Les malheurs de Sophie – Chapitre 06

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LES MALHEURS AU SEIN D’UN NIGHT-CLUB

A son retour du « séjour en extérieur » et du week-end anormalement calme qui s’en suit, la subordonnée reprend sa routine : fellation à son supérieur chaque matin, sauf le mercredi pour combler deux heures durant son appétit sexuel.

Le vendredi arrivant, après avoir prodigué à M. Christophe sa pipe matinale, elle s’est résolue, en fin d’après-midi, à devoir se rendre chez Marcel. De manière étonnante, son patron, qu’elle vient de satisfaire avec sa langue, l’informe qu’elle n’ira pas : – Je sais que tu adores le voir, petite cochonne, mais ce soir, j’ai prévu d’autres plans. Ton homme étant en voyage, tu as donc ta soirée de libre. Je viendrai te chercher à 17h30. Il n’est pas utile de te changer. J’ai promis à un ami, qui tient un night-club, de lui trouver une remplaçante, car l’une de ses serveuses est malade. Et comme tu as déjà effectué cette tâche lors de ma partie de poker avec tes collègues, je me suis dit que tu ferais l’affaire. J’espère que tu n’y vois aucune objection?

– Non, Monsieur.

– Je viendrai te chercher et te ramènerai, vers deux heures du matin.

Le trajet dure environ une heure trente. Assise dans la voiture de son boss, l’assistante ne dit mot. Vers 19h, son chef se gare enfin, à proximité d’une sorte de bar, avec le mot « Eden » écrit en lettres roses et fluorescentes. Un videur est installé dehors et le Directeur, suivi par sa subalterne, s’approche directement de celui-ci :

– Paul m’attend!

– Il m’a prévenu. Entrez!

L’intérieur de la boîte de nuit apparaît : un vestiaire sur la gauche, une porte marquée « toilettes » sur la droite et un double accès vitré et teinté, situé face aux invités. Au fur et à mesure qu’ils avancent, le son augmente, mais il n’est pas désagréable, plutôt doux. La pièce est grande, avec de légers bassins de lumière, des tables élégamment dressées et, sur chaque côté, des alcôves pouvant être fermées chacune par une tenture.

Mais ce qui frappe l’assistante, ce sont les serveuses! Au nombre de quatre, elles affichent toutes le même look : elles sont vêtues uniquement de bretelles qui masquent juste le bout de leurs seins. Les bandes de tissu, noires, sont accrochées à un string ficelle de même couleur qui, à l’aide d’un porte-jarretelles noir, permet de maintenir deux bas tout aussi foncés. Immédiatement, un homme, qui semble être le patron, s’avance : – Salut, Roger! Content de te voir! C’est la fille?

– Oui, mon pote! Je t’avais promis une remplaçante. La voici! Elle s’appelle Sophie et est très heureuse de te rendre ce petit service! Elle ne sait rien me refuser : c’est ma secrétaire!

Ledit Paul, sans même prendre la peine de saluer l’adjointe, appelle aussitôt l’une des filles :

– Anna! C’est la doublure de Daisy pour ce soir! Emmène — la en loge et explique-lui le boulot!

Visiblement, elle est impatiente de commencer!

Tout en la conduisant vers l’arrière-salle, située derrière le bar et exclusivement réservée au personnel, la serveuse explique à la jeune femme le travail que l’on attend d’elle :

– T’es une drôle, toi, d’avoir accepté ce remplacement en voulant à tout prix le faire! Mais bon, c’est ton choix! Puis entrant dans la pièce : – Voilà ta tenue! Tu vois, il n’y a pas grand-chose à enfiler! Ton boulot, de 19h30 à 21h, consiste uniquement à servir les clients. En général, les plus audacieux se contentent de te mettre un doigt dans la chatte ou dans l’anus. Les bas sont utilisés pour y glisser les pourboires. De 21h à un peu moins de 23h, on fait une tournante et chacune à notre tour, on danse pendant 20 minutes sur le podium dont le sol sera éclairé par des verres lumineux de différentes couleurs. Simple précision : on fait le show uniquement en porte-jarretelles et avec les bas! Enfin, le temps d’aller chercher la carte des « desserts », on satisfait, de 23h à 1h du matin, les besoins des clients qui le souhaitent, mais uniquement dans les alcôves, qui sont alors obturées. En général, il ne reste pas grand monde.

Pigé? Dernière chose : chaque fille, quand elle bosse, se cantonne à sa zone : toi, ce sera le coin gauche, près du bar.

Une fois habillée (Paul avait même prévu des hauts talons noirs à sa pointure), Sophie revient près de son patron, toujours en discussion avec le gérant du bar. Ses « vêtements de travail » ne cache pas grand-chose, ni de sa poitrine ni de ses globes kahramanmaraş escort fessiers. En la regardant, le tenancier ne peut s’empêcher de s’exclamer : – Tu ne m’avais pas menti, Roger, c’est un beau petit lot! Tourne-toi un peu, ma jolie!

La beauté naturelle s’exécute, lui dévoilant son derrière. Le propriétaire en profite pour lui adresser une claque sur le postérieur : – Ma douce, il est temps d’aller bosser!

Pendant que l’assistante commence à travailler, elle voit son Directeur aller s’installer à une table, dans un coin à droite, près d’une alcôve. Il a rejoint visiblement deux personnes dont, en raison de la pénombre, elle ne parvient pas à distinguer le visage. En tout, l’assemblée doit compter de 70 à 80 personnes, exclusivement des hommes.

La soirée se passe plutôt bien, à part, de temps en temps, le doigt d’un client qui se perd dans son sexe ou dans son cul. La danse sur le podium, elle, est par contre plus pénible. Sachant que M. Christophe l’observe et ne lui pardonnera rien, elle ondule des fesses sensuellement ou prend des poses plus obscènes, projetant son bassin vers l’avant, afin d’offrir une belle vue sur son sexe surmonté du « ticket de métro ».

A la fin de son numéro, elle se détend un peu. Cela aurait plus être pire, pense-t-elle, soulagée. J’étais la dernière à danser. Encore le dessert à servir, et je pourrai enfin rentrer.

Une fois qu’elle est descendue du podium, Anna lui tend les menus : – Il y a trente tables et on est cinq, donc tu te contentes de déposer six cartes sur un même nombre de guéridons. Beaucoup de personnes vont partir d’ici quelques instants. Nous, on revient attendre au bar pendant quinze minutes, le temps que les commandes arrivent.

Presque joyeuse, la subalterne distribue les menus et retourne ensuite près du comptoir. Eh bien, ce n’est pas plus difficile que cela! se dit-elle, presque libérée d’un stress immense.

