pascal, allons y –

Ils entrent dans l’hôtel et longeant le couloir des chambres du rez-de-chaussée Manon se dirige vers une porte et tape un code. Elle ouvre et laisse l’homme pénétrer dans la chambre puis entre à son tour et ferme la porte.

Sans attendre Manon se déshabille puis s’approche de Pascal. Elle l’aide à retirer ses vêtements.

Debout il le pelote pendant qu’elle mersin escort en fait autant sur lui tout en embrassant et léchant son corps. Elle commence par le torse, descend sur le ventre, arrive sur les cuisses pour finir sur le pénis de bonnes dimensions.

Elle se baisse en pliant les jambes, lèche le sexe et suçote le gland avant d’enfoncer le membre dans sa bouche.

Pascal la repousse, l’attrape par les bras et l’entraîne vers le lit.

– viens, on sera mieux sur le lit –

Une fois qu’il est allongé Manon se met à genoux le cul tourné vers lui et se penche. Pendant qu’il caresse ses fesses et son sexe elle embrasse et lèche la queue puis l’enfonce dans sa bouche.

Sans se préoccuper de l’endroit de son corps ou Pascal met ses mains elle commence à sucer le pénis d’abord doucement puis avec des aller-retour de plus en plus rapides de ses lèvres sur le membre de son partenaire.

Quelques minutes lui suffisent pour faire jouir l’homme dont le corps se crispe. La queue gonfle encore et s’agite dans la bouche de Manon et envoie des jets de sperme dans sa gorge. Manon avale consciencieusement la semence et continue la fellation jusqu’à ce que l’homme la repousse.

Manon se retrouve couchée sur le dos les jambes écartées, l’homme s’allonge sur elle et la pénètre. Il donne des coups de reins pour faire aller et venir son membre dans la chatte pendant qu’elle fait bouger son bassin en essayant de suivre le même rythme que lui.

Pascal en profite pour peloter la poitrine de Manon et lui tripoter les tétons pendant qu’elle caresse son dos ou ceint sa taille de ses bras pour se coller à lui.

Manon sent la queue tressauter dans sa chatte et la semence couler. L’homme se retire et s’allonge à côté d’elle.

Sans lui laisser le temps de respirer Manon caresse le ventre puis le sexe visqueux de Pascal avant de le masturber.

Elle n’a pas besoin de s’activer longtemps, il bande de nouveau. C’est reparti pour une nouvelle fellation jusqu’au moment où l’homme a envie de mettre son pénis ailleurs que dans la bouche de Manon.

Il lui demande de se mettre à genoux, les reins creusés et la tête dans les draps.

A genoux derrière elle Pascal introduit sa queue dans sa chatte puis la fait aller et venir en donnant des coups de reins. Après un moment la verge sort de la chatte et vient au contact de l’anus de Manon.

– je vais te sodomiser, Bernard m’a dit que tu acceptais tout –

– faites ce que dont avez envie, je suis à votre service monsieur –

Il ne se fait pas prier et se sert du poids de son corps pour faire pénétrer son pénis dans le cul de Manon et l’enfoncer entièrement à l’intérieur. Pascal la sodomise d’abord doucement puis à grands coups de reins.

Il s’active pendant un moment avant d’arroser le fondement de Manon de son sperme. La queue sort du corps de Manon et se recroqueville pendant que l’homme s’allonge.

Après avoir attendu quelques minutes Manon se remet au travail d’abord avec ses mains puis avec sa bouche pour remettre en forme l’homme et y arrive sans trop de difficultés.

C’est elle qui prend les initiatives. Elle s’accroupit au dessus de Pascal, les jambes de chaque côté de son corps et introduit la queue dans sa chatte. Elle donne des mouvements verticaux à son corps pour faire aller et venir le membre en elle.

Elle s’active un moment avant de soulever ses fesses et de s’introduire le pénis dans l’anus.

De nouveau elle donne des coups de reins de plus en plus rapides pendant que l’homme s’en prend à ses seins et ses tétons.

Les va-et-vient dans son cul durent un bon moment avant que la queue ne s’agite et envoie du sperme dans ses intestins.

Après avoir récupéré un peu son client décide d’aller se nettoyer dans la salle de bain puis muğla escort se rhabille. Avant de sortir de la chambre il lui dit:

– c’était bien, Bernard sait choisir ses prostituées, je lui demanderai de te faire venir de nouveau –

Manon ne répond pas mais espère ne plus revenir ici.

Une fois le client parti Manon se lave puis remet ses vêtements de femme honnête.

Elle sort de l’hôtel, monte dans sa voiture et prend la direction du Mans ou elle a un rendez-vous le soir.

Dans une zone située au nord de la ville, grâce à son GPS elle trouve facilement l’hôtel ou une chambre l’attend. Bernard lui a dit qu’elle doit passer la nuit avec un client et rester sur place le mardi pour donner du plaisir à plusieurs personnes.

Un mot l’attend à la réception de l’hôtel. “viens me retrouver dans restaurant “le bon coin” à 20 heures, tu demanderas Florent.

Manon a le temps de mettre en place la mini caméra dans la chambre et de se préparer. Elle s’habille sexy mais pas pute pour ne pas choquer le personnel du restaurant et les convives.

Arrivée au restaurant la femme qui place les clients la reçoit et lui indique la table ou Florent l’attend. C’est un homme charmant, même s’il n’est pas très beau, qui se lève pour l’accueillir puis lui fait la conversation comme à une femme normale.

Apéritif, un peu de vin et de très bons mets, Manon ne s’attendait pas à cet excellent repas.

Ils gagnent ensemble l’hôtel et l’homme laisse Manon entrer la première dans la chambre. Debout ils s’embrassent et se caressent par dessus les vêtements puis se déshabillent mutuellement.

Une fois sur le lit Manon embrasse et lèche le torse, le ventre puis les cuisses de l’homme avant de s’en prendre à son sexe. Pendant qu’elle lui fait une pipe il caresse ses fesses et sa chatte puis la doigte.

Un doigt s’égare dans l’anus de Manon. Son clitoris lui aussi est pris pour cible ce qui lui fait accélérer la fellation.

La queue s’agite dans la bouche de Manon et des jets de sperme frappent sa gorge, elle avale avant de continuer à sucer.

Florent prend l’initiative et couche sa partenaire sur le dos, il s’allonge sur elle et sa verge pénètre l’intimité de Manon.

Tous deux remuent de concert jusqu’au moment ou il éjacule dans le vagin de Manon. Il se retire et s’allonge sur le lit.

Manon ne perd pas de temps et caresse le membre souillé de sperme qui diminue de volume puis elle le masturbe.

Sans trop de difficultés elle le remet en érection puis lui fait une nouvelle fellation.

Florent lui demande de se mettre à genoux puis se place derrière elle, il enfonce son pénis dans l’anus de Manon et la sodomise à grands coups de reins tout en laissant une de ses mains agrippée à un sein.

Il œuvre un bon moment avant que son membre ne tressaute dans le cul de Manon et l’arrose de sperme.

Ils sont maintenant allongés côte à côte sur le lit et après un court moment de répit se caressent puis Manon reprend l’initiative.

Elle se met à genoux, malaxe et caresse la queue ramollie pendant un moment, la masturbe d’abord doucement puis de plus en plus vigoureusement jusqu’à ce qu’il bande.

Elle se penche sur le sexe, lèche puis suce le membre pendant un moment jusqu’à ce que son partenaire veuille passer à autre chose.

Elle se couche sur le dos et Florent se met sur elle puis la pénètre.

La queue fait des aller-retour dans sa chatte pendant un bon moment avant que l’homme ne replie et relève les jambes de Manon. Le membre sort de la chatte et après s’être déplacé entre les fesses de Manon il s’enfonce dans l’anus.

Florent la sodomise à grands coups de reins rapides pendant qu’elle caresse et embrasse son torse. Décidé à faire durer le plaisir la queue de l’homme passe de la chatte nevşehir escort à l’anus et inversement plusieurs fois.

Manon éprouve de plus en plus de plaisir et au bout d’un moment ne peut plus se retenir, elle se raidit et prise de spasmes jouit, de la cyprine s’échappe de son vagin.

Satisfait de ce qui est arrivé Florent continue à la défoncer de plus belle et finit par arroser de nouveau le cul de Manon de sperme.

Allongés côte à côte, personne ne cherche à reprendre les ébats et le couple s’endort rapidement.

Pendant la nuit pendant qu’elle dort couchée sur le côté et tournant le dos à Florent une main passée entre ses jambes vient caresser le sexe de Manon qui se réveille instantanément.

Florent lui plie les jambes pour que ses genoux soient en contact avec sa poitrine et que son sexe soit bien accessible, il se colle contre elle et sa queue qui est en érection pénètre la chatte de Manon puis y fait des va-et-vient.

En même temps qu’il donne des coups de reins il pelote un sein ou triture un téton, pendant ce temps elle lui malaxe les testicules ou caresse une de ses cuisses.

Le plaisir monte dans le ventre de Manon mais pas assez pour qu’elle jouisse car son partenaire se laisse aller et éjacule dans son vagin puis se rendort pendant que son pénis rétrécit et sort de la grotte de Manon.

Quelques heures plus tard c’est Manon qui réveille Florent en le caressant et en lui faisant une fellation qui finit par le faire bander.

Comme il s’est mis sur le dos Manon se positionne sur lui, les jambes de chaque côté de son corps, elle enfonce la queue dans sa chatte et fait bouger son corps pour faire aller et venir le membre en elle.

Au bout d’un moment elle soulève ses fesses, la verge quitte sa chatte, elle la met contre son anus puis se baisse pour la faire pénétrer dedans avant de se défoncer elle même en donnant des coups de reins.

Pendant ce temps Florent caresse et malaxe ses seins et énerve les tétons qui sont érigés.

Manon s’active un bon moment avant qu’elle ne sente le membre tressauter dans son cul et y éjaculer.

Elle se laisse tomber sur le lit et se rendort.

Il est 6 heures du matin, Florent se réveille et caresse le sexe de Manon qui aussitôt ouvre les yeux.

Elle pose une main sur le pénis de Florent et le caresse avant de le masturber. L’érection ne se fait pas attendre.

Sans parler elle se glisse sous les draps, enfonce la queue de son partenaire dans sa bouche et lui fait une pipe.

Désirant autre chose Florent repousse la tête de Manon puis vient s’allonger sur elle.

Sa queue pénètre dans la chatte et ils remuent de concert.

Après un moment l’homme replie et relève les jambes de Manon puis laisse sa verge sortir de la chatte avant de l’enfoncer dans l’anus.

Il la sodomise pendant un moment avant de se déplacer et de mettre sa queue dans la bouche de Manon.

Il donne quelques coups de reins pour faire aller et venir son membre dans la cavité buccale et rapidement éjacule dans la gorge de Manon qui ne se fait pas prier pour avaler la semence.

Chacun leur tour ils vont faire leur toilette puis rhabillés ils déjeunent ensemble.

Florent s’en va après avoir embrassé Manon sur la bouche et lui avoir fait des compliments.

Le mardi matin Manon fait l’amour à un homme qui a des difficultés lorsqu’elle veut le faire bander puis éjaculer une troisième fois. Elle doit dépense beaucoup d’énergie en faisant monter et descendre son corps installée à califourchon sur lui.

A midi elle déjeune dans une cafétéria proche.

L’après-midi elle donne du plaisir à un client à 14 heures puis à un autre homme à 17 heures.

Elle dîne avant de satisfaire sexuellement un dernier client à 21 heures.

Lors de ces ébats sa bouche, sa chatte et son cul ne sont pas ménagés et reçoivent leur lot de sperme.

Manon passe une nuit tranquille dans la chambre d’hôtel.

Le mercredi matin après avoir déjeuné à l’hôtel Manon part de bonne heure pour se rendre à Tours et ne pas arriver en retard à son rendez-vous fixé à 10 heures.

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Folies sur la Plage Ch. 02

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Cock

Ch. 02: Beach folly

Le sentier menant au parking à voitures était perdu dans les ténèbres.

De ce fait, Lisa ouvrait lentement le chemin, ils étaient à peu près à mi-parcours. Lisa pensait qu’elle ne devrait pas conduire, elle était trop éméchée.

– “Bouge toi les fesses …” se plaignit Chris en la heurtant.

Lisa jeta un oeil par dessus son épaule et lui jeta une framboise à la tête. Effrontément elle se pencha en avant relevant d’une chiquenaude sa courte jupe sur sa croupe avenante.

La réponse de Chris ne tarda pas, il lui claqua soudain le baigneur de la main droite, Lisa bondit en avant en criant :

– “Ouille!….”

– “Recommence ça et je te mords les fesses …” la menaça-t-il hilare.

– “Ohhhhhh … Hummmmm ….. T’oserais pas … Et peut être bien que j’aimerai ça!….” roucoula-t-elle insolemment tout en continuant son long chemin dans la sente étroite et obscure.

Elle se voyait déjà roulée en boule dans la chaude tiédeur de son confortable lit, elle ouvrirait alors le tiroir de la table de nuit et empoignerait son petit vibromasseur et se travaillerait frénétiquement le clito et la chatte.

Lisa savait qu’elle n’attendrait pas longtemps son premier orgasme, spé-cialement si elle évoquait l’image de la grosse bite bandée de Chris.

– “Si seulement j’avais 10 ans de mois et si j’étais célibataire!…….”

Perdue dans ses pensées, presque par accident Lisa laissa tomber sa serviette et s’arrêta pour la rattraper.

Comme elle se courbait pour la ramasser Chris vit que sa jupe remontait sur ses fesses. Il pensa qu’elle le provoquait, il avait vraiment l’intention de lui mordre les fesses cette fois si elle ne hâtait pas le pas.

Lisa hésitait, tout en se penchant elle réfléchissait, elle n’était plus si sûre de ne pas avoir l’intention d’aller plus loin avec lui.

Ce devait encore être le vin.

– “Que reluques-tu?…..” l’alluma-t-elle encore.

De sa main libre elle releva un peu plus sa jupe et elle remua la croupe pour le provoquer, prête à bondir s’il faisait un mouvement.

– “Allez mon mignon, lance-toi!….”

Tout en reluquant lubriquement ses fesses il s’approcha lentement et stoppa brusquement.

– “Froussard!….” se moqua-t-elle remarquant que quelque chose détournait brusquement son attention.

– “Hummmm … Lisa …..On vient vers nous …..” balbutia Chris regar-dant loin devant eux.

Lisa pensa que c’était une ruse destinée à détourner son attention et ….. Peut-être bien qu’il voulait vraiment lui mordre les fesses. Elle tourna légèrement la tête, s’attendant à sentir, d’une seconde à l’autre, ses dents s’imprimer dans la chair tendre de sa croupe.

C’est alors qu’a sa grande surprise, elle vit apparaître sous son nez des pieds nus.

– “Et merde!…. Vous nous gênez!…”

Elle se redressa prestement, lissant sa jupe vers le bas tout en dévisa-geant ce grand gaillard qui lui bloquait le passage.

– “Pardon, nous voudrions passer …” pria-t-elle cet étranger. Lisa remarqua qu’il la dévisageait menaçant. Il fait bien 1,90 m de haut, pas rasé, les cheveux noirs, et qui ne portait qu’un short et un tee-shirt.

Il avait une cannette de bière en main. Son coeur se mit à battre la cha-made alors qu’elle entreprenait de le countourner.

Soudain l’étranger tendit les bras interrompant son mouvement.

– “Ne soyez donc pas si pressée ma p’tite dame!…… ” éructa-t-il lui agrippant la taille.

– “A te voir chanceler, je me demandais, si tu voudrais pas venir faire un petit tour avec moi, histoire de te requinquer, de partager une canette de bière et de faire connaissance!….”

Lisa était horrifiée, elle reprit ses esprits et voulut le repousser, libérer le passage.

– “Laissez nous passer ” s’exclama-t-elle rageusement.

– “Hey mon gars, veux-tu bien nous laisser passer!…..” intervint Chris.

– “Ta gueule petit con!….” ricana l’étranger resserrant son étreinte autour de la taille de Lisa.

Chris s’ébroua et fit un pas en avant se préparant à intervenir, mais sou-dain un bras encercla sa gorge. Il se débattit. Puis il vit un reflet d’acier …. Il se figea. à la vue du couteau qui le menaçait.

– “Que nous veulent ces salauds?….” se demandait-il perplexe.

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Une décharge d’adrénaline courait dans les veines de Larry, il était tout surpris de voir à quel point c’était facile. Tout se passait exactement comme l’avait prédit Stumpy.

La jeune femme se débattait comme une chatte sauvage, tout spéciale-ment lorsque qu’ayant balancé sa canette vide il passa la main sous sa courte jupe, elle n’avait visiblement pas du tout aimé son attitude!

Elle se calma rapidement lorsqu’il sortit son couteau.

Quelques menaces et elle le suivit docilement empruntant le petit sentier qui zigzaguait en direction du camp de camping. Jusqu’ici tout allait bien ……..

Finalement, ils s’étaient drôlement vite résignés à leur sort.

Deux autres femmes avaient attirées leur attention, deux femmes dans la trentaine, diyarbakır escort malheureusement elles étaient parties trop tôt, en même temps que de nombreux autres baigneurs. Stumpy avait décidé que c’était trop risqué, qu’il valait mieux piéger cette femme mure et son jeune amant. Cela serait facile avait-il ajouté.

Chris avait ligoté les poignets de Chris dans son dos. Avec Stumpy ils le tenaient fermement en le guidant vers le camp.

Ce n’était d’ailleurs pas leur camp, Ils lavaient remarqué cette masure il a quelques semaines, c’était la cabane d’un vieux clochard avec qui ils s’étaient liés. Stumpy avait donné une caisse de bière au vieil homme en échange il avait promis de leur laisser sa cabane pour quelques heures.

Il avait tout préparé minutieusement. Ils voyaient la main de Larry posée sur la nuque de la femme juste devant eux. Ils n’avaient plus loin à aller.

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Lisa distingua une ouverture dans les broussailles épaisses. Elle était pétrifiée de peur. Son coeur battait la chamade.

– “Que nous veulent-ils vraiment?….” s’inquiétait-elle.

– “Veulent ils nous dévaliser …Ou pire encore?……”

Elle écoutait Chris chercher à les raisonner sans aucun succès.

Elle l’entendit crier lorsqu’ils lui martelèrent le dos de coups de poings.

– “Oh mon Dieu, pourquoi cela nous arrive-t-il à nous?…… ” s’affo-lait-elle alors qu’elle mettait le pied dans une petite clairière.

Elle se trouvait face à un appentis fait vieilles tôles ondulées.

La visibilité était bien meilleure et elle distinguait nettement un vieux ma-telas étalé sous l’abri de fortune.

Des cannettes de bière vides gisaient ça autour d’une vieille table de cuisine en acier, une paire de chaises se tenaient au coeur des immon-dices et des défroques.