Anna revient soudain près de Sophie : – Au fait, je te conseille de lire et de bien retenir le menu, histoire de ne pas faire d’impair. Le patron n’aimerait pas cela du tout!

Intriguée, la jeune assistante ouvre la carte et s’étrangle à la lecture de celle-ci :

– Chers clients,

Que serait une soirée réussie sans un bon et délicieux dessert? Ce soir, avec la serveuse de votre choix, nous vous invitons à déguster nos différentes spécialités :

– pour 100 euros, la pipe melba, où, après avoir enduit votre membre de crème chantilly, notre hôtesse vous fera une merveilleuse fellation ;

– pour 100 euros, l’anus au chocolat, où, après avoir légèrement recouvert celui-ci de mousse chocolatée, votre serveuse préférée se fera un plaisir de vous prodiguer un anulingus ;

– pour 150 euros, le combiné des deux, valable seulement pour une seule et même table. Nous vous conseillons, bien évidemment, de commencer par la langue courant sur le rectum ;

– pour 200 euros, la chevauchée fantastique où, sur l’un des canapés ornementant nos alcôves, notre hôtesse ne manquera de monter et descendre sensuellement sur votre sexe ;

– pour 200 euros, l’enculade sauvage où, cette fois appuyée sur le canapé, croupe tendue, la fille choisie vous fera découvrir, rien que pour vous seul, sa petite porte du paradis ;

– il est à noter que pour les deux derniers desserts, il n’y a pas de combiné possible, sauf pour deux invités qui souhaiteraient profiter en même temps, et pour 275 euros, des charmes de notre hôtesse.

Nous vous souhaitons un grand moment de plaisir!

La Direction

L’employée est tirée de ses pensées, toujours par cette maudite Anna : – Eh, la nouvelle, il y a une commande pour toi! La table tout au fond, dans le coin droit. Une pipe melba, un anus au chocolat et un combiné chevauchée fantastique — enculade sauvage!

Arrivant à proximité de la desserte, en portant un plateau sur lequel est posé de la crème chocolatée, une bombe de chantilly et un pot de vaseline, l’adjointe reconnaît soudain les personnes assises à côté de M. Christophe et qui semblent surgir d’outre-tombe. Un sourire amusé aux lèvres, son chef lui présente les deux hommes, qu’elle connaît déjà, même si elle ne les a plus rencontrés depuis la sortie du lycée :

– Alors, dis-moi! Ta soirée t’a plu? Elle s’est déroulée comme tu le souhaitais?

– Oui, Monsieur.

– Bien. Tu reconnais Richard Merlot kastamonu escort et Jacques Lacoste, n’est-ce pas? Figure-toi qu’il y a quinze jours, je suis tombé par hasard sur tes anciens condisciples de classe. Ils jouent dans l’équipe amateur de football de mon village, dont je suis le Président. Je ne sais plus comment on a fini par parler de toi, mais je les ai informés que tu travaillais pour moi en tant que secrétaire particulière. Je leur ai également dit que, pour arrondir tes fins de mois, tu prestais occasionnellement dans un night-club un peu spécial.

Quand ils m’ont dit que tu n’étais pas très sympa avec eux alors qu’ils étaient dans la même classe que toi et que tu les traitais de boutonneux, je leur ai promis, si on gagnait le match de la semaine dernière, de leur offrir une belle récompense! Toi, en l’occurrence! J’espère que tu es contente de les revoir pour te faire pardonner?

– Oui et je regrette les propos que j’ai tenus.

– Super, ma chère! Nous allons donc passer tous les quatre dans l’alcôve pour être plus à l’aise. Cela permettra à Richard et Jacques d’être libérés de tout vêtement gênant. Tu as de la chance, toi, tu n’auras presque pas à le faire, car tu as l’habitude d’être toujours toute nue!

Tandis que les deux hommes se déshabillent, la subalterne les observe, le regard vague. Ils n’ont pas tellement changé, se dit-elle. Certes, ils n’ont jamais été gros, mais ils sont toujours aussi moches, leurs visages étant encore recouverts d’acné.

Ceux-ci, désormais dans le plus simple appareil, s’installent dans les canapés, tandis que M. Christophe, lui, observe la scène en expliquant à son adjointe ce qui est souhaité :

– Sophie, c’est Jacques qui doit être servi en premier, car il a été le plus rapide à commander! Je te demande de faire ton travail en silence, afin d’éviter que tes anciens condisciples ne découvrent, dès que tu parles, à quel point tu es stupide! D’accord?

– Oui, Monsieur.

Et sur ce, l’auxiliaire commence à s’activer : après avoir doucement relevé les jambes de Lacoste, en les écartant, elle couvre l’anneau rectal, ainsi devenu accessible, de chocolat et commence à faire lentement rouler sa langue sur celui-ci.

Son ancien compagnon de classe lui ordonne : – Tu me lècheras l’anus en enfonçant bien ta langue dedans, tout en me branlant. Quand tu sentiras que je vais jouir, tu me feras éjaculer sur tes gros seins! L’assistante s’exécute, utilisant toute sa technique orale pour en finir au plus vite. En complément, elle agite doucement la queue de Jacques, afin de le faire craquer rapidement. C’est d’ailleurs ce qui se passe au bout de dix minutes, des traces blanchâtres maculant désormais la poitrine ronde et ferme de l’adjointe du Directeur. Elle enchaîne ensuite, toujours sans un mot, avec Richard. Elle est surprise par la grosseur de sa queue, qui est tout bonnement énorme. Après l’avoir recouverte de crème chantilly, elle entreprend de lécher celle-ci de manière systématique, et surtout partout, sans en oublier le moindre centimètre : testicules, hampe, gland décalotté.

Même si elle a du mal à enfourner dans sa bouche cette bite impressionnante et que ses mâchoires lui font mal, là encore, elle arrive à ses fins en quinze minutes. Comme lui a demandé Merlot, elle guide l’éjaculation massive de celui-ci vers son visage. Son front, ses paupières et ses joues se sont à présent couverts de sperme. Et tandis que les deux hommes reprennent leurs forces en s’astiquant tout en regardant avidement le corps de Sophie, celle-ci passe sur son rectum une épaisse couche de vaseline.

Elle sait ce qui, à son grand dam, l’attend…

Lacoste, dont le sexe est à nouveau tendu, lui fait simplement un signe de la main et, suivant cette indication à la fois sommaire et précise, elle guide le membre avec ses doigts pour qu’il pénètre doucement dans son vagin. Avant de commencer ensuite un lent mouvement de va-et-vient, montant et descendant langoureusement sur le sexe de son « client ». Richard, dont la vigueur est également redevenue intacte, se lève et se positionne derrière la secrétaire, qui, malgré tous ses efforts, ne peut réprimer un regard de terreur devant ce qu’elle sait être un monstre phallique. Les mains de l’homme écartent ses fesses. Puis, l’extrémité de sa bite, dure et grosse, se positionne contre le sphincter convoité. Sans se préoccuper kayseri escort des craintes de la fille, Merlot s’arc-boute et commence à pousser sur l’anus de celle-ci.

L’assistante, respectant les consignes initiales de son supérieur, se mord les lèvres, bouchée fermée. Même si ses yeux sont exorbités, elle sait qu’elle ne peut et ne doit pas crier, tandis que l’énorme queue progresse inexorablement dans son magnifique cul.

Malgré le lubrifiant, et les nombreuses pines qui l’ont désormais pénétrée analement, elle ressent une douleur atroce. S’enfonçant jusqu’à la garde dans le boyau de la fille, Merlot redouble d’efforts. Bien que n’ayant jamais été aussi écartelée, la subalterne, plus que remplie dans chacun de ses deux trous, s’efforce de se détendre.

Au bout d’une vingtaine de minutes d’un pareil traitement, tandis que ses anciens condisciples éjaculent à tour de rôle au plus profond de son être, elle laisse échapper un cri…

Ses amants d’un soir se retirent de son corps profané et, après s’être rhabillés, glissent, comble de l’avilissement, deux billets de 50 euros dans l’un de ses bas. Avant de partir, ils lui adressent une dernière remarque bien sentie : – Quand on pense que nous étions amoureux de toi! A voir la pute que tu es devenue, on est bien heureux de ne jamais être sortis avec toi! Tu es vraiment, sous tes airs de sainte-nitouche, la pire des salopes! Une véritable boîte à queues! Mais on ne regrette pas de t’avoir revue car, au moins, tu nous auras donné un sacré plaisir!

A peine ceux-ci sont-ils sortis de l’alcôve que la subordonnée s’effondre en pleurs sur le canapé, prise d’une incontrôlable crise de nerfs. M. Christophe, en fin psychologue, pense qu’il est temps d’arrêter, pour ce soir, l’asservissement de sa secrétaire. Après l’avoir raccompagnée à la salle réservée au personnel et l’avoir invitée à se vêtir, il lui fait prendre place dans sa voiture, afin de la ramener chez elle. Au cours du voyage, il ne résiste toutefois pas à la rabaisser un peu plus encore :

– Sophie, je suis très heureux de ta prestation pour le moins impressionnante! J’ai bien eu raison de t’éduquer : tes fellations sont en train de devenir, visiblement, une référence en la matière! Et ta façon de baiser aussi! Je suis très heureux de t’avoir formée : j’ai tout de suite détecté ton potentiel! Tu m’as surpris : prendre une aussi grosse bite dans le cul sans piper mot, si je puis dire, mérite toutes mes félicitations!

Au départ, j’avais prévu, comme tu aimes le sexe, de conserver pour moi tous tes pourboires.

Question : combien as-tu gagné?

– 720 euros, Monsieur.

– Sois heureuse : avec ton derrière, tu as gagné en une soirée la moitié de ton salaire mensuel dans notre société! Tu as bien mérité ta paie, sacrée vicieuse! Profite-en : offre un bon restaurant à ton mec pour te faire pardonner tes écarts et tes excès! Mais aussi pour fêter l’augmentation de ton compteur à bites : tu en es désormais à treize! Note que c’est un chiffre porte-malheur! Tu ne peux pas en rester là! Comme il est impossible de diminuer ce nombre, autant l’augmenter, non?

– Oui, Monsieur, si vous le souhaitez…

– Je te sens un peu tristounette, ce soir! Allez, nous sommes arrivés : rentre chez toi! Et profite de ton week-end!

Et alors que sa subordonnée vient de sortir de la voiture et s’apprête à ouvrir la porte d’entrée de sa maison, son patron l’arrête dans son élan. Il vient de sortir subitement son sexe :

– Avant de nous quitter, je t’invite vivement à me sucer. Je ne voudrais pas te laisser rentrer le ventre vide!

Après avoir, docilement et de manière expresse, exécuté sa tâche immonde, elle montre à son boss le sperme récolté dans sa bouche, avant ensuite de l’avaler. La collaboratrice, à peine arrivée dans son salon, se sert de grands verres de vodka qui, faisant office d’anesthésiant, lui permettent de partir en vol direct dans les bras de Morphée!

Le lendemain, l’aube à peine levée, l’adjointe reçoit sur son mobile un appel énigmatique de M. Christophe : – Durant 15 jours, tu peux mettre toutes tes obligations sexuelles, tant à mon égard qu’à celui de Marcel, entre parenthèses. Contente-toi de travailler. Nous sommes le samedi 3. Bloque dès à présent le vendredi 16 et le samedi 17. Débrouille-toi pour trouver une excuse pour ton compagnon : tu n’as qu’à prétexter un voyage professionnel auquel tu ne peux te soustraire.

D’ici là, lorsque tu arrives à l’usine, je te dispense de ta pipe matinale, mais aussi de notre séance du mercredi et de ta visite du vendredi chez ton ami Marcel, qui a été informé.

Avant d’ajouter, dans un éclat de rire : – Bref, réfrène ta sexualité et fais comme si tu étais normale!

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Qui suis-je vraiment? 07

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Soit belle et tais-toi:

A nouveau mon amant disparu de la circulation. Peut-être pour me laisser le temps de souffler, mais j’en doutais. Je conjecturais plus sur son caractère machiavélique à savoir me laisser ressasser ce que j’avais osé faire, et de fait échauffer mon imagination sur ce qui risquait de m’attendre. Situations auxquelles j’allais à inévitablement répondre positivement vu la cochonne que j’étais devenue.

Concrètement et en attendant l’appel inévitable de mon homme, j’en profitais pour retourner voir l’esthéticienne qui m’épila mon sexe comme le souhaitait mon amant.

Une fois arrivée, son regard autoritaire et froid me glaça à nouveau le sang. Je n’arrivais pas à la regarder en face plus de cinq secondes. Elle s’en rendît compte, et réagit par un petit sourire en coin malicieux.

Elle me fît alors rentrer dans un des salons. La porte fermée, elle m’interpella :

– Esthéticienne : Comme la dernière fois Madame veut avoir son minou tout lisse?

– Moi : Oui, s’il vous plaît?

– Alors mettez vous à poil tout de suite!

– Euh, … cela ne se fait pas trop de parler comme cela aux clientes … Et, Euh, … je ne vous permets pas d’ailleurs d’être aussi malpolie.

– A bon, alors j’ai du me tromper sur votre compte. Eh bien, vous n’avez qu’à allez voir une autre esthéticienne qui acceptera de vous faire cela avant que votre petit chéri vous revoit.