L’homme qui la tenait part le cou la poussa rudement vers le matelas et la força à s’y installer.

Lisa se retourna prestement pour affronter son ravisseur.

– “Que voulez-vous?…. Je n’ai pas beaucoup d’argent sur moi …… Peut-être 150 $ … Je vous les donne!……’ les implorait-elle éper-due.

– “Ouai …. On a ce qu’on veut …. Merci pour ton offre!…. gloussa Larry en retour.

Stumpy et Gus forcèrent Chtis à s’asseoir au sol contre un arbuste. Chris le ligota alors au petit tronc. Puis il sortit de sa poche un rouleau d’adhé-sif, y fit un trou puis en bâillonna Chris.

Ils concentrèrent alors leur attention sur Lisa qui était assise angoissée sur le vieux matelas aux cotés de Larry.

Lisa n’était pas idiote, elle se doutait de ce qui allait advenir. Elle regar-dait affolée les deux hommes s’approcher d’elle.

– “Vous n’allez tout de même pas ….. Attendez …. Laissez moi aller à la banque et je …. Je vous donnerai assez d’argent, pour vous offrir une prostituée si vous y tenez ….. Ce sera bien mieux …. Je … Je ne veux pas faire ça ….. S’il vous plait ….. Non…. laissez nous …..”

– “Tu te crois trop bien pour nous?…..” l’interrogea Gus âprement.

– “Peut être bien que tu préfères faire ça avec ton petit ami …”

Lisa le coupa :

– “Ce n’est pas mon petit ami!…..”

Larry lui saisit la main gauche et la leva, le petit anneau d’or brillait sur sa peau bronzée.

– “T’es mariée à ce que je vois!…. C’est ton mari alors?…..” ajouta-t-il menaçant.

– “Non ….” s’exclama-t-elle vivement.

– “Il me semblait un peu jeune pour ça!….. C’est donc ton amant!…..” poursuivit Larry imperturbable.

– “Ca fait du bien une jeune bite, n’est ce pas?……” commenta-t-il glissant sa main sous sa jupe la remontant légèrement.

– “Non …. Nous ne sommes que des amis …” rétorqua-t-elle es-sayant de repousser sa main inquisitrice.

La lumière diminuait. Lisa distinguait plus nettement Chris plus. Les deux autres hommes s’assirent sur le matelas à ses cotés. Elle avait envie de pleurer. Les plus grand lui relevait toujours la jupe en lui maintenant fer-mement le cou, sa joue mal rasée lui irritait la peau.

– -“Dans ce cas, où est ton mari?….” l’interrogea Gus.

– “Sait-il que tu allumes avec ton petit ami?…… On vous a vu sur la plage, tu étalais tes appâts sous ses yeux concupiscents!….. A croire que tu voulais qu’il devienne plus que ton ami!…..”

Lisa se contenta de les supplier :

– “S’il vous plait ….. Laissez nous partir!…..”

– “C’est d’accord ma chérie …. On vous laissera partir tous les deux …. Dès qu’on aura fini de te baiser!…. Qu’en penses-tu?…..” l’informa carrément Stumpy.

– “Nonnnnn …. S’il vous plait …… Ne faites pas ça ….. Je vous en prie …” s’affola-t-elle éperdue.

Il faisait noir maintenant. Gus alluma une cigarette légère, fouilla les lieux et trouva enfin une petite lampe à gaz qui pendait dans un coin de l’appentis, il l’alluma cela éclaira immédiatement l’aire autour du matelas d’une douce lumière.

Larry allongea Lisa sur le dos, il la meurtrit en l’ui ouvrant de force les cuisses. Il s’était edirne escort débrouillé pour retrousser sa jupe au dessus de sa taille et glissait une main exploratrice dans son cache sexe.

– “Laisse toi faire salope …. Montre toi docile … préférerais-tu te faire violenter?……” grommela Larry à son oreille.

– “On peut faire ça gentiment …. ou … te brutaliser … A toi de choisir mon petit sucre!….”

Lisa cherchait désespérément à le repousser. Elle voyait ses deux com-parses assis qui regardaient Larry la peloter impitoyablement.

– “Non … Je ne veux pas faire ça …… Laissez nous partir, s’il vous plait ….. Je vous en prie Je ne veux pas baiser avec vous …. Avec n’importe lequel d’entre vous!….” les implorait-elle frappant Larry de ses petits poings.

– “Tenez lui les mains les gars ….. Avant qu’elle ne me lacère le dos ….. ” grogna Larry.

Chris se sentait désolé de ne pouvoir intervenir. Il ne pouvait qu’assister impuissant à la scène se déroulant sous ses yeux.

Bien q’étroitement entravé, il continuait à se débattre dans l’espoir de se libérer.

Il était sur que deux des agresseurs étaient ces hommes qui avaient importunés Lisa quelques heures plus tôt sur la plage.

Il avait une excellente mémoire visuelle, et il était déterminé à mémoriser chaque trait de leurs trois assaillants pour les décrire clairement aux ins-pecteurs plus tard.

Il les avait clairement entendu clamer leurs intentions, visiblement ils avaient programmé de violer Lisa.

Silencieusement, il espérait que Lisa se résigne de peur de les voir s’en prendre violemment à elle.

******************************************

Larry n’avait pas pu tirer son coup, ces dernières semaines, pas depuis ce jour où ils avaient été retrouvés ivres derrière la vieille église en ville.

Ca avait été facile, trop facile juste une paire de cannetes de bière et cette femme noire s’était fait baiser par Stumpy et lui alors que son petit mari blanc ivre mort ronflait à leurs cotés.

Son con était aussi large qu’un seau se rappelait-il grossièrement. Il était heureux de disposer de capotes, il avait peur que cette salope de fe-melle soit porteuse de MST.

Cette femme qui se débattait actuellement entre ses bras avait beaucoup plus de classe, c’était une femme mariée, attrayante, svelte et propre.

Un peu pus vieille qu’il l’avait supposé de prime abord, mais c’était bien ainsi. Il avait décidé qu’il la baiserait à cru, qu’il la remplirait la chatte de sa semence. Il était encore plus excité à cette idée.

Lisa ne pouvait plus bouger ses bras maintenant, le petit gros lui tenait fermement par les poignets au-dessus de la tête.

Elle lutta encore quelques instants résistant à l’homme sui s’était étendu sur elle alors qu’il cherchait à lui écarter les cuisses.

Dans la bagarre, sa brassière avait remonté au dessus de sa poitrine et elle sentait que l’un d’eux lui pelotait sauvagement les nibards.

Elle tourna la tête de coté et ferma les yeux alors qu’une main fureteuse repoussait la ficelle de son string sur le coté.

Elle maintenait ses cuisses aussi serrées qu’elle le pouvait l’une contre l’autre, mais un doigt impatient se mit à parcourir sa fente livrée la lubricité de son ravisseur, entrouvrant ses babines gonflées.

Elle avait des crampes dans les jambes à force de crisper ses muscles, c’était à hurler.

L’homme allongé sur elle était trop fort pour elle, et elle ne put lui résister bien longtemps, bientôt contrainte à écarter les cuisses en grand.

Larry jubilait, son érection grandissait, la salope avait la chatte rasée.

Ses babines étaient douces et certainement humides …. il aimait la ma-nière dont elle tentait de ses défendre.

Il se glissa entre ses cuisses ouvertes, il se trémoussa pour libérer sa queue de son short et se débrouilla pour rouler son short sur ses fesses avant de se replacer en bonne position.

Par tous les Dieux, il ne pouvait plus attendre plus longtemps!

Elle le sentait tâtonner à l’orée de sa féminité, puis frotter sa bite de bas en haut dans sa fente. Lisa crispa ses muscles vaginaux aussi étroite-ment que possible pour l’empêcher de la pénétrer, bien qu’elle sache que la suite était inévitable. Il allait la forcer, elle ne pouvait qu’espérer cela irait vite.

Gus voyait les muscles du cul nu de Larry se crisper et se crisper au dessus de sa partenaire.

– “Elle est bonne? … Tu te régales?….” interrogea-t-il excité comme un poux.

Gus n’avait jamais de choses de ce genre auparavant; tout cela lui sem-blait irréel, trop facile en quelque sorte.

Il continuait à lui malaxer les nichons, il pensait qu’elle avait vraiment de ravissants nibards, doux, fermes ses tétons étaient étonnamment durs.

Il espérait que Larry jouisse rapidement pour qu’il puisse prendre son tour, il pensa brièvement à sa petite amie, il elle était moins bine que leur proie, bien qu’elle soit beaucoup plus jeune que cette garce, elle était bien moins jolie et trop enrobée.

– “Relaxe edirne escort bayan toi salope …” lui conseilla Larry continuant à la forcer.

– “Je vais te baiser comme ça; longuement … Jusqu’au moment ou tu te mettras à participer!….” lui grogna-t-il à l’oreille.

– “Elle est drôlement étroite les mecs!….. Je vous dis que ça!…. Mais elle ne le sera plus très longtemps!….. Je vais bien l’élargir!….. ” répondit-il hilare à Gus.

Lisa sentait ses doigts lui écarter les babines, elle avait crié lorsqu’il était imposé dans sa chatte. Il la baisait rudement depuis un bon moment, ses muscles se détendaient peu à peu, son corps se relaxait.

Larry extirpa son doigt de sa fente et le fit sentir à Gus. Ses flagrances embaumaient l’air environnant.

Gus gloussa de plaisir, ce serait bientôt à son tour de la posséder.

Larry remit à la main à sa fente pour s’aider à la maintenir béante, il sen-tait sa résistance s’effondrer.

Il continuait à la fourrer âprement de sa grosse bite turgescente allant et venant efficacement dans sa cramouille qui s’embrasait peu à peu.

Lisa sentait son haleine dans son cou. Elle puait la bière éventée.

Elle était consciente de la taille du gland qui fouillait les replis de sa fente, Larry extirpa sa bite et adopta un autre angle d’attaque. Il sentait son jus suinter de sa chatte et lubrifier lentement le passage.

Larry tendit le bras pour saisir sa jambe droite à hauteur du genoux, puis il la força à la courber et parvint ainsi à lui ouvrir plus largement les cuis-ses. Cela suffirait certainement.

– “Calme toi …. Tu vas aimer ça …. N’est ce pas … Hey?…..”

– “Nonnnnn …. Arghhhhhhhh ….. Nonnnn ….. Mmmmmm …” gémis-sait Lisa affolée.

Elle sentait progresser graduellement, il la pénétrait de plus en plus pro-fondément.

Jambes repliées, elle ne pouvait plus retarder l’effraction de son utérus.

Il hésita quelque peu, puis trouvant le bon angle, il poussa la pénétrant plus aisément cette fois, à force de rudes tripotages elle avait secrété suffisamment de cyprine pour que son conduit soit correctement lubrifié.

C’était la première fois depuis bien des années qu’un autre que son mari vissait sa bite dans sa chatte.

Elle tenta de ne pas faire de comparaison, mais la bite de son assaillant s’avérait vraiment hors norme, ça elle en était certaine.

– “C’est ça ma petite salope …. C’est pas si mauvais …. C’est …. Hmmppppp …… ” murmurait Larry à son oreille alors qu’il s’en-fouissait entièrement dans sa chatte accueillante.

– “Elle est drôlement chaude …. Les gars …. Une vraie fournaise …. Je suis enfoncé à fond dans sa chatte jusqu’à la garde….. Ohhh yeahhhhhhhh ….. ” avisa-t-il ses copains tout en commençant à la labourer lentement.

***********************************

Chris s’efforçait de ne pas regarder, il ne voulait pas voir ce spectacle dont il était témoin.

Le grand gaillard allongé entre les cuisses de Lisa s’était relevé sur les genoux et le forait en profondeur.

Chris entendait ses comparses rire à gorge déployée en encourageant leur copain qui la travaillait d’amples coups de boutoirs.

La rage de Chris était intense, mais il était impuissant, il ne pouvait faire cesser leurs infâmes assauts.

Il ne pouvait qu’espérer que Lisa ne soit pas trop traumatisée et meurtrie. Il pouvait à peine se redresser pour mieux entendre les sons qui provenaient du couple en pleine copulation. Chris percevait nettement le bruit des chairs s’entrechoquant, ainsi que celui des coulissements dans son vagin lubrifié.

Il ne pouvait pas non plus ignorer ses grognements qui correspondaient aux efforts frénétiques de son violeur. Chris aurait voulu leur crier de ne pas la blesser, mais la bande adhésive le bâillonnant lui interdisait de proférer le moindre son.

****************************************

Lisa sentait son chevaucheur augmenter le rythme de ses allées et venues, elle savait qu’il était prêt de conclure, elle se réjouissait que cela n’ait pas pris trop longtemps, peut être bien quelques minutes au plus.

Sa respiration devenait plus rapide, il se redressa cherchant à poser ses chevilles sur épaules pour parfaire ses pénétrations, c’était assez dou-loureux.

Il s’enfonçait un peu trop profondément dans sa chatte et elle lutta pour diminuer l’amplitude de ses coups de boutoirs. Elle leva les yeux et vit qu’il jetait la tête en arrière en mugissant son plaisir.

Lisa était vaguement consciente des grognements qu’elle poussait involontairement à chaque âpre intromission dans sa fente distendue.

– “S’il vous plait ….. Arghhhhhhh … Ne ….. Ne jouissez pas … Ne me jouissez pas dans la chatte ….. ” l’implorait Lisa haletant entre deux coups de boutoirs forcenés.

Cette supplique ne fit qu’éperonner Larry.

– “Comme si j’allais me passer de gicler dans sa chatte!…..”pensa-t-il ironiquement

– “Ouai … Bien sur …. Ne te tracasse donc pas …..” rigola-t-il railleur, la bourrant de plus en plus vite alors que son plaisir grandissait.

Quelques moments plus tard il éjacula profondément fiché dans son uté-rus.

– “Oh … Oui …. Que c’est bon … Prends ça …. Oui …” grogna-t-il sourdement tout en éjaculant à gros bouillon dans sa fente asser-vie, se soulageant de la pression qui lui broyait les burnes.

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#040-Fantasieland 09

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Asian

Vorwort:

Eine neue Geschichte aus der Fantasieland-Reihe, mit neuen Charakteren aus der Welt meiner sexuellen Gedankenspiele.

Sleepover — Karin

Die achtzehnjährige Sandra stand nach dem Duschen vor dem Spiegel im Bad und betrachtete ihren nackten Körper. Sandra hatte wunderschöne, feste Brüste. Kleine Warzen auf kleinen Warzenhöfen und von der Größe her wie schöne, große, reife Äpfel. Sie legte großen Wert darauf, dass sie am ganzen Körper glatt rasiert war. Sandras 58 Kilo verteilten sich auf 1,73 m.

Ihre Freundin Barbara, genannt Babsi, war so alt wie sie, 1,72 m groß und wog 62 Kilo. Kinnlange, dunkelbraune Haare umrandeten ihr Gesicht. Ihre Titten erinnerten an Birnen mit den spitz hervortretenden hellen Warzen und Höfen. Ihre dunkelhaarige Möse schimmerte durch ihren Slip.

Die Beiden gingen in die 12. Klasse eines Mädchengymnasiums und wohnten zusammen in einem Vorort einer kleinen Stadt. Ihre gutsituierten Eltern finanzierten ihnen einen angenehmen Schulbesuch. Jedes der Mädchen hatte sein eigenes Zimmer und es gab neben Küche und Bad noch ein gemeinsames Wohnzimmer. Beide sahen sehr gut aus und wussten dies auch. Sie teilten ihre Vorliebe für Frauen und Männer miteinander, und sie teilten oft. Sie bevorzugten schlanke Frauen und Männer mit einer normalen Penisgröße. Die Riesenschwänze hatten bei ihnen keine Chance, denn beide waren eng gebaut.

Barbara kam ins Bad, trat hinter Sandra und streichelte über ihren Rücken. „Wie zart Deine Haut ist!” Ihr Mund küsste ihre Schulter. „Ist meine kleine Leckmaus schon wieder geil?”, fragte Sandra. „Auf Dich bin ich immer geil!” Barbaras Hand wanderte Sandras Rücken hinunter und steifte durch ihre Kerbe. Automatisch öffnete Sandra ihre Schenkel und Barbara hatten Zugang zu der Pussi ihrer Freundin. „Du geiles Schweinchen tropfst ja schon wieder. Bist Du jemals zwischen Deinen Beinen trocken?”

Sandra drehte sich zu Barbara um. „Trocken war ich seit meinem 13. Lebensjahr nicht mehr. Da habe ich das erste Mal herausgefunden, wie schön das Wichsen der eigenen Möse ist. Seit dieser Zeit mache ich es mir täglich! Oder ich lasse es mir machen. Komm mein Schatz, leck mir meine Spalte!” Sandra setzte sich auf den Waschtisch und Babara beugte sich über die dargebotene, frisch rasierte Fotze. Wie eine Schlange züngelte sie an der Sandras Vulva. Besondere Aufmerksamkeit schenkte sie dem Kitzler.

Zwei Finger teilten Sandras Vagina und enterten sie. Mit langsamen Fickbewegungen brachte sie ihre Freundin weiter in Fahrt. Plötzlich klingelte Sandras Handy. Sie schaute auf die Uhr: 22:05 Uhr. Auf dem Display stand „Karin”. Karin war eine Mitschülerin, die ihnen schon öfters bei schulischen Problemen geholfen hatte. Sandra nahm den Anruf an: „Karin, was gibt es?” — „Ich habe meinen Bus verpasst und weiß jetzt nicht wie ich heimkommen oder wo ich schlafen soll. Meine Alten sind im Urlaub und meine Tante geht nicht ans Telefon. Kann ich bei Euch pennen?” — „Komm vorbei, Du weißt ja, wo wir wohnen.”

„Mist”, schimpfte Barbara, „ich dachte, wir zwei machen uns heute einen schönen, geilen Abend. Und jetzt kommt DIE!” — „Lass gut sein, Babsi, erstens brauchen wir Karin und zweitens können wir sie ja vernaschen.” — „Und wenn sie nicht will?” — „Sie will bestimmt und wenn nicht, nehmen wir sie uns trotzdem vor. Barbara ging noch schnell unter die Dusche und danach zogen die beiden Freundinnen nur das Notwendigste an. Keinen BH, nur ein Slip und oben drüber ein längeres, dünnes T-Shirt, das über ihre süßen Hintern hing.

Es klingelte an der Tür und Sandra ließ Karin herein. Karin, ihre Mitschülerin, war ebenfalls 18, hatte blonde, struppige Haare und war schlank mit kleinen Titten. „Komm rein und setzt Dich. Willst Du noch etwas essen oder hast Du çorum escort Durst?” Barbara spielte auf einmal die perfekte Gastgeberin. „Etwas zu trinken wäre nicht schlecht. Und eine Dusche, wenn ich darf!” — „Na klar”, sagte Sandra gleich. Barbara holte Karin ein Glas Wasser und Sandra ging mit ihr ins Bad, um ihr ein Handtuch zu geben.