Je ne m’attendais pas à ce genre de propos, et en réfléchissant quelques instants, je compris qu’elle avait sûrement raison. Mon amant en effet n’apprécierait guère de me voir à nouveau poilue. Je baissais la tête et commençais à me dévêtir. Cette « renonciation », fît sourire l’employée.

– Esthéticienne : C’est bien ce que je pensais, on aime plus que plaire à son homme, on est totalement sous sa tutelle. N’est ce pas?

– Moi : Euh, et bien je ne sais quoi répondre … Oui, je l’aime éperdument au point De faire ce qu’il me demande.

– En clair Madame la bourgeoise est une bonne salope quand Monsieur lui ordonne!!!

– Vous ne pouvez pas dire cela!

– Je vais me gêner. Ou tu prends la porte ou tu fais ce que je te dis. Bon presse toi ; que décides tu?

– Euh, en fait,

– Tu vas répondre!

– Euh, euh, C’est bon , c’est bon, je reste.

– Non ce n’est pas si bon que cela. Vu ton comportement, on va fixer quelques régles toutes deux.

– Quoi?

– Eh bien faisons comme s’il m’avait délégué ses pouvoirs. Couches-toi et écartes bien les jambes que je mate ton sexe poilu.

– Mais ….

– Allez grouille toi, je suis sûr que je ne suis pas la première à l’avoir vu ton minou et pas seulement pour une épilation ou une visite médicale. N’est ce pas?

– Euh,…eh bien … en fait…

– Fais pas ta minaude, aller accouche!!!

– Oui je me suis déjà exhibée devant des inconnus.

– Et bien tu vois quand tu veux… Bon pour m’avoir fait attendre tu vas écarter tes lèvres.

Comme elle l’exigea je m’allongeais sur la table et écartais mes jambes pour lui faire admirer mon sexe. Mais d’un regard ferme et explicite, je n’eus pas le temps de négocier et dus avec mes doigts écarter mes lèvres roses afin d’exhiber mon antre.

Sans attendre elle passa son pouce entre ces dernières et me fît admirer son état luisant ensuite pour clairement souligner mon état d’excitation. Malgré moi, je piquais un fard ce qui ne passa pas inaperçu.

– Esthéticienne : T’aime cela qu’on te rabaisse. Regardes-tu mouilles dés qu’on t’oblige à écarter les jambes. Tu n’es vraiment qu’une petite chienne en chaleur. Bon, vu que tu mouilles abondamment je ne vais pas t’épiler mais te raser…

– Moi : Comme vous le souhaitez.

– Oui, mais pour faire des économies, je ne vais utiliser aucune mousse à raser. Je vais juste t’enduire de ta mouille abondante en guise de crème.

– Non je vous en prie.

– Arrêtes de maugréer, tu n’attends que cela.

Sans attendre et tenir compte de mes complaintes elle commença à titiller mon clitoris, puis à me pénétrer de ses deux doigts précédemment gantés pour me faire lubrifier. Elle faisait aller et venir ses doigts rapidement dans mon vagin. Je commençais à haleter tellement cette esthéticienne manipulait avec expertise les moindres parties de mon sexe. Une profonde chaleur commençait à envahir tout mon corps, mais la jouissance qui normalement doit suivre n’arriva point. En effet, ma tortionnaire coupa court la masturbation et badigeonna mon bas-ventre.

J’étais frustrée, mais elle ne prît pas la mouche pour autant.

– Esthéticienne : Je ne suis pas payée pour branler les clientes. En tout cas Madame fait moins de convenances maintenant. On dirait même qu’elle en redemande. Je me trompe?

– Moi : Comment osez-vous kuşadası escort dire de telles absurbdités!

– Comment? Réponds à ma question honnêtement ou je te vire de ma boutique manu militari dans le plus simple appareil.

– Non!! En fait oui, je vous réponds.

– Exprime-toi!!!

– Euh vous avez raison. J’allais prendre du plaisir et vous vous êtes arrêtée au meilleur moment.

– Tu n’es vraiment qu’une salope. Passons au rasage donc!!!

Elle prit le rasoir, y mît une lame neuve, et démarra le rasage par le haut de mon pubis. A chaque passage je sentais le feu du rasoir relancer mon excitation.

Elle poursuivît en passant la lame le long de mes lèvres. Son expertise lui permît de répéter ces mouvements avec une extrême rapidité sans me blesser. Une fois terminée j’étais au bord de l’extase sans toutefois franchir la frontière invisible me barrant la jouissance.

– Esthéticienne : Bon on va passer à ton derrière. Tu vas te mettre à quatre pattes par terre et écarter tes fesses pour que je puisse te nettoyer de ce côté aussi.

– Moi : Mais pourquoi par terre?

– Par ce que c’est ta place tout simplement.

– Mais …

– Il n’y a pas de mais qui vaille!!!

Elle accompagna ces mots en tirant fortement sur mes lèvres nouvellement lisses. Elle n’eût pas besoin de me répétais le message et je m’agenouillais le plus rapidement possible sur le carrelage glacé.

Sentant que je n’aurais aucune pitié de sa part, je prenais immédiatement mes globes fessiers entre mes mains et les écartais afin d’admirer ma raie. La position était fortement inconfortable, et mes abdominaux ne me permettaient pas de garder mon torse parallèle au sol. Epuisée après une minute ainsi, je m’affalais et écrasais mon front sur le sol.

Sans attendre plus longtemps elle étala une fine crème blanche sur cette zone devenue fortement érogène et passa avec autant de dextérité la lame. Le résultat était une fille totalement imberbe prête à donner ses trous à son amant. Mais en fait, la première personne à en profiter fût l’employée qui m’appliqua une base hydratante. Produit qu’elle utilisa pour me forcer l’œillet à l’aide de son index.

Une fois, mon anus acclimaté, elle entama des mouvements vifs. La douleur initiale s’atténua et laissa place au plaisir que je connaissais si bien maintenant. Pour s’assurer de ma capitulation totale, l’esthéticienne prît de son autre main mes lèvres roses entre son pouce et son index. C’est alors qu’elle les frictionna l’une à l’autre.

M’ayant laissée sur ma fin quelques minutes plus tôt, j’eus vite fait de succomber à ce traitement et je me mis à glousser. J’étais vaincue.

– Esthéticienne : Tout ceci mérite un pourboire. Non?

– Moi : Oui je le pense. Je vais me rhabiller d’abord.

– Pas la peine, je veux un pourboire spécial.

De ces deux mains elle dégrafa les trois boutons du bas de sa blouse et empoigna les deux parties pour les relever illico. Le spectacle était inédit pour moi. Sans aucun dessous, je pouvais admirer un sexe féminin taillé finement en forme de panneau de signalisation triangulaire indiquant un danger ê

Mes dernières résistances s’évanouirent, je m’approchais donc de son pubis et me mis à le caresser doucement avec la paume de ma main. Toutefois, ces délicatesses ne suffirent pas et d’un geste autoritaire elle m’intima l’ordre d’appliquer désormais ma bouche et ma langue sur sa vulve.