„Soll ich Dir ein frisches T-Shirt bringen?” bot ihr Sandra an. — „Das wäre ganz lieb. Ich bringe es Dir auch frisch gewaschen zurück.” Sandra ließ Karin allein und holte ein Shirt und einen kleinen Tangaslip. Sie zeigte beides ihrer Freundin Barbara. „Das sieht bestimmt scharf an ihr aus”, kommentierte sie das für Karin angedachte Outfit. Sandra legte die Sachen zum Handtuch ins Bad, ging zurück und setzte sich zu Barbara auf das Sofa. Von da aus, hatten sie einen schönen Blick auf die Zimmertür, durch die Karin kommen musste.

Als die eintrat, hielt sie eine Hand vor ihre Brüste und die andere Hand vor ihre Muschi. Das T-Shirt war etwas kurz und etwas eng. Ihre kleinen Brüste zeichneten sich deutlich ab und das kleine Dreieck des Tangaslips verdeckte nicht wirklich viel. Sie blieb vor dem Sofa stehen. Barbara sprang auf und nahm sie an beide Hände. „Vor uns brauchst Du Dich nicht zu genieren. Zeig doch mal, was willst Du denn verstecken?”

Barbara stellte sich hinter Karin und hielt ihre Arme fest. Sie drückte ihre Ellbogen leicht nach hinten. „Schau mal Sandra, ihre kleinen Titten. Sehen die nicht geil aus! Die Brustwaren schieben sich schon weit heraus.” Und tatsächlich: Hart drückten sich die Nippel durch den Stoff. „Mmmh, und die Haare ihres kleinen Fötzchens spitzen rechts und links am Slip vorbei”, meinte Sanda. Auch sie erhob sich und ging auf Karin zu. Mit ihren Fingerspitzen berührte sie ganz vorsichtig die Brustwarzen von Karin. Sie hatte das Gefühl, dass diese dadurch noch härter wurden.

„Oh, das scheint unserer kleinen Freundin zu gefallen,” sprach Sandra zu sich selbst. Ihre Hand streifte herunter bis zu Karins Möse und blieb auf ihr liegen. „Was bist Du heiß”, rief sie aus und strich über das kleine Stückchen Stoff. Ihren Daumen schob sie darunter und rieb ein paar Mal über den Kitzler. „… und nass!” Karin stöhnte laut auf. Barbara zog sie weg von Sandra: „Ich glaub, wir nehmen unsere Kleine und gehen mit ihr in mein Zimmer. Darin wird sie sich bestimmt wohlfühlen!”

Barbaras Zimmer lag im Halbdunkeln. Sie führte Karin zu ihrem Bett und forderte sie auf, sich mitten drauf zu legen. Ehe sich Karin versah, waren Klettverschlüsse um ihre Hände und um ihre Füße geschnallt. Karin schaute etwas irritiert auf die Fesseln und auf Barbara und Sandra. Die Zwei zogen die Fesseln stramm, so dass Karin Arme und Beine nicht mehr bewegen konnte. Sie fühlte sich sehr unwohl, weil ihre Muschi, durch ihre gespreizten Beine, den beiden Freundinnen schutzlos ausgeliefert war.

Barbara griff nach einer Schere. „Brauchst Du Dein T-Shirt noch, Sandra?” — „Nö, Du kannst damit machen, was Du willst.” — „Und Deinen Slip?” — „Kann ich auch entbehren.” Sandra legte sich neben Karin und wollte sie küssen. Diese drehte jedoch ihren Kopf zur Seite. Sandra nahm den Kopf in ihre Hände und zog ihn mit sanfter Gewalt zu sich hin. Als die Lippen sich trafen, kniff Karin ihre fest zusammen. Sandra leckte über Karins Gesicht und versuchte ihre Zunge durch Karin Lippen zu schieben. Als das nicht gelang, hielt sie der Gefesselten die Nase zu. Nach kurzer Zeit schnappte diese nach Luft und Sarah steckte ihr ihre Zunge in den Mund.

„Küsse sie schon und zier Dich nicht so!” rief Barbara und streichelte weiterhin Karin Körper. Sandra ließ von Karin ab und zog sich ihren Slip aus: „Wenn Du meinen Mund nicht willst, was ist dann mit meiner Möse? Möchtest denizli escort Du die lieber küssen und lecken. Sie kniete sich breitbeinig über Karin Kopf und zog sich mit ihren Fingern selbst ihre Schamlippen auseinander. Sie setzte sich breitbeinig auf Karins Gesicht und wartete auf die Liebkosungen. „Leck mich, Du kleines Luder, leck mich.” Karin versuchte den Kopf zu schütteln, der war aber von Sandras Schenkel fest eingeklemmt worden.

Barbara nahm jetzt die Schere und schnitt die Bänder des Tangaslips durch. Ein kurzer Riss und Karins Pussi lag weit gespreizt vor ihr. Barbara kraulte die blonden Schamhaare und ihre Fingerspitzen strichen immer wieder durch die offene Spalte. „Sieh mal, was für eine schöne Pflaume Karin hat!” bemerkte Barbara. „So einen schönen Kitzler und so süße, kleine Schamlippen.” Sandra kniete sich jetzt neben Barbara und beide kümmerten sich um die Möse von Karin.

Sandra beugte sich herunter und leckte zärtlich den Kitzler. „Deine Fotze schmeckt sehr gut, weißt Du das? Probiere auch einmal, Babsi!” Barbara schlürfte an Karins Vagina und pflückte sich dann ein Schamhaar aus ihrem Mund. „Stimmt, sie schmeckt sehr gut, aber die Haare stören. Komm Sandra, wir rasieren ihr die Muschi!” — „Nein, bitte nicht”, flennte Karin. „Wie soll ich das denn meinen Freund erklären? Der steht auf meine haarige Muschi.” — „Warte ab”, sagte Barbara. „Wenn der Deine nackte Prachtpflaume sieht, glaubt er, er hätte eine neue Freundin und fickt Dich noch mal so oft.”

Sandra hatte in der Zwischenzeit mehrere Handtücher und ihr Rasierzeug geholt. Sie setzte sich, mit ihrem Rücken zu Karin Gesicht, auf deren Bauch und Barbara lockerte dann die Fesseln, bis Karin ihre Beine anwinkeln konnte. Sie bekam die Schenkel gespreizt und Barbara nahm als erstes den Kurzhaarschneider und trimmte die Schamhaare.

Barbara feuchtete die Möse mit reichlich Wasser an, griff zum Rasierschaum und spritzte etwas davon auf ihre Hand. Sie strich den Schaum rund um Karins Pussi und auch die Schamlippen bekamen etwas davon ab. Barbara nahm den Rasierer und rasierte gekonnt Karins Fotzenhaare ab. Während Sandra Karins äußere Schamlippen langzog, wurden diese von Barbara enthaart. Sie seiften, massierten, rasierten und cremten den gesamten Unterleib von Karin ein. Als sie fertig waren glänzte die Möse bis hoch zum Poloch. Barbara beugte sich herunter und spreizte mit ihren Daumen Karins Pussi. Dann leckte sie ihr über die gesamte Spalte.

Barbara zog die Fesseln wieder fest: „Und jetzt, mein Täubchen, schauen wir uns Deine kleinen Titten an.” Sie nahm die Schere und schnitt auf Höhe der Brüste zwei Löcher ins T-Shirt. Frech schauten die spitzen Möpse durch die Löcher. Sandra und Barbara nahmen die Warzen in ihre Münder und saugten daran. Sandras Hand lag auf der blank rasierten Fotze und streichelte sie solange, bis Karin immer erregter und nasser wurde. Mit zwei Fingern wurde sie von Sandra gefickt. Sie kam langsam in Fahrt und gab ihren Widerstand auf.

Barbara stellte sich mit gespreizten Beinen über Karin Kopf und ließ sie einen Blick auf ihre dunkelbraune Fotze werfen. „Wenn Deinem Freund Deine rasierte Muschi nicht gefällt und er lieber Fotzenhaare will, schick ihn zu mir.” Während sie das sagte, ging sie in die Knie und positionierte Ihre Möse genau auf Karin Mund. Von ihrer Position aus, konnte sie Sandra gut beobachten, wie sie Karin mit den Fingern fickte. „Jetzt leck meine Pflaume, mein Schatz. Schleck sie richtig aus. Ich will Deine Zunge ganz tief spüren.” Karin küsste liebevoll die Schamlippen von Barbara und schlürfte etwas von dem Fotzensaft. Dann streckte sie ihre Zunge weit hinaus und schob sie tief in die Vagina. „Oh mein Gott, was machst Du da? Das ist so schön!” Barbara düzce escort genoss das Zungenspiel von Karin.

Sandra sah Barbara an: „Leihst Du mir Deinen Strapon? Ich will Karin so richtig schön durchvögeln.” — „Nimm ihn Dir, Du weißt ja, wo er liegt. Sandra schnallte sich den Dildo um und kniete sich zwischen die Beine von Karin. Ein bisschen Gleitcreme verteilte sie auf den Gummischwanz und auf Karin Möse. Dann fackelte sie nicht lange, und schob den Ersatzpimmel mit einem Stoß bis zum Anschlag in Karins Loch. Diese Aktion quittierte Karin mit einem lauten Schrei. „Stell Dich nicht so an, dass ist nur der Kleine!” Tatsächlich war der Strapon nur 15 cm lang und 2,5 cm dick.

Tief und fest stieß Sandra immer wieder den Dildo in Karin Vagina. „Gefällt es Dir, wirst Du gern so gefickt?”, fragte Sandra. Sie glaubte ein gedämpftes „Nein” zu hören. „Na gut, wenn es Dir so nicht gefällt, stecke ich ihn Dir in Deinen Arsch. Vielleicht gefällt Dir das besser.” Hatte Karin mehr oder weniger die ganze Zeit stillgehalten, so begann sie sich jetzt wild zu winden. „Nein, bitte nicht, bitte nicht in meinen Po!”

Barbara stieg von Karin Gesicht herunter unter kniete sich im Doggy style neben sie. „Komm fick mich”, rief sie Sandra zu. Sandra kniete sich hinter Barbara und leckte erst einmal das haarige Loch. Ihre Freundin war sehr hungrig, Karin hatte gute Arbeit geleistet. Ohne weiteres Vorspiel drang Sandra mit dem Dildo in Barbara ein. Sie fing gleich mit Fickbewegungen an und Barbara streckte ihr ihren Hintern immer wieder entgegen. Rechts und links schlug sie mit ihrer Hand im Takt auf Barbaras Hintern. Barbara und Karin knutschten zwischenzeitlich wild herum und mit ihren Fingern drehte Barbara an Karins kleinen, spitzen Brustwarzen. Sandra beugte sich auf Barbaras Rücken und knetete deren birnenförmigen Titten. Immer wieder verirrten sie ihre Finger auch an Barbaras Pussi und stimulierten den Kitzler.

Als Barbara zum Höhepunkt kam, versenkte sie ihr Gesicht in ein Kissen und genoss ihren Orgasmus. Sie legten sich danach zu Karin und kuschelten sich an sie. Mit ihren Händen liebkosten sie Karin Körper und nach einiger Zeit rutschte Sandra an Karin Muschi und begann sie zu lecken. Die perfekt rasierte Möse brachte sie gehörig in Fahrt. Sandra steckte ihren Mittelfinger tief in Karins Loch und mit ihrem Zeige- und Ringfinger wichste sie die Schamlippen. Währenddessen saugte Barbara an Karins Brüsten oder knutschte innig mit ihr. Bei ihrem Orgasmus zappelte Karin zuerst in ihren Fesseln und fiel dann in eine Art Schockstarre.

Als sie wieder zu sich kam, bat sie Sandra, sie loszubinden. Danach setzte sie sich den Beiden gegenüber, holte plötzlich aus und schlug ihnen ins Gesicht. Nicht sehr stark, aber doch fühlbar. „Ihr blöden Weiber, ihr habt mich vergewaltigt!” schrie sie mit Tränen in den Augen. Die beiden Freundinnen rutschten zu ihr rüber und nahmen sie in ihre Arme. Sandra: „Entschuldige, bitte. Aber Du hast uns so geil gemacht, da haben wir daran gar nicht gedacht, dass es Dir nicht gefallen könnte.” Karin schaute jede ihrer neuen Freundinnen einzeln in die Augen und sagte dann: „Aber es war sehr, sehr schön!”

„Ich möchte gerne auch noch meinen Orgasmus haben,” bat Sandra. „Möchtest Du Sandras rasierte Muschi lecken, Karin?”, fragte Barbara. Diese nickte nur und legte sich auf den Rücken. „Komm zu mir Sandra, setze Dich auf mein Gesicht,” sagte sie, „ich verwöhne dann Deine Pussi.” Sandra setzte sich auf Karins Mund und wurde mit Zähnen und mit den Lippen verwöhnt. Gleichzeitig lutschte Barbara an Sandras reizenden, festen Apfelbrüsten und knabberte an den kleinen Brustwarzen.

Sandra rutschte auf dem Gesicht von Karin hin und her und genoss die Zunge, die ihre nasse Möse herrlich ausleckte. Die Bisse und Küsse an ihren Brüsten halfen dabei, sie schnell zum Höhepunkt zu bringen. Sie umarmte dabei ihre Freundin Barbara und bettete ihren Kopf an deren Hals. Danach gingen alle Drei in Sandras Zimmer, die hatte das größere Bett, kuschelten sich aneinander und schliefen zusammen ein.

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Vergewaltigung mal anders

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Ffm

Ich war schon spät dran. Von der Arbeit bin ich diesmal erst 10 Minuten später los gekommen, weil noch so viel zu tun war und jetzt war es fast aussichtslos, noch den Zug nach Hause pünktlich zu erwischen.

Trotzdem beeilte ich mich, ich hatte wenig Lust, noch eine Stunde auf den nächsten Zug zu warten.

Mein Name ist Sabine und ich bin 57 Jahre alt und verheiratet. Ich bin eher klein und sehr zierlich, mit blonden Haaren. Trotz meines Alters sehe ich noch recht fit aus, was vermutlich daran liegt, dass ich so viel mit meinem Hund draußen herum renne.

Diese Sache, die ich hier erzähle, ist mir vor 2 Wochen passiert und seit dem muss ich immer wieder daran denken.

Ich war also am Bahnhof angekommen und konnte gerade noch die Rücklichter des Zugs sehen, in dem ich eigentlich jetzt sitzen sollte. Na toll, dachte ich mir, jetzt eine Stunde in der Kälte stehen. Ich entschied mich, die Zeit nicht sinnlos in der Kälte zu stehen, sondern einfach zu laufen – vermutlich würde das zwar auch eine Stunde dauern, aber so würde mir wenigstens nicht kalt werden – und ging los.

Auf den Straßen war nichts mehr los, keine Menschenseele war zu sehen. Kein Wunder, wenn ich die Wahl gehabt hätte, wäre ich ja auch lieber schon zu Hause.

Gerade als ich um die nächste Ecke biegen wollte, hörte ich ein Geräusch hinter mir. Als ich mich umdrehte, blickte mich jedoch nur die leere Straße an. Vielleicht bin ich ein wenig paranoid, aber sicher ist sicher, dachte ich bei mir und wollte meinen Weg fortsetzen.

Dazu kam es allerdings nicht mehr. Ich spürte gerade noch, wie mir ein Tuch auf das Gesicht gedrückt wurde, wollte mich wehren und schreien, aber aufgrund meiner Körpergröße und der Hand im Gesicht war mir beides nicht möglich. Dann wurde alles schwarz.

Als ich liegend wieder zu mir kam, war alles dunkel. Ich erkannte auch schnell die Ursache dafür. Eine Art Augenbinde. In mir stieg Panik auf. Ich wurde offenbar entführt und wusste nicht, wo ich war, erst recht nicht, wer der Entführer war und was meine größte Sorge bitlis escort war: Was wollte er von mir?

Wie ich bereits vermutet hatte, waren meine Hände über dem Kopf gefesselt. Ich schrie so laut ich konnte. So einfach würde ich es dem Entführer auch nicht machen. Und tatsächlich, kurz darauf hörte ich ein Geräusch und sich nähernde Schritte. “Hier bin ich, Hilfe”, schrie ich erneut.

Die Person kam immer näher und als sie bei mir war, wusste ich, dass sie mir nicht helfen würde. Es war der Entführer. Seine Hände strichen meine Beine entlang. Mich schauderte und ich begann zu weinen. Das mir sowas in meinem Alter noch passieren könnte, hätte ich nie für möglich gehalten und jetzt wurde mein schlimmster Albtraum wahr.

Die Hände waren inzwischen an meinem Busen angelangt und befreiten meine Brüste aus dem Oberteil und dem BH. Erstaunlicherweise war der Entführer dabei kein bisschen grob. Im Gegenteil, die Sanftheit seiner Hände irritierte mich.

Ich konnte und wollte aber nicht weiter darüber nachdenken. Ich flehte ihn einfach nur an, damit aufzuhören und mich in Ruhe zu lassen. Ich versprach sogar, mit niemandem darüber zu sprechen, wenn er mich einfach nur gehen ließ.

Aber der Entführer knetete einfach weiter meine Brüste. Es war ja nicht unangenehm, aber ich wollte einfach nicht von einem fremden Mann auf die Weise berührt werden. Nicht gegen meinen Willen. Ein warmer Lufthauch auf meinen Knospen, im selben Augenblick lange Haare, die auf meinen Oberkörper fielen und dann schon die ganze Zeit dieser Duft nach Vanille. Was sollte das alles?

In dem Moment, wo der Entführer langsam seine Zunge auf meine Knospe gleiten ließ und anfing, diese zu umspielen und zu küssen, durchfuhr es mich wie ein Blitz. Die weichen, sanften Hände, die langen Haare, der Duft. Es war gar kein Entführer, es war eine Entführerin. Diese plötzliche Einsicht irritierte mich noch mehr.

Natürlich wusste ich, dass manche Frauen auf andere Frauen stehen, aber intensiver darüber nachgedacht hatte ich noch nie. Und bolu escort warum ich?

Ich konnte nicht leugnen, dass es mir gefiel, was sie da an meinen Brüsten machte. Aber ich wollte das nicht, ich durfte es nicht mögen. Ich war doch verheiratet und sie hatte mich trotzdem immer noch entführt. Ich würde sie so oder so bei der Polizei anzeigen.

Noch während ich mir darüber Gedanken machte, begann sie nun wieder, langsam meine nackten Beine mit ihren Händen auf und ab zu streicheln. Ein kälter Schauer lief mir den Rücken runter. “Reiß dich zusammen, Sabine!”, mahnte ich mich selbst.