De petits bisous en baisers plus langoureux, j’en vins à passer ma langue sur ces lèvres. C’était étrange pour moi de lécher les parties intimes d’une femme. Je connaissais si bien cette anatomie et les endroits à caresser pour faire monter le plaisir, toutefois je me décidais à la faire languir tout comme elle l’avait fait pour mon cas.

Je suçais son clitoris puis j’aspirais ces lèvres pour enfin pénétrer son vagin avec ma langue. Ce traitement appliqué pendant cinq minutes la fît chavirer. Elle m’en gratifia en déversant sur mes lèvres son liquide vaginal que je tétai sans contrainte.

La tête froide, elle remît sa blouse en ordre puis m’enjoigna de me rhabiller moi aussi.

– Esthéticienne : Voici ma carte, tu la donneras à ton homme. Peut être sera-t-il intéressé pour que je te fasse ton éducation homosexuelle.

– Moi : Je la lui donnerai.

– Au fait pour le retour pas besoin de culotte.

– Mais il fait très froid dehors.

– Ca te maintiendra éveillée.

C’est donc cul nul que je rentrais chez moi, prête à m’exhiber intégralement quand mon maître pourrait me l’ordonner.

Costume théâtral:

Cela se produisit une semaine plus tard.

Un soir, sur les coups de 18H00, Nietzsche m’appela pour passer la soirée ensemble. Ce qui m’intrigua kocaeli escort tout particulièrement fût le fait que Nietzsche me laissa libre des vêtements que je devais porter.

J’optais donc pour des bas auto-fixants assortis d’une culotte Tanga en dentelle. Comme cela je respectais le contrat tacite avec mon amant mais je me donnais un peu de liberté par rapport aux règles strictes de mon maître. Par-dessus, je me décidais de porter une robe souple et longue mais ouverte devant jusqu’au genou du fait des boutons laissés défaits. Cette robe allait d’autant plus le charmer qu’au-delà de mes hanches elle épousait particulièrement mon corps et de fait mes seins. Cela soulignait par là même le soutien-gorge noir en dentelle qui les retenait.

Une fois habillée, je descendais donc laissant mon enfant dans les mains de sa nounou favorite.

En attendant dehors sur le trottoir je compris que la liberté donnée par mon maître ne m’avait pas fait choisir pour autant la tenue la plus confortable, mais une tenue bien sexy pour la saison. En effet je sentis l’air glacial s’infiltrer entre mes jambes, me rappelant qu’elle nouvelle femme j’étais devenue.

Sur ces réflexions il arriva et stationna à quelques mètres de moi. Il prît alors la peine de sortir de la voiture pour m’ouvrir la porte. Il me demanda seulement de remonter ma jupe afin que mes fesses soit à même le siège. Sans rechigner je remontais immédiatement le tissu, lui laissant admirer mes jambes gainées jusqu’à mi-cuisse ainsi que ma fine culotte. Sans un mot et sans me laisser le temps de m’asseoir, il prît le bout de dentelle remontant de mon entrejambe et le tira d’un coup sec afin qu’il s’immisce dans mes fesses et ma vulve. J’eus un sursaut mais ne réprouva pas le geste. C’est donc le bas-ventre cisaillé que je m’installais dans la voiture.

Remonté à son tour dans l’automobile, il démarra et se dirigea vers Paris.

– Nietzsche : Remonte ta jupe pour dévoiler le haut de tes bas aux passants.

Je respectais ses ordres à la lettre et d’un mouvement lent je rehaussais le tissu jusqu’à la lisière des bas. Le noir tranchait d’autant plus avec la blancheur de mes cuisses. Le fait de respecter sans mot dire ses demandes, le satisfit pleinement. Il en profita alors pour entamer la discussion.

– Nietzsche : Je ne t’ai pas trop manqué Laurence?

– Moi : Si, un peu … même beaucoup Nietzsche.

– En attendant que nous arrivions je veux que tu écartes tes jambes et que tu te caresses.

– Mais où allons-nous.

– Surprise!!!

Ne cherchant pas en savoir plus je commençais à me caresser dévoilant ente çà et là ma culotte aux voyeurs occasionnels ou à deux motards chanceux.

– Nietzsche : Mais tu t’es épilée! … Je t’en remercie.

– Moi : Oui et l’esthéticienne a tenu à ce que je vous donne sa carte de visite pour que vous la contactiez si vous souhaitez parfaire mon éducation entre femmes.

– Parce que tu as eu une relation lesbienne.

– Euh oui elle m’a forcée.

– Te connaissant elle n’a pas eu grand mal …et je suis sûr que tu as aimée te faire bouffer la chatte ou l’inverse.

Bien visé comme d’habitude, je baissais donc les yeux avouant ostensiblement ma faiblesse.

Nous arrivâmes après 20 minutes de route devant une petite boutique aux vitres fumées. Il me fît rentrer dans ce magasin dont le propriétaire la cinquantaine aux cheveux grisonnants semblait nous attendre.

– Nietzsche : Bonsoir, je vous présente Laurence, ma compagne.

– Vendeur : Bonsoir Monsieur, bonsoir Laurence. Que recherchez-vous?

– Je cherche une tenue pour révéler ses charmes cachés mais aussi un vêtement qui puisse disparaître d’un seul geste.

– J’ai ce qu’il faut pour vous je crois.

Sur ces entre faits il partit dans la remise chercher le dit objet. Passé la joie d’entendre Nietzsche me nommer sa compagne, je fus refroidie par l’objet qu’il souhaitait m’acheter. Mais je compris vite que le magasin était spécialisé dans ce domaine. Entre le cuir et la transparence, il y avait peu de place pour le pull col roulé en laine.

De retour, il me tendit le vêtement à essayer. Je cherchais vainement la cabine d’essayage quand le vendeur me dît :

– Vendeur : Si vous cherchez une cabine d’essayage, il n’y en a pas ici.

– Nietzsche : Tu ne vas pas faire ta mijaurée maintenant. Mets-toi à poil ici!

Je me dénudai donc sous leur yeux défaisant un à un les boutons. Je ne devais pas aller suffisamment vite car mon amant écarta vigoureusement les pans de ma robe et tira dessus pour qu’elle tombe à mes pieds. Le vendeur bras croisé se régala de la brusquerie à laquelle Nietzche m’avait dessapé. Son regard en fût d’autant plus avide à mon encontre.