Doch als sie mit ihrer Hand aus Versehen meine Scham kurz berührte, entfuhr mir ein leises Stöhnen. Auch sie schien überrascht, denn sie hielt kurz inne, bevor sie sich von meinen Brüsten abwandte. Ich war fast schon enttäuscht darüber. Was war nur los mit mir?

Ich schämte mich für den Wunsch, dass sie doch bitte weitermachen sollte. Aber sie schien eh noch nicht fertig mit mir zu sein. Ihr neues Ziel war jetzt meine Spalte, die inzwischen durch ihre Berührungen langsam warm wurde und angenehm kribbelte.

Als sie mit dem Finger durch meine Spalte fuhr, war auch für sie offensichtlich, dass ich Gefallen an dem ganzen gefunden hatte.

Ihr Finger musste klitschnass sein. Langsam schob sie ihre Hand hoch und runter, was mir leises Stöhnen entlockte.

Ab dem Moment war mir einfach alles egal, was ich bisher noch für Bedenken hatte. Ich wusste nur, dass ich wollte, dass ihre Hand nie mehr damit aufhörte.

Die Entführerin schien die ganze Situation ebenso heiß zu machen, wie inzwischen mich auch. Ich merke, dass sie mit ihrer einen Hand an der eigenen feuchten Spalte hantierte, was leichte Klatschgeräusche verursachte.

Ich konnte sie zwar nicht sehen, aber allein der Gedanke daran, dass die Frau es sich besorgte, während sie mit der anderen Hand meine Pflaume bearbeitete, ließ mich erschaudern vor Geilheit.

Als ihre Hand dann plötzlich aufhörte, dachte ich schon, es wäre vorbei, aber kurz darauf burdur escort spürte ich stattdessen ihre warme Zunge an meiner Scham.

Ich erbebte unter ihrem Saugen und Lecken. Immer wieder stöhnte ich laut und auch sie konnte ein Stöhnen nicht mehr unterdrücken.

Als sie mir schließlich noch zwei Finger einführte, konnte ich meine Lust nicht länger halten und schrie alles raus. Das war der heftigste Orgasmus, den ich seit Jahren hatte, nein vielleicht sogar der heftigste überhaupt.

Mehrere Minuten durchzuckte es immer wieder meinen gesamten Körper. Sie kam fast zeitgleich. Nackt aber zufrieden lag ich noch eine Weile benommen da, als ich ihre Hände an meinen Handgelenken spürte.

Sie öffnete die Fesseln und ich hörte nur noch, wie eine Tür zuschlug und sie offenbar verschwunden war.

Nun konnte ich mir auch endlich die Augenbinde abnehmen und war überrascht, mich in meinem Büro auf Arbeit wieder zu finden.

Die Schlüssel zu dem Gebäude hatten nur Mitarbeiter, was den Kreis an Personen, die mich diese Nacht um den Verstand gebracht hatte, einschränkte.

Noch total verwirrt aber glücklich zog ich mich immer noch leicht benommen an und nahm mir ein Taxi nach Hause, wo mein Mann schon besorgt auf mich wartete.

Ich erklärte ihm kurz, dass ich den Zug verpasst hätte und ließ ihm keine weitere Zeit für Fragen, schon war ich auf dem Weg ins Bett.

Der Tag war anstrengend gewesen, aber an Schlaf war nicht im Ansatz zu denken. Immer wieder kehrten meine Gedanken zu dem Abend mit der unbekannten Entführerin zurück.

Ich habe es mir in der Nacht noch zweimal selbst besorgt und habe mir dabei vorgestellt, dass die Frau wieder zwischen meinen Beinen ist und mich berührt.

Dieser Tag hatte mein komplettes Leben in Frage gestellt. Auf einmal konnte ich mir sogar vorstellen, etwas mit der Frau anzufangen.

Als ich am nächsten Tag ins Büro kam, wartete ich darauf, dass die Unbekannte vom Vorabend sich auffällig verhielt und mir so ihre Identität verriet, aber der Tag verlief zu meiner Enttäuschung wie jeder andere auch.

Bis heute weiß ich nicht, wer mich an diesem Abend so geil gemacht hat, aber vergessen kann ich das Erlebnis wohl nie wieder.

Und wer weiß, vielleicht meldet sich die Frau ja auch irgendwann mal bei mir.

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Meine Deutschlehrerin und ich 02

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Bbw

Es war Nacht. Ich lag in meinem Bett, an meinen Fingern immer noch ganz leicht der süße Duft meiner Deutschlehrerin. So recht konnte ich nicht glauben, was vor ein paar Stunden in der Schule passiert ist.

Den ganzen restlichen Tag hatte ich mir bewusst verboten, an Silvia zu denken. An ihren Körper, ihren Blick, ihren Höhepunkt — viel zu geil hätte mich der Gedanke daran gemacht. Immerhin war ich mit geschwollenen Schamlippen und einem immensen unbefriedigtem Lustgefühl einfach gegangen.

Doch nun, im dunklen Zimmer und mitten in der Nacht, erlaubte ich mir, das Erlebnis Revue passieren zu lassen. Ich hatte unter der Decke nur einen Stringtanga und ein luftiges T-Shirt ohne BH darunter an und hatte meine Beine entspannt leicht gespreizt.

Schon beim ersten Gedanken an Silvia und wie ich sie langsam ausgezogen hatte, zum ersten Mal ihre schönen Brüste bestaunen hatte können, wurden meine Nippel hart. Sie drückten gegen den Stoff meines T-Shirts und ich spürte sie durch das ständige Reiben sehr intensiv.

Ich griff mit einer Hand zu meiner rechten Brust, umfasste sie leicht und ließ meinen Daumen zärtlich über meine Brustwarze streichen, die schlagartig noch härter wurde und ein angenehmer Schauer rieselte in Richtung meiner Körpermitte. Oh, wie ich es liebte, meine empfindlichen Nippel zu reizen und mit ihnen zu spielen. Mit beiden Händen liebkoste ich nun meine Brüste und mal kniff ich mir in die Nippel, mal zwirbelte ich sie zart und gefühlvoll zwischen meinen Fingern.

Vor meinen Augen hatte ich Silvia, immer nur Silvia und ihre weichen Brüste, die etwas größer als meine eigenen sind. Ihre spitzen Brustwarzen und wie ich sie streichelte. Ich seufzte wohlig, mich selbst zu berühren tat mir so gut und ich merkte, wie ich langsam nass wurde. Eigentlich war ich so heiß, dass ich alleine durch mein zärtliches Streicheln meiner Brüste kommen konnte, doch ich ließ von ihnen ab und fuhr mit meiner rechten Hand hinunter zu meiner Scham.

Langsam ließ ich meine Finger über das feuchte Höschen wandern, spürte meinen Kitzler, der durch meine Erregung schon angeschwollen war und stöhnte leise. Wie erregend Silvias angeschwollene Pussy ausgesehen hatte… Ich schob meine Hand unter den Stoff meines Strings und glitt durch meinen Spalt; so nass war ich selten gewesen.

Behutsam bursa escort fing ich an, meinen Kitzler zu reiben, der mittlerweile schon leicht pulsierte. Ich wollte nicht sofort diesen Orgasmus erleben, wollte ihn zumindest noch ein bisschen hinauszögern. Also tastete ich mich etwas nach unten zu meinem Loch und führte genüsslich den Zeigefinger in meine unglaublich enge Pussy ein. Ich sog scharf Luft ein, die erste Penetration fühlte sich jedes Mal auf neue besonders intensiv an.

Ich drehte meinen Finger in mir leicht hin und her und fickte mich ganz sachte. Alles zog sich um meinen Finger zusammen, als ich an meine Finger, tief in Silvia versunken, dachte. Ich genoss meine Wärme, meine Enge, meine Nässe. Genoss die heiße Lust, die ich mir selbst bereitete.

Doch nun wollte ich loslassen. Ich wollte meinen Druck endlich vermindern. Ich begann abermals, meinen empfindlichsten Punkt zu massieren. Immer schneller und schneller flog meine Fingerkuppe durch die geöffneten Lippen über den entblößten Kitzler.

Mit meiner anderen Hand reizte ich gleichzeitig meine stehenden Nippel und es war mir, als würden sie Stromschläge direkt zu meiner kribbelnden Muschi leiten. Ich spürte, wie sich mein Körper immer mehr versteifte auf meinem Weg an den Gipfel; in meinem Kopf meine nackte, sich windende Lehrerin.

Mir wurde schwindlig. Alles zog sich unter meinen eigenen Händen zusammen, mein Körper verkrampfte sich. Und ich explodierte. Ich zuckte und zuckte, meine Gedanken fest auf Silvia gerichtet. Meine Spalte klatschnass, meine Brustwarzen wund und steif, mein Körper unkontrolliert pulsierend.

Wenn mich jetzt nur Silvia sehen könnte..

***

Ich schlug meine Augen auf. Verschlafen registrierte ich das unermüdliche Klingeln meines Weckers und stöhnte missmutig. Ich war kein Frühaufsteher. Ich riss mich zusammen, schließlich hatte ich doch allen Grund, die erste Stunde heute nicht zu verpassen.

Zwei Stunden später saß ich mit einem mittellangem Rock und einer süßen weißen Bluse in der Klasse. Genauer gesagt in der ersten Reihe. Wenn ich daran dachte, dass Silvia in ein paar Augenblicken hereinkommen würde, spürte ich regelrecht einen Blitz durch meinen Unterleib zucken. Ich kniff meine Oberschenkel zusammen.

Plötzlich bekam ich Panik. çanakkale escort Ich konnte doch nicht einfach so in der ersten Reihe sitzen und meine Lehrerin anhimmeln. Jene Lehrerin, die erst gestern nackt vor mir gelegen war und sich und sich unter meinen Händen vor Lust nur so gewunden hatte.

So sehr es mich auch erregte, daran zu denken, so unangenehm und peinlich war es mir auch. Meine mittlerweile steinharten Nippel konnten sicher schon alle Kollegen durch meine Bluse sehen und wenn ich noch nasser werden würde, stieg möglicherweise irgendwem der verräterische Duft in die Nase. Und wer weiß, wie Silvia heute überhaupt über unser Abenteuer dachte?

Nein, ich konnte nicht bleiben. Ich packte meine Tasche, sprang auf, ignorierte meine Freunde, die mir irritiert etwas nachriefen und stürmte aus der Klasse. Mich in so einem Laufschritt fortzubewegen, war keine so gute Idee — meine Brüste wackelten in der Bluse hin und her und meine kleinen und schon so gereizten Brustwarzen rieben sich regelrecht von selbst am Stoff.

„Okay, Livia, du musst es nur noch die paar Meter zum Ausgang schaffen, nur bis zum Ausgang, halt durch!”, sagte ich mir in Gedanken.

Gerade, als ich auf gleicher Höhe der Frauentoilette war, die im Übrigen kurz vor der rettenden Freiheit lag, wurde meine schlimmste Befürchtung war: Silvia kam mir entgegen. Und ich war mutterseelenalleine mit harten Nippeln und nasser Muschi mitten im Gang. Ich wurde puterrot.

Sie erkannte mich natürlich ebenfalls sofort und blieb im ersten Moment irritiert stehen. Ob sie wohl auch schlagartig dieses Kribbeln im Unterleib spürte? Doch sie fing sich recht schnell und bewegte sich direkt auf mich zu. Ihre enge Jeans betonte ihren großen Po und das enge T-Shirt schmiegte sich an ihre schönen Brüste.

Ich konnte nur dastehen und sie betrachten, vergessen waren plötzlich alle Zweifel. Ich wollte diese Frau. Sie kam näher und ich sah, wie ihr Blick zu meinen stehenden Nippeln glitt und dort verweilte. Allein das bescherte mir eine Gänsehaut.

„Hallo, Livia! Hast du die Klingel nicht gehört? Die Stunde hat bereits angefangen! Ab mit dir in die Klasse!”, sagte sie in ihrem typischen Lehrerton.

„Äh, ja… Ich.. Ich…”, stotterte ich und meine Röte vertiefte sich.

Ihr Blick çankırı escort wanderte über meinen Körper, er blieb wieder bei meinen Brüsten hängen. „Bist du krank, Livia? Tut dir etwas weh? Du siehst gar nicht gut aus! Komm, ich bringe dich zum Schularzt!”

Ich spürte die Spannung zwischen uns und war zudem so eingeschüchtert von ihrer ungewohnt dominanten Art, dass ich nur nicken konnte. Schweigend gingen wir nebeneinander her. Ich wollte nicht zum Schularzt, ich wollte nur ihre Hände auf mir spüren. Doch Silvia war die Professionalität in Person und ließ sich nichts anmerken.

Wir trafen zum Glück niemanden und gelangten innerhalb von wenigen Minuten zum Arztzimmer. Sie sperrte auf und zögernd ging ich hinein, dicht gefolgt von ihr. Mein Puls raste und ich spürte die Nässe langsam aber sicher in mein Höschen sickern. Was geschah hier nur.

Sie schloss von innen ab, drehte sich zu mir. Der Blick einer Lehrerin war einem zarteren, liebevollen gewichen.

„Zieh deine Bluse aus”, flüsterte sie, „der Arzt ist heute leider nicht im Haus, aber als deine sorgende Lehrerin muss ich kurz einen Blick auf dich werfen.”

Ich schluckte. Meine Brustwarzen standen nun schon fast senkrecht von meinem festen Busen ab. Ich schämte mich plötzlich vor ihr. Stocksteif stand ich da und machte keine Anstalten, mich auszuziehen.

Sie lächelte nur und kam auf mich zu, strich mir eine Haarsträhne aus meinem heißen Gesicht und legte ihre warmen Lippen auf meine. Sofort fühlte ich mich wohler und küsste sie zurück. Meine Zunge glitt in ihren Mund und fand die ihre — sie tanzten miteinander. Mir entkam ein begehrendes Stöhnen, so sehr machte mich dieser Kuss an.

Während wir uns leidenschaftlich küssten und ich in ihren Armen vor Erregung beinahe den Verstand verlor, strich ihre Hand zart meinen Hals hinunter und glitt über meine Brüste. Ich stöhnte in ihren feuchten Mund hinein, das Gefühl war zu viel für mich.

Sie reizte meine empfindlichen Nippel, indem sie ihren Finger immer wieder darüber kreisen ließ — durch den reibenden Blusenstoff fühlte sich alles noch intensiver an und ich wimmerte leise. Lächelnd hörte sie daraufhin prompt mit ihren Liebkosungen auf, drehte ihren Kopf von mir weg und griff mir mit einem schnellen Griff unter den Rock und legte ihre Hand einfach nur auf meine kleine pulsierende Muschi, die noch vom nassen String bedeckt war.

Sie sah mir währenddessen tief in die Augen, ihre Hand bewegte sich nicht, sie lag still auf meiner heißen Scham. Ich erwiderte den Blick, meine dunklen Augen voller Lust.

Da klopfte es plötzlich an der Tür.

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Flugzeuge im Bauch 03

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Babes

Es klingelt. Endlich, das Warten hat ein Ende. Ich öffne die Wohnungstür und da stehst du. In all deiner jugendlichen Schönheit. Deine braunen Augen ziehen mich in die Tiefe, hektische Schwimmbewegungen im Malstrom der Gefühle, ich rotiere mit den Wassermassen um mich herum, immer schneller, immer tiefer – Hilfe, ich ertrinke! Wie lange stehen wir so, wortlos, gelähmt, nur Auge in Auge? Fünf Sekunden? Zehn? Zwanzig? Oder hundert Jahre? Mir bleibt die Luft weg vor lauter Schönheit, deine langen, braunen Haare, dein blumiges Sommerkleid, darunter dein Körper nur zu erahnen, wohlgeformt, aber nicht zu üppig, züchtiger Ausschnitt, die nackten Beine in Sandalen… Eine Einkaufstüte entgleitet deiner Hand, das Geräusch unterbricht die stille Zweisamkeit, du hebst die Arme, wir fliegen aufeinander zu. Umarmung und Küsse, als hätten wir uns seit zehn Jahren nicht gesehen, dabei sind es doch erst drei Tage… Ich spüre die Hitze der Stadt an dir, ich atme dein warmes Aroma, ein wenig Lavendel und viel Frau. Deine Arme sind plötzlich überall gleichzeitig, und auch ich will dich nur noch fühlen. Fühle deine Formen durch den dünnen Stoff, deine Schultern, Rücken, deine weichen, runden Hüften, dein Po – oh Gott, hast du gar kein Höschen an? Ah doch, wohl ein String… Meine Hände streicheln, kneten deinen Po, die deinen haben den Weg unter mein Top gefunden, sie gleiten höher, finden meine Brüste, ein Stromschlag raubt mir den Atem.

“Komm erst mal rein, sonst haben wir gleich noch Gäste…” Ich ziehe dich in meine Wohnung, werfe die Tür ins Schloss, dränge dich in Richtung Sofa. Herbert Grönemeyer nuschelt aus den Lautsprechern: “Es hat mich wieder erwischt, endlich wieder erwischt. Ich sage nie mehr ‘Nie wieder’…” Schließe dich erneut in die Arme, mach da weiter, wo ich aufgehört hatte. Berausche mich am Gefühl deines nackten Pos durch den dünnen Stoff und verliere fast den Verstand. Dein Mund saugt an meiner Zunge, meine Zunge fickt die Vulva deiner Lippen, sehnsuchtsvoll, besitzergreifend. Unser Speichel rinnt an meinem Kinn herab, du leckst ihn auf und gibst ihn mir zurück. Stummer Ringkampf unserer Münder, meine Zungenspitze geht auf Exkursion zu deinen Lippen, Wangen, Nasenflügeln, ich will dich ganz schmecken, mit allen Sinnen erleben. Dein Gesicht ist nass von meinem Speichel, ich reibe meine eigene Stirn und Wangen daran, du gibst deinen Körpersaft dazu, Speichelfäden triefen von unseren Mündern, wir schrauben uns gegenseitig nach oben auf der Spirale der Geilheit.

Meine Hände haben sich zum Saum deines Kleides vorgearbeitet, endlich spüre ich deine Arschbacken ohne störenden Stoff dazwischen. Dein flinker Griff nach meinem Reißverschluss und mein Rock sinkt zu Boden. In der Aufwärtsbewegung deiner Arme ist auch mein Top dran und ich spüre deine Hände, deine Haare, deinen Mund auf meiner Nacktheit. Mit dem gleichen Geschick ziehst du dein eigenes Kleid über den Kopf und den BH aus, deine schweren Glocken fallen heraus und betteln um Zuwendung. Die großen, dunkelbraunen Warzenhöfe brennen Löcher in meine Netzhaut, ich kann die Augen nicht von ihnen lassen. Die Hände sowieso nicht. Mein Mund wird magnetisch angezogen, ich beuge mich herunter und MUSS sie küssen, in meinem Mund spüren. Ich erinnre mich an deine Vorlieben und zwirble beide Brustwarzen zärtlich zwischen den Fingern. Du ziehst scharf die Luft zwischen den Zähnen ein und greifst dir in den Schritt. Das ist mein “Stichwort” – ich gehe in die Knie, streife dir den String über deinen vollen Po hinunter balıkesir escort und atme dein Aroma. Du spreizt die Beine leicht und schiebst das Becken vor, streckst mir so dein Jungmädchen-glattes, kahlgeschorenes Allerheiligstes zum Verwöhnen entgegen. Ich wühle mit dem Gesicht in deinem heißen, geschwollenen Fleisch, bade in deinen Lustsäften und finde schließlich zu dir. Meine Zunge teilt deine Scham, ich schmecke dein Aroma, was allein mich schon fast in den siebten Himmel hebt. Ich blicke hoch an dir, sehe dein verzücktes Gesicht, die Augen geschlossen, den Mund halb geöffnet. Deine Hände halten deine wundervollen Brüste, du ziehst an deinen Nippeln.