Un peu déboussolée, konya escort je me penchais en avant pour enrouler un à un mes bas. Dans un telle posture, le vendeur prît alors la liberté de passer la main sur mes fesses puis brusquement agrippa mon Tanga pour le descendre au niveau de mes mollets. Je tentais de me relever mais mon mouvement fût immédiatement refreiné.

– Nietzsche : Tu ne bouges surtout pas, laisse toi faire, sinon tu auras droit à une belle fessée.

– Vendeur : Quel beau cul, cela donne envie de le manger.

– Nietzsche : Ne vous gênez pas. Elle adore cela.

Sans autre mot il se mît alors à écarter mes globes fessiers pour insérer sa langue dans mon intimité. Je ne bougeais plus, sentant la honte me gagner mais aussi l’excitation avec cette langue titillant ma vulve puis mon anus. Cet homme était un expert dans les caresses buccales, mais il devait s’en douter car je sentais mon sexe s’humidifier rapidement. C’est à ce moment qu’il sortit son visage de mes fesses, pour le remplacer immédiatement par son sexe qu’il avait avec dextérité libéré prestement de son pantalon.

Son pénis n’eût dés lors pas de mal à rentrer dans mon vagin. Toujours courbée je sentis très rapidement son ventre frapper mes fesses. Ses mouvements étaient fermes mais délicieux, il emplissait une bonne partie de mon vagin, quant à son bout il frappait à chaque fois mon utérus. Oui c’était exquis et j’espérais que cela dure le plus longtemps possible.

Mais Nietzsche ne l’entendais pas ainsi et m’indiqua qu’il était temps travailler un peu, en d’autres termes de le sucer pendant que le vendeur me pénétrait de plus en plus vigoureusement.

Avec les coups de butoir du vendeur je m’empalai littéralement contre le sexe déjà bien ferme de mon amant. Ce dernier pour affirmer sa position de dominant enserra alors ma tête de ses mains pour imprimer la vitesse à laquelle je devais pratiquer mes caresses buccales.

En fait quand le vendeur se retirait de mon vagin, je m’occupais du bout turgescent de Nietzsche en passant la langue brièvement dessus. Et quand il me pénétrait j’avalai la hampe jusqu’à son pubis. J’étais prise des deux côté tel un poulet au tournebroche. Situation qui naguère m’aurait choquée était devenue une position génératrice de plaisir.

La jouissance vint rapidement mais elle n’arrêta point mes acolytes qui me forcèrent à m’agenouiller pour recevoir leur semence sur le visage.

– Nietzsche : Merci Laurence. Tu peux te nettoyer en mangeant le savoureux liquide que tu as sur ton visage.

– Vendeur : Tu as l’air bien gourmande je suis sûr que tu ne laisseras aucune miette.

Passant mes mains sur mon visage je recueillis la dite substance et passais la langue pour pouvoir l’avaler. Pour finir ils passèrent un mouchoir afin de faire disparaître les dernières traces de leur éjaculation.

– Nietzsche : Laurence. Mets maintenant la robe.

Sans aucune pause, je me relevais et essayais le vêtement présenté.

– Vendeur : Comme vous le voyez elle est suffisamment transparente pour que l’on devine ses dessous, en particulier à contre-jour.

– Nietzsche : Oui je vois çà. Cela me plaît tout à fait.

– Vous voyez cette accroche en haut?

– Oui je vois.

– Dégoupillez-la!

En un dixième de seconde, la partie avant de la robe s’affaissa dévoilant mon soutien gorge. Un rectangle de 10 cm de haut et de la largeur de mon corps avait disparu rendant cette robe très impudique.

– Vendeur : Alors qu’en dites vous?

– Nietzsche : J’adore, en plus elle lui va comme un gant.

– Attendez ce n’est pas fini.

– A bon?

– Regardez cette cordelette.

– Oui.

– Tirez dessus d’un coup sec.

Sans que j’ai eu le temps de réagir la robe se releva tel un rideau de théâtre jusqu’au haut de mes cuisses. Mais comble de l’exhibition en son centre le tissu était remontait au dessus de mon sexe.

– Nietzsche : Je n’ai qu’un mot … Bravo. Je l’achète.

– Vendeur : Je vous conseille avec cela une guêpière en cuir.

– Pourquoi pas.

Ils me firent par conséquent essayer cette guêpière qu’ils serrèrent au maximum enserrant ma taille et remontant mes seins de sorte qu’ils renforcent la convoitise des mes admirateurs.

Une fois expliqué comment la robe pouvait être remise dans sa position sobre je dus me déshabiller pour remettre mes vêtements précédents.

Nietzsche coupa mon geste et m’indiqua que le seul vêtement que je devrais porter pour sortir fût son manteau en laine mais non fermé bien sûr afin de faire admirer ma nudité. Son geste fût apprécié à sa juste valeur par le vendeur qui proposa de me faire bénéficier de prix préférentiels si je revenais vêtue ainsi.

Je sortis donc ainsi et d’un pas rapide atteignis la voiture. Au moment de m’ouvrir, Nietzsche demanda de lui redonner son vêtement. Totalement nue, les seins tendus en raison du froid je m’installais dans la voiture toujours honteuse de la tenue dans laquelle j’étais mais aussi apeurée par la suite des évènements qui m’attendaient.

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Le Club – Partie 34

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Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe d’hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d’écraser toute la région sous leurs bottes et de soumettre de jeunes femmes innocentes à leur bon plaisir.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d’affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l’élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l’homme politique le plus influent de toute la région. C’est surtout le produit d’une éducation chrétienne stricte qui l’a frustrée pendant toute sa vie et dont il s’est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c’est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes.

Guillaume Uron, 29 ans, c’est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l’un des hommes les plus puissants de la ville et s’est notamment emparé d’Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d’un bar à pute.

Jean Laroquette, 58 ans, directeur de l’école Oscar Bono, c’est le responsable de l’académie où sont scolarisés tous les enfants de la haute société de Lilleland mais aussi un pervers de la pire espèce.

Antonin Marius, 41 ans, commissaire de police, c’est le chef de la police de Lilleland qui cache un pourri de la pire espèce sous des allures d’homme intègre.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c’est la femme d’un notable reconnu qui s’est compromis dans de sales affaires d’escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d’Angel qui s’est emparé de tous ses biens et s’est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d’hébergement pour sans abri, victime d’un chantage de la part d’Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Jennifer Guillot, 19 ans, jeune marginale du centre. Angel provoque sa chute et la transforme en esclave afin de piéger Anne-Marie Leo, 25 ans, assistante sociale dans ce même centre.

Sandrine Forci, 40 ans, bourgeoise, voisine d’Angel, elle a eu le malheur de défier ce dernier qui s’est vengé en la contraignant de devenir son esclave pour éviter la ruine de sa famille.