Oh, ich habe dich vernachlässigt, denn du schlägst die Augen auf und blickst mich an wie ein Unschuldslamm. “Ich will auch”, höre ich deine Stimme, während du mich schon hochziehst und auf das Ledersofa drängst. Ich lasse mich in die Polster fallen, streife noch schnell meinen Slip herunter, als du dich schon in 69er-Stellung über mich schwingst. Deine Hand streichelt mein wohlgestutzes Dreieck, deine Zunge leckt der Länge nach über meinen Schlitz. Ich erschauere angesichts der ersten weiblichen Eroberung meiner privatesten Teile. Das hält dich nicht auf, im Gegenteil: Dein Mund wird fordernder, deine Lippen erfassen meine langen Schamlippen und ziehen sie noch länger. Dann widmest du dich meiner Klit, deine Zunge umspielt die Vorhaut. Als du das ganze Organ in dich hineinsaugst, vergehen mir Hören und Sehen, mein Becken bockt unkontrollierbar, und als ich den festen Druck deines Fingers völlig unvermittelt auf meiner Rosette spüre löst sich ein Riesenorgasmus in meinem Innern. Wie ein Tsunami des Glücks breitet sich die Welle in mir aus, mein Mund schreit einen stummen Schrei, und ein dicker Strahl meines Liebessafts schießt aus meiner Fotze, dir ins Gesicht. Du bist von meiner unvermittelten Freigiebigkeit überrascht, aber fasziniert, fängst die letzten Tropfen meiner Säfte mit dem Mund auf und reibst heftig deine Scham an meinem Gesicht. Ich kann da nichts mehr steuern, halte nur noch meine Nase hin und meine Zunge, bemüht, dir irgendwie Widerstand zu bieten. Da löst sich dein langanhaltender, ungehemmter Lustschrei, deine Fickbewegungen werden nochmals heftiger und dann unkontrolliert, verendend. Du brichst über mir zusammen, deine Schenkel klatschen zuckend an meine Ohren, und spürst mauzend wie eine Katze deinem Orgasmus nach. Ich will die immer noch vor meinem Gesicht liegende Scham mit Küssen bedecken, doch das war keine gute Idee. “Nein, nein!”, wehrst du mich ab, “zu viel…”, und ich beschränke mich darauf, deinen weichen Po und Hüften zu streicheln.

Wie lange liegen wir so? Zehn Minuten? Eine zuckersüße Ewigkeit in trauter Nähe. Du rappelst dich auf, und auch ich setze mich hin. “Guten Tag Meike, und willkommen bei mir!” Wir hatten tatsächlich bisher Wichtigeres zu tun, als Höflichkeitsformeln auszutauschen. Du schaust mich an, dein Mund verzieht sich zu einem breiten Grinsen: “Hallo Annelie… du hier?” Und gibst mir einen Kuss, der in unser beider Gelächter übergeht. Du stehst auf, gehst in meinem Wohnzimmer umher, genießt am Fenster den Ausblick auf den Dom. Deine vollen Titten wippen bei jedem Schritt, ich genieße den Ausblick auf dich. “Schön hast du’s”, ist alles, was du sagst. Und dann: “Hm, es duftet so gut nach Essen – ich habe einen Bärenhunger!”

Das holt mich wieder in die Realität zurück. “Essen geht schnell, ich brauch es nur nochmal bartın escort kurz aufwärmen”, und hantiere schon am Herd. “Magst du meinen Bademantel?”, ich halte ihn dir gleichzeitig entgegen. Du schlüpfst in das weiche Frottee und versinkst fast darin – mit hochgeschlagenem Ärmel geht es aber. Ich selbst ziehe meinen kurzen Seiden-Kimono an, unten klafft er etwas auf und entblößt mein goldenes Vlies, darunter noch meine langen, Seiden-bestrumpften Beine und meine Pumps. Gut schauen wir aus! “Magst du einen Aperol trinken?” – “Aber nur ein einziges, kleines Glas. Ich darf doch keinen Alkohol trinken wegen der Kleinen.” – “Du hast ein Kind?” Wie kann das sein? Für mich bist du ja selbst fast noch ein Kind! – “Ja, ein Mädchen. Nele. Neun Monate jetzt. Ich stille noch.” – Hast du beim Wort “stillen” die Blitze in meinen Augen gesehen? Meine Phantasie dreht schon wieder hoch. Oh Gott, was erlebe ich hier? Ich gieße uns zwei kleine Aperol ein und wir prosten einander zu: “Auf die Liebe!” – Hast du grad’ “Liebe” gesagt?…

Während des Essens sprudeln dann endlich all die Worte, für die unsere Münder vorher keine Zeit hatten. Ich erfahre alles über dich, über deine Jugendliebe Ralf, der dir die Treue geschworen hat “…bis dass der Tod euch scheide”, aber nichts mehr davon wissen wollte, als dein Bauch begann, sich zu wölben. Ich bin ein bisschen neidisch auf dein Mutterglück – ich hatte nie eine so stabile Beziehung, dass ich daraus hätte schwanger werden wollen. Habe irgendwann die Männer Männer sein lassen, gute Kumpels ja, Befriediger meiner Lüste ja, aber nicht Partner. Ich habe damit immer gut gelebt, aber angesichts deines Mutterglücks frage ich mich, ob ich nicht auch mal so einen Wurm in meinem Bauch hätte haben wollen.

“Wo sind denn die Erdbeeren geblieben, die ich mitgebracht hatte?” – Ich weiß nichts von Erdbeeren. “Vielleicht meinst du die Einkaufstüte? Ich fürchte, sie steht noch vor der Wohnungstür… Irgendetwas hat mich eben davon abgehalten, sie mit herein zu nehmen!” Ich gehe zur Tür, vergewissere mich durch den Spion, dass niemand im Treppenhaus ist – ich bin nicht wirklich gesellschaftsfähig angezogen. Ein kurzer Griff und ich habe deine Einkaufstüte. Ihr entströmt der süße Duft von reifen Erdbeeren. Du nimmst das Körbchen mit in die Küche, um die Früchte zu putzen, während ich mich schnell auf der Toilette erleichtern muss.

Zurück in der Küche hast du die Früchte in einer großen Schale angerichtet. “Eine hab’ ich versteckt, die musst du suchen!” Dein schalkhaftes Grinsen lässt mich ahnen, dass ich gar nicht weit suchen muss. Ich drücke dich auf den Küchenstuhl und öffne deinen Bademantel. “Heh, Frau Pütz, was machen sie mit mir?” Keusch verschränkst du deine Beine und bedeckst deine Blöße notdürftig. “Ich muss sie jetzt mal untersuchen!” – “Nein! Kommt gar nicht in Frage!” Das Versteckspiel artet in einen kleinen Ringkampf aus, im Laufe dessen du mich deinen wunderbaren Körper aber doch inspizieren lässt. Endlich kann ich dich mal mit etwas Ruhe betrachten, liebkose deine vollen Brüste, dein kleines Bäuchlein, deine breiten, runden Hüften, deine stämmigen Oberschenkel… ich zwinge deine Beine auseinander, aber du gibst schließlich nach und rückst sogar auf dem Stuhl nach vorn. “Was haben wir denn da? Das sieht mir ja ganz nach Schmuggelware aus!” Deine Schamlippen stehen leicht offen und dazwischen leuchtet es noch roter als sonst. Ich gehe vor dir auf die Knie, züngle an deiner Scham, und nehme mir mit batman escort dem Mund die versteckte Frucht – eine ganz kleine, aber zuckersüß! Solcherart angespornt greife ich in die Obstschale, nehme die dickste Beere – groß wie ein Tischtennis-Ball. Ich setzte mich auf die Tischkante, spreize meine Beine und drücke mir das Obst in die Vulva. “Komm, mein Kätzchen, hol’ dir ein Leckerchen!” Du lässt dich nicht lang’ bitten und tauchst in meinem Schoß nach der Riesenfrucht. Es ist gar nicht einfach, das große Stück mit dem Mund wieder herauszuholen. “Haaalt, ohne Hände!” Du mühst dich redlich, deine Zunge versucht vergeblich, das Obst zu fassen. Frustriert beißt du mir in die Schamlippen, zärtlich, aber deutlich. “Au!”, protestiere ich, helfe aber dann doch, indem ich mit meinen Scheidenmuskeln drücke. Mit einem vernehmlichen “Plopp” gibt meine Muschi schließlich die süße Frucht frei, dir in den Mund.

Eine halbe Stunde später ist die Obstschale leer und wir beide haben rot-verschmierte, klebrige Münder und Schambereiche. Ich lecke dich sauber und will dann meine Finger zu Hilfe nehmen. “Sei bitte gaaanz vorsichtig”, warnst du mich. “Nach Neles Geburt war dort unten bei mir alles kaputt!” Du erzählst mir, wie du dich wochenlang mit Wundsalbe behandelt hast und trotzdem kaum sitzen konntest. Dass du nach drei Monaten versucht hast, mit einem ganz kleinen Dildo deine trotz allem hungrige Muschi zu besänftigen, eine Nacht lang geheult hast vor Schmerz und unbefriedigter Lust, und am nächsten Morgen dein Dildo-Sortiment vor lauter Frust in die Mülltonne geworfen hast. Dass du dich schon damit abgefunden habest, dir den Rest deiner Tage nur “von außen” Lust zu bereiten.

So vorgewarnt gehe ich sehr behutsam zu Werk. Mit Gleitcreme versehen taste ich mich nur mit dem Zeigefinger ganz behutsam vor, Fingerglied für Fingerglied. “Mein Gott, bist du eng!” Kann es sein, dass einem die Fotze zuwächst, wenn man sie nicht benutzt? Nachdem du anfänglich mehr ängstlich meinem Fingerspiel zugeschaut hast, wirst du jetzt zunehmend entspannter und lässt die Lust von dir Besitz ergreifen. Mein Finger ist jetzt ganz in deinem Unterleib verschwunden, ich ficke dich damit langsam. Züngle gleichzeitig an deiner Klit, dir entfährt ein tiefer Seufzer. “Mein Röschen, massiere mein Röschen!” Hm, das war wohl bei der Geburt unbeteiligt… Mit der linken Hand taste ich mich zu deinem Anus vor, während ich dich mit dem rechten Zeigefinger weiterficke. Dein wohliges Grunzen zeigt mir, dass ich die richtige Stelle habe. Ich massiere deine Rosette mit kreisenden Bewegungen, während mein Finger dich immer schneller fickt. “Ja, mach’s mir!”, schreit es aus dir heraus. “Fick mein Loch, fick meine Mutterfotze!!!” Ob meine Nachbarn wohl zu Hause sind? Egal… “Fick mich, schneller, mach’s mir hart!” Ich drück gegen deine Rosette und mein Daumen flutscht in deinen Darm. “Ohhh, du geiles Stück. Jaaa, fick mir den Arsch!” Mein Daumen rotiert in deinem Arsch, massiert deine Darmwände, ich fühle mit ihm meinen anderen Finger in deiner Fotze, und vergehe selbst vor Lust, dir Lust zuzufügen. Mit einem brünftigen Schrei lässt du dich vom Orgasmus davontragen, ich spüre die Kontraktionen an meinen Fingern, deine Bauchdecke, Beine, alles zuckt unkontrollierbar. Während du mit leichtem Wimmern langsam zur Ruhe kommst, greife ich nach meiner Klit und gebe mir selbst den Rest – was nicht mehr viel ist nach der geilen Show!

Später liegen wir eng aneinandergeschmiegt auf meinem Bett, Gesicht an Gesicht. Du hauchst mir einen langen Kuss auf die Lippen: “Danke, das war so schön! Du hast mir meine Fotze wiedergegeben, ich bin wieder eine Frau!” – “Na und jetzt?”, frage ich. – “Hm, ich habe einiges nachzuholen…”, denkst du laut. Ja, und das hast du dann auch gemacht… aber das ist ein anderes Kapitel!

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Schamlose Mädchen – 02 Am Strand

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Zur Überraschung von Hannah hatte Ina gesagt „Lass uns einmal durch die Anlage laufen und nicht direkt zum Strand”, was bei Britta natürlich zu einem Stöhnen führte, um zu signalisieren, dass sie sich in keiner Weise angesprochen fühlte. Wie schon drei Stunden zuvor schnappte sie sich ihr Handtuch und lief davon. „Manches Haus und mancher Garten sind aber primitiv gestaltet oder hätten dringend eine Renovierung nötig”, sagte Ina. „Was kümmert es Dich. Wir haben ein schönes Haus und brauchen sonst nur diesen wundervoll breiten Strand und das flache Wasser”, entgegnete Hannah.

Es waren am Strand ausschließlich Familien zu sehen oder Paare, die allesamt etwas Abstand zueinander hielten. Ein Stück entfernt erblickte Hannah zwei schwule Paare. Einige hatten Liegestühle mit an den Strand gebracht und Sonnenschirme aufgestellt. Nur jüngere Frauen, Jugendliche und Kinder lagen in der Sonne ausgestreckt auf ihren Badetüchern. Die Nacktheit lebten hier, obwohl es im Gegensatz zu anderen Anlagen keine Strandordnung gab, die das zur Pflicht machte, bis auf einige Jugendliche mitten in der Pubertät alle. „Lass uns hier rüber gehen. Ich will nicht am Regenbogen-Beach liegen”, ließ Britta wieder einmal eine Spitze gegen Homosexuelle ab. Die Versuche von Svenja, lesbische Patentante und Cousine von Ina, sie szenenmäßig zu vereinnahmen, waren mit der Hochphase der Pubertät ins Gegenteil umgeschlagen. Britta akzeptierte es, Teil einer Regenbogen-Familie zu sein, lehnte aber alles ab, was darüber hinaus mit der LGBTQ+-Community zu tun hatte. Hannah ärgerte das sehr, doch wollte sie vorerst nichts weiter sagen, weil auch Ina sich zum Schweigen entschlossen hatte.

„Schau mal, der Hund ist irgendwie etwas abgemagert”, sagte Britta auf einmal und zeigte auf einen am Übergang von der Treppe hinunter zum Strand schnüffelnden Vierbeiner. „Wer weiß, wo die herkommen”, ergänzte Ina. Britta versuchte, den Hund anzulocken, doch der schaute sie nur missmutig an und verzog bayburt escort sich. „Sie sind scheu”, meinte Britta daraufhin. „Die haben schlechte Erfahrungen mit Menschen gemacht. Auch in einer solchen Anlage kann das passieren”, gab Ina einen weiteren Kommentar ab. Er war negativ, wie so viele Äußerungen von ihr in letzter Zeit und Hannah nervte das irgendwie. Sie sagte aber nichts.

Um sie herum schienen sich die Leute schon auf den Abend vorzubereiten. Der Badestrand leerte sich bereits etwas. „Deutsche halt. Die sind noch vor 19 Uhr beim Abendessen”, ätzte Ina. „Ich laufe jetzt erst einmal ein Stück den Strand entlang”, meinte Hannah. Sie wollte die zwei mit ihrer schlechten Stimmung jetzt besser allein lassen. Wenn sie der Blick auf der Landkarte nicht getäuscht hatte, lag San Carlu fast in der Mitte des etwa sieben Kilometer langen FKK-Strandes. Hannah wollte nun einfach mal ein Stück Richtung Norden gehen. Dank der Windspiele, die von den Betreibern der Strandbars aufgebaut waren, konnte sie erkennen, wo eine zu finden war. Zwischen zwei von ihnen lag eine große Lücke. Spätestens an deren Beginn würde sie wieder zurück nach San Carlu laufen. Den Rest vom Strand würde sie dann an den nächsten Tagen ablaufen.

Es waren wohl hauptsächlich die älteren Semester, die sich so früh zum Beenden des Strandtages entschlossen hatten. Am benachbarten Campingplatz hielt es noch viele am Strand, darunter zwei weitere schwule und ein lesbisches Paar. Die Surf- und Segelschule hatte gerade die letzte Unterrichtsstunde beendet. Das gesamte Team war nun damit beschäftigt, alles wieder von der Wasserkante ins Lager zu bringen. Gleich dahinter wechselten sich fast 20 Männer, Frauen und Jugendliche beim Volleyball ab. Und alle, die sie bisher gesehen hatte, waren nackt. Das gefiel Hannah, ganz im Gegensatz zu der aus ihrer Sicht doch sehr hohen Textilquote im letzen Jahr am Atlantik, wo zwar Schilder standen, aber von Seiten des Betreibers der Anlage bilecik escort niemand auf Einhaltung des Nacktheitsgebots achtete und drängte. Kurz hinter der dritten Strandbar ragte eine kleine Landzunge etwas ins Wasser hinein. „Dort werde ich umkehren”, sagte sich Hannah.

Sie näherte sich dieser Stelle und sah, dass zwei Frauen damit beschäftigt waren Fotos zu machen. Hier an einem freien Strand war das möglich, in naturistischen Ferienanlagen ist es das Tabu schlechthin. Links von den beiden lagen ein Mann und ein Junge. „Es müssen Mutter und Tochter sein”, dachte Hannah und machte einen kleinen Bogen weg von der Wasserkante, um die zwei Frauen nicht zu stören. Sie setze sich auf einen Baumstamm, der auf dem Strand lag, und schaute zu ihnen hinüber. Für eine Moment erschrak sie, denn die jüngere von ihnen hatte große Ähnlichkeit mit Melanie. Sehr genau schaute sie sich die Frau an, um sicher zu sein, dass es nicht wirklich Melanie war, die da posierte. Das konnte Hannah schnell verneinen, das Mädchen war vielleicht sogar noch unter 18. Dennoch konnte sie sich nicht von diesem Körper lösen. Von Melanies Körper kannte sie nur die Silhouette, aber der des Mädchens entsprach der Vorstellung, die Hannah sich von ihm gemacht hatte. Das Mädchen war auch um die 1,75 Meter groß, der Körper bereits sehr intensiv nahtlos braun. Die apfelförmigen Brüste standen perfekt und im völlig haarlosen Schambereich bedeckten die äußeren Schamlippen alles, was darunter lag.

Es sammelte sich keine Feuchtigkeit in ihrer Mitte, aber Hannahs Brustwarzen hatten sich längst aufgerichtet und signalisierten ihr, dass dieses Mädchen eine Wirkung auf sie hatte. Selbst überrascht von dieser Regung stand Hannah auf und ging nachdenklich den Strand zurück nach San Carlu.

*

Beim Abendessen in der Strandbar zeigte sich bei Hannah, Ina und Britta die für das Ende der Anreise typische allgemeine Müdigkeit. Alle schauten nach dem Essen ihrer wirklich leckeren bingöl escort Pizzen von der Strandbar aus etwas versonnen auf das Meer und den aufgehenden Mond. Als sie wieder ihr Haus erreichten, war es schon dunkel und von überall her drang pausenlos das schrille Zirpen von Zikaden. Hannah blieb stehen, weil sie das in seiner Intensität faszinierend fand. Doch dann nahm sie das Geräusch einer herannahenden Stechmücke direkt an ihrem Ohr wahr und wurde im selben Augenblick auch schon im Nacken gestochen. „Komm schnell rein und mach die Tür zu”, rief Ina. „Hier sitzen sie überall an den Wänden”, rief Tanja aus dem Badezimmer. „Dann machen wir im Sommerurlaub wohl Abende im Haus statt auf der Veranda”, schaltete sich Ina wieder ein.

Hannah ärgerte sich über das Verhalten der beiden. Denn eine von Ihnen hatte im Bad das Licht nicht abgeschaltet, als sie gegangen waren und die mit einer viel zu hellen Birne versehene Außenbeleuchtung war ebenfalls eingeschaltet. In der Wohnung waren die Tiere nun, weil ein Insektengitter defekt war, auf der Veranda die Beleuchtung brannte und dort in einer Ecke ein von wem auch immer mit Wasser gefüllter Blumentopf stand, der Hannah schon am Nachmittag aufgefallen war. Sie hatte aber nicht daran gedacht, dass es besser wäre, so etwas ganz schnell zu beseitigen.

„Naja, wir können unseren Wein ja auch hier trinken”, meinte Ina, die inzwischen alle Fenster geschlossen hatte. „Ich habe im Bad alle Mücken mit heißem Wasser von den Wänden entfernt. Jetzt gehe ich im Haus auf die Jagd. Ich will in der Nacht nicht zerstochen werden”, maulte Britta sie an und in den nächsten zehn Minuten waren im Wechsel ihre Flüche und das Klatschen gegen die Wände zu hören. „Ich habe gesehen, dass beim Supermarkt ein Baumarkt ist. Da hole ich neue Fliegengitter und einen schönen Kerzenständer. Und ich werde am Morgen schauen, dass es rund ums Haus keine Brutstätte für die Biester mehr gibt”, kündigte Hannah an und gähnte. „Ich bin zu müde für einen Wein.” Mehr als einen kurzen Kuss gab es zwischen Hannah und Ina nicht. Hinter verschlossenen Türen und Fenstern fielen sie alle in einen unruhigen Schlaf. Erst als es schon etwas dämmerte riss Hannah die Fenster auf.

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Haven Girls Ch. 01: Wet , Wild

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Amateur

Amira Delmar, a vision in skin-tight Versace that left little to the imagination, surveyed the teenage chaos erupting on her manicured lawn with a mixture of disgust rivaled only by the throbbing between her thighs, a reminder of how long it’d been since she’d closed a deal in the boardroom… or the bedroom.

Today marked her daughter Skylar’s official entry into adulthood — or at least the legal right to vote, buy lottery tickets, and star in barely-legal porn. All of Palm Haven’s elite spawn had descended like a swarm of Gucci-clad locusts, each determined to outshine the others in a dazzling display of privilege and poor decisions that made Amira’s clit throb with jealousy.

Everywhere she looked, overprivileged teens were peacocking their #blessed lives and taut, nubile bodies. Instagram wannabes preened by the infinity pool, their silicone-enhanced pouts more inflated than Delmar Industries’ stock after a hostile takeover, bodies contorting into poses that would make a Kama Sutra master cum in their pants.

A wave of existential dread — and a flood of wetness between her thighs — washed over her as she noticed a young couple locked in a lip-lock so intense, they could single-handedly cause the global warming crisis to skyrocket with their body heat. The boy’s hand disappeared under the girl’s skirt, eliciting a moan that carried over the thumping bass and made Amira’s nipples stiffen painfully against the gossamer-thin silk of her Versace slip dress.

The DJ booth, manned by a scrawny kid who probably moonlighted as a SoundCloud rapper, blasted beats that made Amira’s eardrums beg for mercy. It was the auditory equivalent of being trapped in a washing machine with a dubstep playlist on repeat — though the rhythmic vibrations sent an unexpected tingle through her core, making her wonder if she could discretely grind against the speakers without anyone noticing.

As another tray of suspiciously green ‘mocktails’ floated by, Amira snatched one, wishing it was spiked with something stronger than kale juice and regret. She knocked it back like she would a shot of tequila before a board meeting, her mind drifting to the flask of top-shelf whiskey hidden in her home office — right next to her collection of high-end vibrators.

She’d weathered nearly two decades of Skylar’s teenage typhoon, but this party might just be the final nail in her sanity’s coffin. At least the neighbors would have something to gossip about at the next HOA meeting — a small consolation for the impending migraine and the ache between her legs that refused to subside.

A fleeting thought crossed her mind: Would anyone notice if she just slipped away and found a quiet corner with something stronger than these kale concoctions? Maybe she could finally put that discreet vibrator in her purse to good use…

As if summoned by the collective power of a hundred filtered selfies, Skylar materialized beside Amira, her face a thundercloud of designer discontent. Her crop top barely contained her surgically enhanced cleavage, a sweet sixteen gift that had cost more than most people’s cars.

“Mo-om,” Skylar keened, her voice a masterclass in privileged distress, “this party is, like, the Fyre Festival of Birthdays. No, worse–it’s the Titanic, but instead of Leo DiCaprio, we get DJ Kale and his EDM tribute to a washing machine’s spin cycle. And don’t even get me started on the lack of hot guys. I swear, if one more trust fund baby tries to motorboat me, I’ll scream.”

Amira’s eyebrow arched so high it threatened to disappear into her hairline. “Sweetie, this little soirée cost more than your father’s midlife crisis corvette and his last three mistresses combined. What exactly is the problem?”

Skylar’s lower lip jutted out like a collagen-injected speed bump. “Dakota’s dad snagged Post Malone for her bash. Post. Freaking. Malone. Meanwhile, I’m stuck with Soundcloud rejects and mocktails that taste like lawn clippings had a baby with Kombucha.” She pouted, unknowingly mimicking the same expression that had gotten Amira out of many a speeding ticket and into more than a few officers’ pants.

The Cougar Queen bit back a laugh that threatened to shatter her Botox. “And here I thought hiring Beyoncé to sing ‘Happy Birthday’ was passé. Silly me.” Her eyes couldn’t help but wander to a group of shirtless boys by the pool, their tanned muscles glistening in the sun. She felt a familiar warmth spreading through her body, imagining those young, eager hands exploring every inch of her…

Skylar’s gaze narrowed to laser-like slits, a look that typically heralded a tantrum of biblical proportions. “You’re so last century. My life is over. O-V-E-R. Like, even my emojis are crying! And stop eye-fucking the pool boys, Mom. It’s gross.”

As Hurricane Skylar stomped off, presumably to drown her sorrows in a gluten-free, dairy-free, joy-free cupcake, Amira muttered, “If only teenage angst came with a mute button… or an off switch. And maybe an instruction manual for afyon escort these new tits of hers.”

Despite this, a rogue wave of melancholy washed over her as she watched Skylar vanish into the sea of overpriced outfits. Soon, her little drama queen would exit stage left, leaving this gilded cage empty, with Amira as the sole, fabulous inmate. The thought sent a shiver down her spine, pooling heat in her lower belly. She’d be alone, with nothing but her toys and memories to keep her warm at night…

But before the sultry matriarch could dive deeper into her existential crisis, fate intervened in the form of a neon pink volleyball, launched by some muscle-bound surfer bro, hurtled towards her silicon-enhanced assets. Thanks to reflexes honed dodging flying objects during her toxic marriage, Amira pirouetted out of harm’s way, her fake tits barely jiggling but her thong riding up in a way that made her gasp.

She executed a hair flip so sultry it could make a nun question her vows, followed by a “tsk” dripping with more judgment than a Conservative politician at a drag show. That’s when she locked eyes with the Gen Z embodiment of calculated defiance emerging from behind a nearby palm tree. Suddenly Amira’s libido went from zero to “call my lawyer” in 0.5 seconds, her panties dampening at the mere sight.

This girl was Palm Haven’s version of edgy — about as hardcore as a pumpkin spice latte with an extra pump of vanilla, but to Amira’s touch-starved body, she might as well have been a sex goddess incarnate. She sauntered over, her vintage band tee, chopped and knotted to bare a tantalizing slice of midriff, whispered “I’m edgy” while her designer jeans screamed “Daddy’s credit card.”

A constellation of piercings adorned her features like a roadmap of rebellion, making Amira wonder just how many more piercings might be hidden under those clothes. As the girl drew closer, Amira’s mind raced with possibilities – maybe those piercings weren’t just a map of daddy issues, but an invitation to explore some deeply buried mommy issues. Either way, Amira was suddenly ready to play therapist… among other things that would make her ex-husband’s jaw drop.

“Stellar save, Mrs. Delmar,” Camila purred, her voice a cocktail of jailbait and trouble. “Those obscenely overpriced Pilates sessions are clearly working overtime. Your ass looks like it could crack walnuts.”

Amira’s million-dollar smile could’ve melted panties at fifty paces. “It’s Miss Delmar these days, hon,” she cooed, subtly angling her divorce-settlement diamond – a rock so massive it had its own gravitational pull. “And trust me, these Pilates sessions are good for much more than just cracking nuts. And you are…?”

Camila’s eyes raked over Amira’s curves, drinking in the MILF-tastic feast before her. “Camila,” she shot back, “But you can call me ‘your midlife crisis made flesh.'”

This was Camila? Amira’s jaw nearly hit the floor as recognition dawned. Gone was the awkward, gangly teen who used to trail after Skylar. When did this tag-along blossom into a walking wet dream?

“Well, Camila,” Amira husked, her gaze devouring those pouty lips like a starving cougar eyeing a juicy gazelle, “I hope my daughter’s little soirée isn’t boring that tight ass of yours to tears.”

“Oh, it’s riveting,” Camila drawled, scanning the crowd with the clinical detachment of a coroner at an orgy. “‘Mean Girls’ meets ‘Gossip Girl,’ minus the wit, plus enough daddy’s credit cards to make a stripper weep.”

“Quite the observer,” Amira’s eyebrow arched higher than her libido. “And here I pegged you for another Instagram clone with more filters than brain cells.”

Camila’s smirk widened, a predatory gleam in her eyes. “Careful, Miss Delmar. Your millennial is showing like a granny’s panty line. Instagram’s prehistoric for us.” She tapped her phone, flashing an app that made Amira feel as outdated as a flip phone at an Apple keynote.

“Ouch. Next you’ll say TikTok isn’t just the sound of my biological clock screaming in terror.”

“I’d explain,” Camila retorted, “but your iPhone eleven might combust from shame… much like your panties seem to be doing right now.”

Their banter crackled with sexual electricity, more exhilarating than Amira’s usual Botox-and-Birkin small talk or her vibrator’s highest setting.

“So, Camila,” Amira growled, her hand ghosting over the younger woman’s lower back, “what profound insights have you gleaned from your field study of Palm Haven’s elite jailbait this afternoon?”

Camila’s gaze sharpened, a scholar of debauchery in the making. “Three future influencers destined for OnlyFans stardom, two trust fund babies ‘finding themselves’ in Bali’s seediest opium dens, and one aspiring girlboss whose ’empowerment’ will lead straight to an MLM empire built on overpriced leggings and crushed dreams.”

Amira’s eyes traced Camila’s lips as she talked, imagining them wrapped around something far more exciting than aydın escort witty comebacks. The breeze carried notes of jasmine, chlorine, and Camila’s sweet vanilla perfume — a scent that screamed ‘danger’ but whispered ‘worth every risqué second’ in Amira’s lust-addled brain.

“So, Miss Delmar,” Camila purred, her voice a honeyed trap that Amira longed to fall into, “what’s a smoking hot MILF like you doing in our kiddie pool? Shouldn’t you be sipping martinis with the country club cougars or something?” Her eyes devoured Amira’s curves, wrapped in a designer dress that suddenly felt two sizes too small.

Amira’s cheeks flushed, mirroring the heat blooming between her thighs. Her La Perla panties were already embarrassingly damp. For the first time since her pre-Botox days, Amira felt truly seen — and ravenously hungry.

“Darling,” Amira husked, her eyes drinking in Camila’s lithe form, “sometimes the most fascinating discoveries are found in the most unexpected places.” Her fingers traced the rim of her glass, a promise of more intimate explorations. “Tell me, little anthropologist, have you ever studied the mating rituals of the sexually frustrated cougar?”

A fleeting pang of guilt hit Amira at the sound of her own question. She’s barely legal, you cougar! But a wilder part of her — the part that remembered sneaking wine coolers into prom and giving sloppy handjobs in her parents’ Volvo — thrilled at the forbidden fruit before her.

Something flickered in Camila’s eyes — vulnerability? intrigue? raw, animalistic hunger? — before the cool mask slipped back into place. “Maybe I enjoy studying mid-life crises up close and personal from time to time,” she purred, lips curving into a knowing smirk that promised to teach Amira how the girls at Sunny High Prep do it nowadays.

Amira’s retort — along with her last shred of inhibition — was cut short by a shrill voice that could shatter champagne flutes and extinguish libidos at fifty paces.

“Amirraaaa, dahling!” Brenda Hawthorne’s voice, honed by years of gossip and overpriced yoga, sliced through the air like the severance packages Amira dished out to underperforming execs. Her bedazzled lorgnette glinted like a weapon of mass eavesdropping, threatening to expose not just Amira’s deviant desires, but also the hostile takeover she was planning for Brenda’s husband’s company. “We simply must catch up. I heard the most delicious tidbit about your ex…”

Amira’s smile tightened to breaking point as if to suggest: Fuck off, you botoxed vulture. Can’t you see I’m about to close the deal on this barely legal merger?!?

Instead, she managed to purr out “Brenda, how… unexpected!” Her hand sliding possessively to Camila’s lower back, fingers dipping just below the waistband of her jeans. “We’re in the middle of a fascinating… exploration. What was it again, Cammy?”

Without missing a beat, Camila deadpanned, her voice dripping with sarcasm thick enough to choke on, “The socioeconomic implications of designer handbags as status symbols in gated communities. And how they compensate for dried-up pussies and loveless marriages.” Her eyes flickered to Brenda’s rock of a wedding ring. “For my AP Sociology project, of course.”

Brenda blinked, her frozen forehead attempting to furrow. “How… quaint.” The word dripped from her collagen-pumped lips like venom.

“Isn’t it?” Amira beamed with faux enthusiasm, resisting the urge to high-five Camila. “Now, if you’ll excuse us, we have some… in-depth research to conduct.”

As Brenda tottered off, deflated like her husband’s erectile dysfunction, Amira turned back to Camila. Her eyes smoldered with the intensity usually reserved for sealing multi-million dollar deals or selecting her next boy toy from the intern pool. “You wicked little thing.”

Camila’s lips quirked, hunger dancing in her eyes. “I’ll add it to your tab, Miss Delmar,” she purred, hand cupping Amira’s ass through Versace-clad curves.

With that, the snarky teenager melted back into the crowd, leaving Amira dazed, vanilla perfume lingering like an aphrodisiac. Amira’s gaze drifted to her daughter Skylar, youth personified, her laughter with friends tinkling before the storm. A bittersweet ache bloomed in Amira’s chest, longing for endless possibilities, untainted by time and gravity’s cruel descent.

In mere months, Skylar would flee to Brown, leaving Amira alone in a mausoleum of status. Enter Camila – all Gen-Z audacity and smoldering gazes, awakening the ruthless CEO’s hunger for a life painted in fifty shades of power and pleasure.

That’s when the sky growled and champagne flutes trembled. Heaven’s floodgates opened, turning manicured lawns into Slip ‘N Slides for Balenciaga sneakers. Coiffed dos wilted faster than middle-aged cocks at an orgy.

“My fucking hair!” Brenda wailed, her updo a soggy tribute to drowned rats. Even Botox couldn’t withstand Mother Nature’s bitchy mood swing.

Skylar’s voice, shrill ağrı escort and entitled, cut through the downpour. “Mom! The Chanel! It’s getting soaked!”

Amira stood poised, her statuesque frame a monument to power and control. The external deluge mirrored her internal tempest, a flood of desire threatening to breach her carefully constructed dams. Duty whispered faintly, but the CEO in her recognized a prime opportunity when she saw one. Her calculating gaze locked back, fixed on her newest acquisition — Camila — lounged beneath the pool house canopy, as if no storm was happening, her very presence a fuck you to nature itself.

Those dark eyes seared into Amira with an intensity that stole her breath and definitely obliterated her last shred of heterosexuality. Camila’s soaked top clung like a second skin, a tantalizing glimpse of assets Amira was determined to acquire and dominate. Especially that nipple ring that begged to be tugged and flicked by her eager tongue. Her desperate housewife heart raced like the stock market on a bull run, her La Perla panties drenched in a cocktail of rain and raw desire. Her clit throbbed with each pulse, begging for attention like a neglected pet.

Be the mother Skylar needs, her sensible side pleaded weakly. But a wilder voice, emanating from her dripping pussy, growled with primal hunger: Be the filthy slut you’ve always wanted to be. Choose pussy over propriety, for once. Devour that Latina goddess until she screams your name loud enough to drown out the storm.

Lightning crackled across the sky like a billion-dollar idea, highlighting the internal hostile takeover in Amira’s eyes and the growing liquidity crisis in her Versace dress. The gravitational pull towards Camila, towards a life unchained and a cunt begging to be ravished, was stronger than any social obligation or half-assed attempt at propriety.

“Just wrapping up a call, honey!” she shouted back to Skylar, her corporate-honed ability to bullshit on command coming in handy as her body screamed for a different kind of merger. Her traitorous feet carried her poolside under the rain and not towards saving the Chanel. Each step a middle finger to her carefully curated life, each squelch of her sodden panties a battle cry of repressed desire.

Under the canopy, Amira’s breath came in ragged gasps, her entire being pulsing with the storm’s primal rhythm. Camila stood dangerously close, nipples jutting through her rain-soaked top like pebbles begging to be sucked, rolled, bitten until Camila screamed. The scent of her desire mingled with the petrichor, creating an intoxicating cocktail that made Amira’s head spin.

“Chasing me through a monsoon?” Camila bit her lip, igniting a spark in Amira’s core like a sudden surge in quarterly profits. “That’s some aggressive acquisition strategy, even for Palm Haven’s top CEO.”