Madeleine et Sarah Bonnet, 19 ans et 18 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l’aide d’un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel et Sandra Guri, 20 ans, serveuses. Filles d’un homme d’affaire, elles doivent désormais se plier à la volonté de Diaz pour rembourser les dettes de son père.

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d’argent en jouant avec Diaz qui désormais l’oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d’elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu’elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d’accueil d’hôtel, Uron l’a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre.

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l’hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune femme a d’abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l’esclave d’Uron.

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant — colonel de l’armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

Sonia Ordoz, 20 ans, étudiante, fille d’un riche notable prise en train de tricher à un examen important, elle est devenue l’esclave de Laroquette pour ne pas être déshéritée par son père.

Anita Fuentes, 26 ans, professeure, réfugiée politique, Laroquette a réussi à compromettre ses chances d’obtenir un permis de séjour et désormais elle est obligée de se plier à sa volonté sous peine d’être expulsée dans son pays d’origine où elle est condamnée à mort par la dictature.

Morgane Bastier, 18 ans, lycéenne, Laroquette lui fait subir un lavage de cerveau pour en faire sa parfaite petite esclave.

Amanda-Jean Carpenter, 30 ans, policière interrégionale, victime d’un chantage de la part de Marius qui tient sa sœur Olivia, 22 ans, en otage qui l’oblige à se plier aux désirs de Diaz.

Anna Belknap, 28 ans, experte scientifique de la police de Lilleland, et Serena Southerlyn, 34 ans, procureure, Marius a découvert qu’elles avaient envoyés un innocent à la mort et se sert de ce secret pour abuser d’elles à chaque fois hatay escort qu’il le désire.

Gwendoline Blouse, 18 ans, sans profession, Marine Ospins, assistante sociale, 24 ans, et Savannah Elliott, 26 ans, Médecin urgentiste, trois jeunes filles qui ont subi les foudres du « Club » en tentant de faire chanter Christine Veron.

LES ENNEMIS DU CLUBS :

Thierry Diomandé, 41 ans, détective privé, père d’Opale Opaline, victime décédée d’Angel, c’est aussi un ancien policier qui a connu une guerre larvée vieille de 10 ans.

Thomas Serfati, 40 ans, appelé aussi le « frère », considéré comme un anti-héros à Lilleland, il a naguère combattu son frère, l’ancien chef de la pègre de la région dans une lutte qui s’est terminé dans le sang. Aujourd’hui, il revient à Lilleland pour aider son ami Thierry à venger sa fille.

L’unité de traque des criminels dangereux, c’est l’équipe d’Amanda-Jean Carpenter composée notamment de William Fossett, Jason Pantkin, Emily Proctor, Shemar Morgan et Spencer Gubler. Ils ont décidé de sauver leur amie en se lançant dans une enquête illégale sur les exactions du « Club ».

CHAPITRE 1

Le juge de Saint Servier hurla en réalisant que son corps était recouvert de sang. Totalement sous le choc, il était incapable de saisir le sens des cris de Morgan qui pourtant se trouvait à quelques centimètres de lui. L’homme encagoulé qui venait de lui tirer dessus braqua à nouveau son arme dans sa direction mais Morgan réagit en sortant son arme. Il fut plus rapide que l’agresseur et le toucha à la poitrine droite. L’homme tournoya sur lui-même en lâchant son arme mais ne s’écroula pas si bien qu’il réussit à s’enfuir avant que le policier ne réussit à se relever. Il se lança cependant à sa poursuite jusque dans une petite ruelle.

Cette chasse ne dura cependant que quelques minutes l’homme s’arrêta net et se retourna. Morgan se fixa en braquant son arme.

– Oulah!!! Fit l’agresseur. On se calme officier Morgan! Je n’ai pas envie d’être la seconde victime de la journée.

Morgan baissa son arme en soufflant.

– Lamartine, je présume, se présenta le policier. Tout s’est passé comme prévu?

– Oui, confirma Larmatine en se massant l’épaule révélant une veste pare-balle pourtant maculée de sang. Je pense que vous aurez toutes les preuves que vous désiriez.

Morgan posa les yeux sur la traînée de sang que Lamartine avait laissé derrière lui et qui provenait de la poche de sang qu’il avait fait exploser au moment où sa balle l’avait touché.

– Et le propriétaire de tout de ce sang? Demanda-t-il tout en sachant qu’il allait regretter la réponse.

– Cette pourriture avait perdu tout utilité et nous l’avons éliminé, répondit simplement Lamartine. Vous devriez retourner en arrière et vous occuper du mourant avant que la police n’arrive.

Morgan hocha la tête et repartit en direction du juge de Saint Servier.

CHAPITRE 2

Augustin Chiappe suivait le garde qui le menait vers la résidence de David Angel. Ce grand homme longiligne, la quarantaine bien tassée ressentait un sentiment étrange dans ce lieu fortifié et protégé par une petite armée. Il se rendait bien compte qu’il venait de mettre les pieds dans l’antre d’un loup bien plus dangereux qu’il ne le sera jamais en dépit de son ambition dévorante.

– Plus profond! Entendit-il soudainement alors qu’il grimpait un petit escalier encadré par d’épais fourrés.

Cet ordre fut rapidement suivit de gémissement qui attisèrent la curiosité d’Augustin qui se stoppa net puis bifurqua au travers des bosquets pour découvrir une scène qui le tétanisa de surprise.

Deux jeunes femmes étaient allongées sur le sol. L’une d’entre elle, une jeune brune d’une trentaine année était installée sur le dos les jambes bien écartées, tenait la tête de l’autre, une brune visiblement plus âgée d’au moins dix ans collée contre son intimité. Comme elles étaient toutes les deux quasiment nues, elles ne laissaient aucun doute sur la nature de l’action qu’elles étaient en train de réaliser. La plus âgée retira son visage de l’entrejambe pour reprendre son souffle et jeta un regard suppliant à destination de sa cadette mais n’obtint que du mépris en retour.

– Qu’espères-tu donc Théodora? Demanda-t-elle. Tu n’es rien, rien d’autre que notre chienne à toutes. Alors lèche comme une bonne chienne obéissante.

Elle appuya alors sur la tête de la pauvre femme pour l’obliger à reprendre son œuvre et elle se remit à gémir de plaisir. A ce moment une troisième intervenante fit son apparition bouleversant la hiérarchie de cette scène ubuesque. La nouvelle venue devait avoir une vingtaine d’année et sa tenue de servante ne cachait rien de ses formes plus que généreuses.

– Eh bien Anne-Marie, lança-t-elle à destination de celle qui menait le bal jusque-là. Je vois que tu t’amuses bien.

Cette dernière sembla se liquéfier et s’écarta de sa victime comme si cette dernière était devenue incandescente.