Amira’s composure cracked like cheap veneers. “Not chasing,” she managed, voice husky with lust. She inched closer, moth to flame. “More like… conducting due diligence. And you have no concept of how thoroughly… wet I am.” Her hand, moving of its own volition, grabbed Camila’s wrist, pressing those talented fingers against the soaked fabric between her thighs.

Camila’s eyes widened, a predatory grin spreading across her face. “Oh, I think I have some idea,” she purred, her fingers curling against Amira’s aching pussy, separated only by the thin, drenched fabric. “But what exactly are you hoping to conduct in this soaked teenage wasteland, Ms. Delmar? Surely Palm Haven’s most formidable divorcée slash Fortune 500 CEO has… loftier pursuits than eating barely legal pussy.”

The Sardonic Seductress, recognized she had Skylar’s mom wrapped around her pale, slender finger, and decided to plunge that digit deep into the older woman’s psyche. After all, it’s not every day that a barely legal bombshell like her gets to corrupt the Wine Mom Gone Wild, tarnishing the town’s golden girl with delicious depravity. The power trip was more intoxicating than absinthe, making her own tight, teenage cunt throb with unholy anticipation.

“Maybe you’re tired of being everyone’s perfect little Stepford wife,” she purred, her voice dripping with challenge and dark promise.

Amira’s hand slid to Camila’s neck, feeling the rapid pulse beneath her fingers. “Maybe I am,” she confessed, barely audible over the storm. “Maybe I just want to feel something real again. Like your tongue on my clit.”

Camila’s snarky smile didn’t flinch at that unapologetic statement. She leaned in, lips grazing Amira’s ear. “Then stop thinking,” she whispered, her breath hot on Amira’s skin, sending shivers down her spine. “And just feel. Feel my fingers deep in your dripping pussy, feel my mouth devouring your tits. Let me make you scream louder than this fucking storm.”

Their lips crashed together, a violent collision of tongues and teeth that left them gasping. Amira moaned shamelessly, gripping Camila’s ass, desperate to grind against her. Camila’s hands roamed possessively, fingers digging into the wet fabric of Amira’s dress, roughly cupping her breasts and pinching her nipples through the soaked material. The heat between them exploded, burning through the cold rain and incinerating any last shred of Amira’s inhibitions.

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Lust and Lightning

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Ass

The forecast called for scattered afternoon thunderstorms, some possibly severe, and included a flash flood watch for several counties. Faren heard the loud severe weather notification from her phone on the nightstand, and her heart sped up as she knew things would soon start happening. She had known today would be active and spent the last few days preparing. Making sure she had her room key, she grabbed her phone and stepped out past her car to the middle of the gravel parking lot. The sky was darkening to the west and she could just barely see the leading edge of the giant ufo-shaped cloud that indicated a developing supercell.

Faren had been a professional photographer for the last five years. It started as a hobby when she was 12. She loved thunderstorms and used to position herself in the family garage and take photos of them with her first camera. That beginning led to a growing passion for all things photography, and every type of photo subject under the sun. She went to college on an academic scholarship, and majored in meteorology with a minor in photo journalism.

One stormy Sunday during her freshman year, just for fun, she grabbed her best camera and tagged along with a group of friends who were aspiring storm chasers. That day changed everything. Faren ended up with a world class lightning strike photo that went viral online and propelled her to instant fame. The photo was shown by all the major news networks and soon had been seen tens of millions of times, all around the world.

She won several awards and received numerous lucrative opportunity offers, many of which would have required her to quit school and move overseas. She definitely wasn’t going to quit school so she opted for some commissions from individuals and businesses who wanted her to take specific photographs. She did very well with that as she stayed and completed her degree. After college, her career really took off and she became one of the best known award winning photographers in the business.

Faren was also stunning. She had been a beautiful little girl, and grew into a bombshell woman. She was as feminine as it gets, wearing only dresses, skirts, or shorts…….no pants. Her long hair was golden brown and looked good no matter how she wore it. Her face was 1950s movie actress pretty, with big green eyes and perfect lips. Her curvy body invited a consistent onslaught of “admiration” from many hopeful men, and more than a few women.

At 24, Faren was still a virgin. Not that she necessarily wanted to be, she just hadn’t found the one yet. She didn’t date much in high school because the boys were immature and were only after sex. She tried dating a few college guys her freshman year, but discovered that they were just older and slightly smarter versions of the high school guys, who now had alcohol to help them get what they wanted. Speaking of alcohol, she made out with one of her drunken college girlfriends after a late night party one time, but the girl wouldn’t go any farther than kissing because she said that it would make them ‘lesbos’.

She wondered at the time why people needed sexual preference labels. Wasn’t it possible to just be attracted to a cool person without any pre-qualifiers? THAT was her sexual preference…….cool people that she was attracted to. It was all very frustrating for her and not worth the effort, she’d decided. After her lightning strike photo went viral, she didn’t have time for dating or relationships anyway, between her school work and the part-time photography gig.

But now, as a successful young professional she was ready to meet someone special.

The bar scene wasn’t her thing. She’d spent more time getting to know colleagues and acquaintances that she found interesting, than she ever spent flirting with anyone in a bar. She also believed in chance meetings….that total strangers can sometimes be the best friend or love of a lifetime that you just hadn’t met yet. She wasn’t exactly looking for someone, but she was more open to the idea than ever before.

It was time to head towards the storm and find a decent vantage point to try to get some good images. She photographed all kinds of things as a professional, but storms were her favorite and the source of her original success, so she always spent some of her long summer vacation trying to capture something new from the clouds. She had become very good at capturing lightning images using fast shutter speeds, but hadn’t been in proximity of another ground strike since that original photo that started her career.

She loaded her equipment into the X5 and headed west towards the dark horizon. She chose this little part of the county because it was rural and sparsely populated but had lots of country back roads, increasing the potential number of places to get good shots. She pulled off the highway down a gravel side road, with the storm about 10 miles out, according to her radar app. She made two more turns and went down a steep hill, across a dry creek bed, and up another steep hill until she found a long open meadow that aksaray escort ran along the dirt road. She spotted a row of rusty mailboxes and pulled over across the road, at the end of an adjacent driveway.

For the next 10 minutes, Faren was checking the radar, setting up and anchoring tripods, checking her lighting meter, and watching the sky. She had positioned herself east of the storm, so she should stay dry here and didn’t worry about bagging the cameras. She got back in the car and grabbed a package of cheese peanut butter crackers off the dash and reached behind her seat into the cooler and retrieved an ice cold Dr Pepper. Bottle, of course. She’d been hooked on both since college. Upon finishing her delicacy and checking the radar again, she looked out across the field and saw the first bolt of lightning snap just beyond the tree line.

She stepped out and walked towards her cameras just as a very nice, large, approaching pickup truck slowed down and stopped right next to her.

The door opened and a gorgeous redheaded woman turned and dropped out of the driver’s seat, her cowgirl boots hitting the gravel with a clomp and her red curls bouncing playfully.

“Hi!” she flashed a pretty smile.

“Hi!” Faren said, smiling back, guessing she was around 30.

The woman walked around her truck and retrieved some mail out of one of the mailboxes.

Faren had never remembered seeing a more beautiful human. She was a little flustered and her face and nipples tingled.

“Good looking storm” the woman said cordially, seeing Faren’s equipment and assuming that was her purpose in being there.

Faren was staring now. The curly red locks and lightly freckled cheeks, blue eyes with long lashes, glossy lips and a tiny little nose. A light blue sleeveless top and a white skirt with light blue boots. And…….her nipples were hard……and distracting.

“Uh….yeah” she snapped out of it. “It’s about to cut loose.”

The woman studied Faren up and down for a long few seconds, blushing and smiling when their eyes met again.

“I have some bad news and some good news,” the woman said, with half cute smile and half apprehension.

“What’s that?” Faren asked, looking surprised, and trying hard not to look down at the woman’s erect nipples.

“Well, the bad news is your gear and car are blocking my driveway, and I have frozen groceries in the truck that have already been in there an hour.”

Faren looked at her gear then back at the woman, and fake smiled.

“What’s the good news?” Faren asked sheepishly.

“The view is much better from my place up the hill. You can follow me up after we load up your equipment. I’ll help so it’ll be faster.”

Faren noticed a look in the woman’s eyes, but too early to tell what it was. As the two folded tripods and loaded gear into the suv, Faren could smell lemons and vanilla as they passed close to each other several times. The woman’s features were even more lovely up close, and Faren was nervous, realizing she was attracted to her. She noticed there was no wedding ring on her hand.

They stood and turned at the same time and almost bumped foreheads at one point, finding themselves face to face, and time seemed to slow down briefly as they shared a nervous second of sexual tension, both glancing at each other’s lips, then blushing and taking a quick shuddery breath before darting their eyes away, pretending they weren’t just thinking about what it would feel like to kiss the other.

Five minutes down a winding driveway later, Faren pulled to a stop behind the pickup in front of a large Aspen lodge styled, modern log home complete with a separate guest house and a small metal airplane hanger that was empty. There was a large horse stable and another large metal building in an adjacent fenced area.

“You can set up over there next to the barn” she pointed to the large metal building. “You can see more than 20 miles across the valley from there. It should be the best seat in the house if you’re looking for a light show” said the woman, smiling. “I’m Jess, by the way.”

“Thanks, Jess, I’m Faren” she smiled, maybe for slightly too long. The mild sexual tension was creeping back. “I’d better get set up if I want to get any good shots.”

“Of course……..do your thing and I’ll unload my groceries. We’ll chat after your storm passes……..um…….if you want…….I mean…….assuming you’d want to stick around after the storm……..and……….oh, never mind.” Jess finally got out, with a nervous giggle followed by a frustrated sigh, as she walked toward the truck looking down and shaking her head, wondering where THAT nervous outburst came from.

Faren went to set up, stealing glances at Jess and catching her doing the same a few times. She thought that Jess might have felt an attraction too, but it seemed like she was conflicted with the feelings, or at least a little awkward. Maybe she was just nervous.

Calm down, tiger, she thought to herself. You just met her and have no idea amasya escort where this is going. If anywhere.

Jess had finished unloading her groceries and gone inside, leaving Faren and the storm alone. She got everything all set as the lightning ramped up and lit up the valley with giant lava-like fissures ripping the sky open. As dangerous as lightning is, there’s also a beauty in it. She set the timers and sat back and watched the show as her cameras hummed away, capturing nature’s artwork. She moved the cameras to different positions and angles over the next 20 minutes as the storm moved to the northeast. Suddenly, she spotted a particularly low and dark section drop below the cloud bank, and instinctively knew that’s where she would find cloud to ground lightning.

Jess had come out and was headed her way with a cold drink, when she stopped in her tracks as her eyes grew wide and mouth dropped open.

Faren had stripped off her top and skirt, and was standing there in the black and tan bikini she’d worn under her clothes, wrapping a camera in a plastic bag. She saw Jess’s surprised look, and noticed that she was looking her up and down in her new state of undress, which made her pussy tingle.

“I’m going over to that darkest area to try to capture a ground strike” Faren pointed to the clouds.

“In a bikini?’ Jess asked playfully, blushing as she ogled Faren’s curves.

“I’m going to get wet!” Faren said happily, with a flirty smile and tone.

Jess turned beet red and giggled like a naughty kid who’d just been caught being bad.

“I wanna get wet too!” she fake pouted “can I go with you?”

Faren was surprised, but delighted.

“You can, but make it quick.”

Jess squealed and ran towards the house. Faren finished securing the wrapped camera and grabbed her little point n shoot out of the glove box.

Jess appeared from inside wearing a sexy light green and yellow bikini, with her hair in a pony tail and an Oakland A’s ball cap. She had a concerned look on her face as she made it to the car. And, her nipples were still hard.

“Wow!” Faren said “you look a……

“I’m straight but I like you!” Jess abruptly cut her off talking over her, almost shouting and looking surprised at herself that she’d even said it.

A second of awkward silence and wide eyes…….then,

“I’m a virgin but I like you too!” Faren exclaimed, as if not to be outdone and looking just as surprised…….not even sure where that came from or how it was a relevant response.

They stood there staring at each other with shocked expressions, both processing what had just happened…………….and simultaneously lost it, laughing so hard it was difficult to breathe. Faren actually had to sit on the driveway, laughing so uncontrollably that she didn’t trust her legs to hold her up. Jess was holding her stomach, trying to beg Faren to stop laughing, but unable to make words. Jess finally made her way over and took Faren’s hand helping her up, and the two women embraced and held each other close as they continued to laugh, not embarrassed or shy that their bikini clad bodies were pressed together.

For the next 45 minutes, they drove through mud and ran through fields in the rain, climbed fences and crossed creeks, laughing and taking pictures all along the way. Faren had brought the point n shoot camera for Jess, so she could take some lightning photos as well. They were having fun, running around in the rain like little girls at times, but they were also stealing glances at each other’s sexy bodies. The storm started to move on for the evening, so they headed back to Jess’s place. Faren took note of another building storm cloud to the southeast, but it didn’t appear to be heading in their direction, so she moved on.

She got all of her equipment packed up in the X5, and turned to Jess, a little sad that their time together was ending.

“Alright, it’s been a pleasure but my motel is an hour drive, and I need a shower.”

“I’ll run in and transfer these photos to my laptop real quick” Jess said, holding up the point n shoot camera.

“You can keep it, those cameras aren’t expensive and super easy to use. Maybe it’ll inspire you to take more pictures” Faren said, smiling.

Jess stared at her for a few seconds, obviously deep in thought, then took her hand and started walking her towards the house. “You can shower here, then stay for dinner and hang out with me?” she offered, in the form of a rhetorical question.

The bribes came next.

“I’ve got a pork butt on the smoker, fresh corn on the cob, and homemade peach cobbler with fresh churned ice cream.”

Faren started to speak but Jess cut her off again.

“And…….I’ve got a pitcher of margaritas made up with fresh squeezed lime, and enough ingredients to make two more pitchers?’ she added, nodding proudly and waiting for Faren’s reply.

Lightning flashed and the thunder answered as raindrops started hitting the metal roof.

“Pork butt on the smoker?” Faren said, antalya escort in her best fake southern accent while looking serious.

“Did you say pork butt on the smoker?” she repeated the same way, a little louder.

Jess was laughing hard now. She really, really liked her new friend. They had the same sense of humor. and she was fun and easy to talk to. And easy to look at, she found herself thinking as she gazed at her friend in her bikini and felt a tingle in her pussy. ‘What is going on here? I’m not in control of whatever it is’ she thought.

They had their first margaritas as Jess showed her around the house.

“Use my shower in the suite” Jess said “Towels are under the sink, shorts and tank tops in the top drawer of the island in the closet, panties in the next drawer down if you want them and aren’t repulsed at wearing another girl’s clean panties” she paused and blushed “and you can just throw your bikini in the extra sink and we’ll hand wash it with mine after I shower.”

Faren blushed back. “Thanks,”

By the time both girls had finished showering, it was raining hard outside and an occasional flash of lightning lit up the dark beyond the windows. The pork butt needed another hour on the smoker, so they decided to relax and talk. Both were wearing tank tops and satin sleep shorts, and both had opted for panties. Faren was privately excited to wear Jess’s panties, not repulsed, and Jess had been secretly excited at the thought too. They poured more drinks and Faren followed Jess out the back door to a table on the covered patio, where they sat.

“Where did the name Faren come from?” Jess asked.

“My father was a meteorologist and my mother was his research assistant, before I was born, so Faren came from Fahrenheit, the temperature scale, but with a simpler spelling so everyone could pronounce it easily. I majored in meteorology too, so it kinda fits me, even though I went into photography instead of weather.”

“Where are your parents now?” Jess asked.

“My dad died when I was in high school, and my mom remarried and moved to Canada. She comes for holidays sometimes, but we’re not super close. She has a different life now.”

Jess nodded.

“So………you’re really a virgin?” she asked.

“I….”

“Hold on!” Jess said, and she hopped up and ran inside. She came back with a joint, a lighter, and an empty beer bottle for the ashes.

“My ex was a musician. I keep finding this stuff hidden all over the house, even though he hasn’t lived here in almost two years.”

Faren giggled and Jess sat down and got it started before handing it off.

Faren took a hit and nodded “yes, I’m really a virgin” she admitted “I’ve never had sex with anyone, male or female.”

The rain picked up a little, increasing the soothing sound on the metal roof.

“So……you don’t know if you’re gay or straight….if you’ve never tried either, huh?” Jess asked innocently.

Faren thought for a long few seconds “well, I don’t know………I mean…….how do you know if you’re gay or not, unless you’ve tried both?” She passed the joint.

“I don’t know…….I’ve never thought of it that way”

Jess paused for a full minute then took a deep breath “I had a bad finish as a teenager……..one that resulted in major trust issues with girls.” She swallowed. “Unknown to me, one of my best girlfriends had a crush on me all through high school. We shared the same birthday and had party together for our 18th. Apparently she had finally worked up the nerve to kiss me when we were alone, but I didn’t kiss her back. Another friend had burst into the room just as it happened, and the friend who tried to kiss me ran out crying. I felt bad because she was my friend so I went after her, but she shouted at me and told me to leave her alone.” Jess’s voice sounded thick with emotion.

“By the time the party ended, the rumor was that I attacked HER and tried to kiss HER, and that I was a lesbo. A very aggressive lesbo.” Jess was still a little hurt about it. “She never told the truth, so I was bullied and labeled by everyone who used to be my friend.” She paused and looked at Faren, “It wasn’t the being labeled a lesbian part that bothered me…..it was that I thought they were good people and my friends……..not a bunch of nasty homophobe bitches,” she looked down with a faraway expression, remembering.

After a few seconds Faren replied “I get that…..I didn’t have a social life in school specifically to avoid people and situations like that.” She paused and thoughtfully said “I’m sorry It happened to you though.”

The sound of the rain was like a soundtrack, filling in the gaps in conversation.

“I love the rain” Jess said as she closed her eyes and sighed and let her shoulders relax and fall, bringing a satisfied smile to her face “it’s peaceful.”

Gazing at the gorgeous woman, Faren suddenly wondered if that’s what her face looked like after an orgasm. She thought of the way Jess had looked in her bikini, those nipples, and remembered the arousal she had felt as they ran around in the rain together, stealing glances at each other and touching unnecessarily. She caught herself staring as she was deep in thought, and blushed as she realized Jess was staring back with a playful grin that seemed to say that she could read Faren’s thoughts.

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Summer Rain

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Blowjob

Author’s Notes: This story has been posted to Literotica.Com with the full knowledge of the original author, JimBob44. No part or whole of this story may be reprinted in any other format or on any other web site without the express written consent of the original author.

Any and all persons engaging in any sexual activity are at least eighteen years of age.

Disclaimers: This story has been edited by myself, using Microsoft Spell-check. You have been forewarned; expect to find mistakes.

*.*

“Heeeey! Come on in!” Bramley Applewhite cheerfully called out, swinging the door of the apartment wide open.

“Hey! Thanks,” Ann MacIntosh smiled, entering the cool, dimly lighted living room.

The petite red head looked around; the furniture looked plush, inviting. Everything was soft, muted colors but was not drab. Even the framed painting over the sand colored velour couch was soft and muted.

“I swear, it is just so hot out there,” Ann said.

“Yeah, but it’s a dry heat,” Haralson Apple said from the depths of the kitchen.

“Hot is hot, whether it’s dry or not,” Bramley retorted.

Ann wondered how they managed to make the apartment dim; the late summer morning sun was bright with not a cloud in the sky.

“Come in, come in, sit, Hare’s in the kitchen making us some canapes or as normal people call them, finger food,” Bramley said, shutting the door of the apartment.

“Some people also call them hors d’oeuvres,” Haralson called back.

“Or, the majority of people in the world just call them appetizers,” Bramley teased, settling onto the couch next to Ann.

She smiled as Haralson entered the living room, tray in hand. With a flourish, he placed the tray onto the table. He placed some cloth napkins next to the tray.

“The ones on the left,” Haralson said, indicating what side of the platter he was referring to, “Are smoked salmon; the ones in the middle are an olive spread and the ones on the right are a humus. Care for a drink?”

“Um, what do you have?” Ann asked, deciding to try a smoked salmon canape.

“Sparkling water, um, mimosa, lemon spritzers, oh! Oh! He makes the absolute best muddy blary in the world…” Bramley enthused.

“Muddy…? Sounds like you’ve already had a few,” Ann giggled.

“I use this cayenne vodka,” Haralson called out.

“I just love your hair; how long you been growing it like that?” Bramley said, even combing her fingers through a few strands of Ann’s ankle-length carrot orange hair.

“Pretty much all my life,” Ann said. “My mom cut it once when I was like five or six and we both cried and cried and we never cut it since.”

“Or, I can make us a batch of apple of my eye,” Haralson suggested as he walked back to the kitchen.

“Ooh, could you?” Bramley begged, helping herself to a smoked salmon canape.

“Apple of my eye?” Ann asked.

“It’s this drink he made up,” Bramley enthused, still playing with Ann’s hair.

“Some green apple vodka, some apple brandy,” Haralson called out from the kitchen. “Some cinnamon liqueur and apple juice.”

“He freezes the apple juice,” Bramley confided. “It’s the perfect summer brunch drink.”

Any conversation was cut off as a large capacity blender ground through the chunks of frozen apple juice. A moment later, the blender whined to a stop and Ann tried a humus canape. She looked up when Bramley twisted to pull her feet under herself on the couch.

Bramley Applewhite apparently had some Asian heritage; her dark eyes were almond shaped and her knee-length hair was straight and shiny black. Her face was narrow, her nose slim and pointed, her lips thin.

Just like Ann, Bramley was petite; Ann guessed they were both roughly five feet in height. Both were also slender. Ann hated her own 24A chest, 22 inch waist and 25 inch hips. If she had to be short, cursed with pale skin, red hair and an abundance of freckles, couldn’t she at least have been blessed with large breasts? Blessed with a sweet bubble butt?

Bramley also seemed to have a small chest, slim waist and narrow hips. Her skirt reached to mid-thigh, exposing slim golden brown legs.

Ann tugged down the hem of her sundress but could only pull it down to mid-thigh. When Bramley had invited her over for Sunday brunch, Ann had not known what to wear so decided on her cutest sundress, a pale yellow dress with light blue flowers and her leather sandals. She’d not given thought to just how short the dress was but now struggled to preserve her modesty.

“Here we are; an apple of my eye for the apple of my eye,” Haralson said, bringing two drinks into the living room.

“Apples,” Bramley giggled, accepting the drink.

“Hmm?” Haralson asked.

“Apples. I’m an apple, and Ann’s an apple,” Bramley explained.

“Oh God,” Ann groaned. “Yeah, yeah, heard it all my life; MacIntosh is an apple. An apple. Ann Apple.”

“Why when you moved in I told Hare we needed to have you over,” Bramley said, her breath warm against Ann’s ear and neck.

“Hey, I’m an apple too,” Haralson adana escort smiled at Ann.

“By the way, these hors d’oeuvres are great,” Ann offered.

“Canapes,” Haralson smiled.

“Appetizers,” Bramley teased.

“Know what Bramley? Next time, you cook,” Haralson told Bramley.

“You really want me to do that?” Bramley asked, laughing.

“He’s a cook,” Bramley confided to Ann, resting her hand lightly on Ann’s bony hip. “Works off-shore.”

“No kidding?” Ann asked, trying another humus canape.

“God, I could just play with this hair all day,” Bramley said, now gently raking her fingernails against Ann’s scalp.

“Wonderful. Wonderful, oh these are just perfect,” Haralson enthused and Ann heard the oven door slam shut.

“Brunch is ready,” Haralson announced and placed three plates onto the round dining table.

“What? What is this?” Ann asked, seeing three small pies on her plate, along with a small bowl of chopped vegetables in a sauce and some chopped pieces of fruits.

“Quiche,” Haralson said. “This one…”

He pointed to one of the quiche as Bramley and Ann took their seats. Ann put the linen napkin onto her lap and took another sip of her sweet and tart Apple of my eye cocktail.

“…is a spinach quiche. This one is a crawfish quiche, and this one is a five cheese quiche,” Haralson continued.

“Five? Five? Only five? Ann, he’s cheating us,” Bramley teased.

“You hush your mouth, woman,” Haralson smiled and kissed Bramley’s laughing mouth. “The broccoli cauliflower carrot medley has a dill sauce with it and the fruit is oranges, pineapple, and grapefruit; just something light and refreshing.”

Ann watched as Haralson returned to the kitchen. He was a handsome man with thick brown hair, deep brown eyes and a tanned, strong face. His shoulders were broad and his chest tapered into narrow waist and hips. Ann was terrible at guessing heights but Haralson was easily six feet tall if not taller.

“Um! Oh! Oh, this, this is to die for!” Ann said, trying the crawfish quiche first.

“Ann, what you take in your coffee?” Haralson called out.

“Bailey’s,” Bramley called back.

“Your name Ann? Huh? Is your name Ann?” Haralson asked. “I’ve already made yours, Ms. Bramley Applewhite.”

“Bailey’s?” Ann asked.

“Bailey’s Irish Cream,” Haralson and Bramley explained.

“Oh, I try that?” Ann asked.

“Absolutely,” Haralson agreed.

After their brunch had been eaten, Haralson made another batch of Apple of My Eye, refreshed their coffees, then served a warm cinnamon bread pudding with a brown sugar bourbon glaze. Ann could feel the effects of the alcohol as they finished up their late morning meal.

“Can I brush your hair; do you have your hairbrush with you?” Bramley asked as Haralson cleared away their dishes. “God! I just love your hair.”

“I, yeah, yeah, let’s see,” Ann said, fishing her pink plastic hairbrush from her faux Barragona bag.

Bramley knelt on the floor behind Ann’s chair and slowly, lovingly brought the brush through Ann’s limp red hair. While Bramley worked, Haralson prepared another batch of the sweet, tangy apple drinks.

“Beautiful,” Bramely husked into Ann’s ear, then delivered a soft bite to Ann’s left earlobe.

“Hey!” Ann giggled, lightly swatting at Bramely over her shoulder.

“She’s like that,” Haralson agreed. “Anything else before I close the kitchen down?”

“Some more appetizers?” Bramely teased him then gave Ann’s graceful neck a soft bite.

“Hey,” Ann protested lightly, even as she tilted her head to give Bramely easier access to her neck.

“Canapes?” Harrelson smiled, unconsciously rubbing his growing erection as he watched his girlfriend slow, methodical seduction of the new neighbor.

“Mm,” Ann moaned lightly as Bramley’s tongue gave feather light licks to her throat.

Remaining on her knees, Bramley twisted Ann’s chair and softly kissed along Ann’s jawline. She used her hand to gently tilt Ann’s face down and pressed her lips to Ann’s lips.

“Mm hmm,” Bramley worked her tongue into Ann’s gasping mouth.

Ann could feel the button at the base of her neck being worked loose. She could feel the zipper of her sundress being worked down. Ann felt powerless, felt unable to stop Bramley as the attractive woman continued to kiss her.

Slowly rising to her feet, Bramely continued to kiss Ann. She then pulled Ann from the chair and eased Ann’s sundress down over Ann’s shoulders and narrow hips. Ann realized she was now dressed in only skimpy lace panties and sandals in front of two people she’d known for less than an hour.

“Oh! These, these are the prettiest…” Bramley husked, gently running her fingertips over Ann’s tightly crinkled areolae.

Bramely again worked her tongue into Ann’s mouth as she played with Ann’s breasts. Then, releasing Ann’s mouth, Bramley bent her head and captured Ann’s left nipple in her mouth.

“Bedroom, bedroom’s right down the hall,” Bramely suggested, her left hand sliding ankara escort past Ann’s waistband.

“I…I, oh!” Ann tried to think, but Bramley’s mouth and fingers were making coherent thoughts nearly impossible.

And the alcohol had not helped. Ann allowed herself to be guided to the neighbors’ bedroom. Her sandals and panties were removed and she was placed in the center of the large, fluffy bed.

“That is the prettiest little pussy,” Bramely enthused, kneeling between Ann’s splayed legs.

Ann squealed loudly when she felt Bramley’s mouth upon her sex. Ann could feel Bramely’s full lips kissing her puffy inner labia. She felt Bramely’s fingers at the mouth of her sex, felt Bramely’s fingers opening her for a searching tongue.

“Ung!” Ann heard Bramley groan.

Through heavily lidded eyes, Ann watched as Haralson knelt behind Bramely’s upturned buttocks. She watched as Haralson’s arm jerked behind Bramley and Bramely’s eyes squeezed shut tightly.

“Ung! Go, ung, go slow; you know you too big to just…” Bramley grunted and shuddered.

“Fuck! I, oh God!” Bramley then cried out.

Bramley rocked back and forth as Haralson began pushing himself forward. Bramley’s fingers jerked in and out of Ann’s squelching pussy, in synchronization with Haralson’s movements. With a heavy shudder, Bramley bent her head and began lapping at Ann’s pussy with earnest.

“Ooh,” Ann grunted as Bramley’s tongue found her clitoris.

“Yeah?” Bramley asked, voice strangled. “Like that?”

“Uh huh,” both Ann and Haralson answered in unison.

“God, God damn, Haralson; you, you’re splitting me in…AUGH! I, oh God!” Bramley cursed then squealed in orgasm.

When her shudders ceased, Bramley again placed her mouth on Ann’s sex. She lapped insistently at Ann’s folds then sucked Ann’s clitoris into her mouth. Haralson began to thrust in earnest which forced Bramely’s mouth to thrust against Ann’s pussy.

“Augh!” Ann panted, coming closer and closer to her climax.

“I, oh, oh God, yes,” Haralson gave a strangled scream.

“Aieegh!” Ann gave a strangled scream as her orgasm racked her slim body.

“I, God, that, God your ass is just perfection,” Haralson groaned.

“Mm hmm,” Bramley moaned, tongue and fingers bringing Ann to another screaming orgasm.

“He, augh, I, damn, damn, damn!” Bramley panted. “He, he just loves anal.”

“A… He, that…” Ann panted as Bramley now kissed along Ann’s inner thighs.

“I love it too,” Bramley whispered as they could hear the water running in the bathroom. “When he’s fucking my…”

Bramley ceased talking when the water stopped. She again brought her mouth to Ann’s pussy as Haralson entered the bedroom, washcloth in hand.

“Mm, oh, oh Sweetheart,” Bramley approved as Haralson sponged Bramely’s anus.

Wiggling forward, Bramely kissed Ann’s tuft of pubic hair, then Ann’s belly. Bramely then spent a few minutes gently gnawing on Ann’s nipples while thrusting a few fingers into Ann’s pussy.

After a few passionate kisses to Ann’s lips, Bramely somehow managed to roll herself and Ann over so that Ann was lying on top of Bramley. Ann’s thin thighs were between Bramley’s spread legs. There crotches mashed together; Ann’s sprigs of coarse pubic hair rubbing against Bramely’s smooth crotch.

Ann had never engaged in lesbian activity before; she’d gone to a strict Christian private school. Yes, there were two or three cheerleaders that were rumored to be lesbians, along with a few softball and volleyball players, but Ann had not been in their periphery. She’d been an outcast among her fellow classmates.

Closing her eyes, and her thoughts against the years of moral upbringing, Ann bent and captured one of Bramley’s hard nipples in her mouth. She softly licked at the hard nub, slowly increasing the suction. Then she gently bit down and pulled the breast away from Bramely’s torso. Releasing the nipple, Ann again kissed Bramley’s gasping mouth. Then she captured Bramely’s other nipple.

Wiggling down after releasing Bramley’s nipple, Ann kissed her way down Bramley’s smooth flesh. When she reached Bramley’s navel, Ann gave the small dimple a kiss and a swipe with her tongue. Then she continued her downward progress. She could smell Bramely’s musk as her lips met the beginning of Bramley’s prominent pubic mound. Ann continued to kiss down along the smooth flesh until she felt the beginning of Bramley’s slit. Then she opened her mouth and stuck her tongue out.

“Oh!” Bramely moaned as Ann’s tongue swiped along her slit.

“Mm hmm,” Ann agreed, tasting Bramley’s musky essences.

She could feel Bramley’s inner lips peeking through the plump folds of Bramely’s sex. She could feel their moisture, feel Bramley’s excitement. Using her thumbs, Ann opened Bramely’s sex and delved her tongue into the moaning woman’s wet depths.

“Erk!” she grunted in mild surprise when she felt Haralson’s fingers at her own sex.

For the briefest of moments, Ann had forgotten that Haralson adıyaman escort was there, in the room, watching the two women pleasure one another. Ann grunted as Haralson pressed the head of his cock to her opening. Instinctually, she thrust herself back to meet Haralson’s forward thrust.

“Erk!” she grunted again when Haralson’s cock was firmly in her to the hilt.

His cock was long and thick, filling her deliciously. After a shudder of pleasure, Ann resumed her attention to Bramley’s pussy. She used her fingers to enter Bramley’s fragrant pussy while her tongue lapped at Bramley’s clitoris.

“Erk, I, oh AUGH!” Ann gasped out as Haralson thrust a thick finger into her unsuspecting anus.

His cock pushed and pulled in and out of Ann’s pussy in a slow, deliberate movement. The finger fully entered her rectum, pushing into her virgin ass.

Bramley’s sleek thighs came up and imprisoned Ann’s head. Ann redoubled her attention to Bramely’s clitoris and added two more fingers to the two fingers she already had inside of Bramley. Though muted, she heard Bramley squeal, then suddenly her face was wet with Bramley’s orgasm.

“Oh! Oh God!” Ann grunted as Haralson added a second greasy finger to her rectum.

Ann shrieked out in orgasm when Haralson reached around with his other hand and rubbed Ann’s clitoris.

“Aw! Wait, wait, I…” Ann protested when Haralson pulled his cock from her pussy and his fingers from her ass.

“Aieegh! I oh God! God damn it!” Ann screeched when the blunt head of Haralson’s cock pushed against her rapidly constricting anus.

Another diddle to her clitoris had Ann bucking in orgasm. Her bucking drove the head of Haralson’s cock past her resisting anus. Ann again shuddered as waves of white hot pain radiated from her anus outward.

Haralson persisted, pushing himself into her struggling rectum. Ann could feel the blunt head of his cock pushing into her formerly virgin ass, rasping and scraping against her rectal walls. She could feel the shaft of his thick manhood rubbing against her tightly clenched anus.

I, oh! Oh God, God damn!” Ann shrieked as he again diddled her clitoris.

Suddenly a warmth began to build inside of her guts. The pain was still there, but the warmth began to push the pain aside. With a groan, Ann decided to again concentrate on pleasuring Bramley. She bent her head again and began to lap at Bramley’s essences.

Ann heard Haralson’s deep voice telling Bramley, “I think, damn! I think she likes it.”

Bramely’s answer was muffled as Bramley clamped her thighs around Ann’s head. Ann felt her face grow wet again. Suddenly, her guts knotted up, then Ann felt lightheaded from the force of her first anal orgasm.

“I oh Jesus God!” Ann shrieked and bucked tremendously.

“I, oh, augh!” Haralson grunted, spurted his semen deep into Ann’s bowels.

“Ack, ack, ack, God! God stop, stop, oh please,” Ann sobbed out when Haralson began to pull his wilting cock as Ann’s colon spasmed.

The cool washcloth gently sponging her raw anus caused Ann to twitch. She let out a weak groan then rolled onto her side as Haralson left the room.

“I, I’ve never…” Ann weakly offered, slumping onto the bed next to Bramley.

“But did you like it?” Bramley asked, gently playing with Ann’s hair again.

“Here we are, some Apple of my eye for the two apples of my eye,” Haralson announced, carrying three glasses into the bedroom.

“I, yeah, yeah I, I liked, I loved it,” Ann admitted, pulling herself upright.

“She loved it,” Bramley smiled happily as Haralson sat on the other side of her, pinning Bramely in the middle.

“Ask her if she’ll do it again?” Haralson smiled, sipping the potent drink.

“Let’s see,” Bramley said, leaning over and softly kissing Ann’s mouth.

Bramley captured Ann’s bottom lip between her teeth and playfully tugged at Ann’s lip. Releasing the girl’s lip, Bramley kissed Ann again.

“Would you…” Bramley asked.

“Yes!” Ann laughed.

Ann dozed lightly; the sex and the alcohol and the comfortable bed conspired against her. A few moments or a few hours later, Bramley kissed her awake. The two women kissed softly, touched one another softly. Ann wiggled down and captured one of Bramely’s nipples in her mouth. She gently sucked on the hard nub, her tongue flickering back and forth across the sensitive flesh. When Bramley shuddered, Ann switched to the other nipple and began tonguing that dark nipple until Bramely again shuddered.

Pushing Bramley onto her back, Ann wiggled down and began to pleasure Bramley’s very wet slit. Bramley’s pussy had an odd taste, a slightly bitter taste. Ann realized she was tasting a combination of Bramley’s excitement and Haralson’s semen.

“Augh, oh God,” Ann gasped out as she felt the head of Haralson’s fat cock at the mouth of her pussy.

Ann gave a low, guttural grunt as Haralson entered her in one long, steady push. When she felt the scrub of his pubic hair against her slick lips, Ann shuddered in pleasure.

“Oh! Oh no! Oh, please don’t…” Ann groaned as she felt Haralson’s fingers pushing against her tightly clenched anus.

Haralson must not have heard her; Bramley’s thighs had Ann’s face trapped against Bramely’s hairless mound. His middle finger slid into her rectum and Ann shivered in pleasure.

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