– J’ai la priorité sur ığdır escort cette salope, Jennifer, affirma-t-elle, je l’ai prise en premier.

Elle tentait de défier la nouvelle venue mais le ton de sa voix était bien trop mal assuré pour rendre cette parade crédible. Jennifer sourit et s’avança dans sa direction.

– J’en ai rien à faire de ce que tu penses, lui rétorqua-t-elle. Je sais que le maître a fait de cette garce notre pute à toutes mais tu ne dois pas oublier qu’ici vous êtes toutes mes choses quand le maître n’est pas là.

Augustin croyait rêver mais il ne fit rien pour trahir sa présence car il voulait à tout prix savoir quelle tournure ce petit drame allait prendre.

Anne-Marie semblait désormais décidée à prendre la fuite au plus vite. Elle se retrouvait dans la situation d’un petit prédateur obligée d’abandonner une proie pourtant bien appétissante sous peine de finir lui-même au menu d’un animal bien plus redoutable. Cependant, Jennifer ne voulait visiblement pas se contenter de la seule Théodora et elle coupa toute possibilité de retraite à la jeune femme qui en perdit l’équilibre. Elle lui plaqua alors le visage contre le sol et une lutte entre les deux femmes commença alors.

– Arrête de me résister, salope! Tonna Jennifer presque plus amusée qu’irritée. Tu sais que je finirais par l’emporter.

Mais Anne-Marie ne voulait pas rendre les armes et elle se débattait contre la peste qui s’appuyait toujours plus fort contre son dos. Malheureusement pour elle, dans cette position de faiblesse tous ses efforts apparaissaient vains et elle commençait déjà à s’épuiser alors que Jennifer ne s’essoufflait même pas. Cette dernière se retourna alors en direction de Théodora qui était restée immobile comme paralysée devant cette lutte pour le pouvoir.

– A plat ventre, ordonna Jennifer à cette femme qui devait avoir plus du double de son âge. Et tend bien le cul!

Théodora resta une seconde indécise comme si elle envisageait encore la possibilité d’une révolte.

– DEPECHE-TOI!!!

Ce cri la fit sursauter et elle s’exécuta avec une célérité qui montrait la faiblesse de la volonté de cette femme qui naguère apparaissait comme un symbole féministe. Jennifer sourit et reporta toute son attention sur Anne-Marie dont les mouvements de résistance faiblissaient toujours plus ce qui signifiait qu’elle était sur le point de rendre les armes. Elle s’appuya encore un peu plus sur son dos et on entendit le bruit désagréable des os que l’on tassait. Anne-Marie cria de douleur et demanda grâce. Jennifer relâcha un peu sa pression.

– Tu sais ce que tu dois faire pour que je te laisse respirer, expliqua Jennifer.

Entre deux sanglots, Anne-Marie cessa toute résistance et prit appui sur ses coudes pour soulever son bassin et présenter son arrière train de la même façon que Théodora. Consciente d’avoir remporté la victoire, Jennifer libéra la jeune femme et se recula de quelques pas comme pour admirer ces deux fessiers admirables ainsi exposées à tous les regards. En réalité, elle ramassa deux objets déposés au pied d’un arbre à un mètre d’elle. Augustin réalisa qu’il s’agissait de deux grosses branches grossièrement taillées.

– Bande de petites putes, tonna Jennifer. Vous allez voir ce qu’il en coûte de m’obliger à répéter les choses.

Elle frappa brutalement les fesses de Théodora avec l’une des branches. La pauvre femme cria et voulut se relever.

– Si tu bouge, je t’encule avec! Promit Jennifer.

Théodora prit la menace très au sérieux car elle reprit sa position d’origine et ne bougea pas d’un pouce quand un second coup s’abattit sur elle. Jennifer se déchaîna alors et n’épargna pas Anne-Marie dans son petit jeu de massacre. Le bois dur et encore vivant claquait sur la peau nue des deux jeunes femmes dans un écho vif qui indiquait la violence de chaque impact, les petites branchioles mal taillées les entaillaient en de multiples endroits et Jennifer ne cessait d’augmenter la violence de ses coups. Finalement, elle s’arrêta à bout de force, laissant ses deux victimes, les fesses en sang.

Pourtant, elle ne parut pas encore satisfaite et empoigna alors chaque branche à pleine main. D’un geste parfaitement coordonné, elle empala les deux femmes avec ces godes barbares. Pourtant épuisées, Théodora et Anne-Marie retrouvèrent assez de force pour se remettre à hurler mais loin de tempérer les ardeurs de leur violeuse, cela lui redonna de la vigueur et elle commença à les limer puissamment. Elle faisait aller et venir les objets de bois à l’intérieur de leur vagin désormais ravagés, les faisant presque ressortir totalement avant de les y replonger le plus profondément qu’elle le pouvait. Les deux victimes hurlaient et pleuraient sous les coups de boutoirs infligés par une femme qui pourtant était censée partager le même sort qu’elles.

Augustin ne pouvait détacher son regard de cette scène d’une brutalité qui le choquait et l’excitait au plus haut point. Il se sentait pris par une érection ısparta escort que malheureusement il ne pourrait pas calmer : il connaissait la réputation du maître des lieux et ne prendrait jamais le risque de le mécontenter.

Une main se posa alors sur son épaule.

– Vous avez assez profité du spectacle, décida le garde qui l’accompagnait. Monsieur Angel n’aime pas attendre.

– Oui, accepta Augustin. Est-ce que la fille que je dois…

– Je ne sais pas, le coupa le garde. Vous verrez avec monsieur Angel.

CHAPITRE 3

Quand Morgan rejoignit le juge ce dernier était toujours allongé au milieu de la rue, l’air hagard, couvert de sang. Le policier remarqua l’absence de l’attroupement habituel de curieux attirés par ce genre d’événements. Les discours répétitifs de Serfati sur la nature si particulière de Lilleland lui revinrent à la mémoire et une nouvelle fois il en vérifia la véracité. Il ne s’attarda cependant pas sur cette pensée et se pencha sur le juge.

– Monsieur, fit-il en le secouant doucement.

– Shemar, répondit le juge, je suis touché. Je vais mourir, je le sens.

– Non, affirma le policier.

– Oui, je le sais. Regardez! Je suis couvert de sang!

– Ce n’est pas votre sang!

Le juge dévisagea celui qu’il pensait être son ami et sembla retrouver un peu de raison. Il se tâta le corps et ne sentit aucune douleur puis son regard balaya le trottoir pour découvrir le corps sans vie de Kono à moins d’un mètre de lui. Il comprit alors d’où venait tout le sang qu’il le recouvrait.

– Il s’est sacrifié pour vous sauver, affirma Morgan. Nous devons rentrer.

De nouveau, le juge le dévisagea sans comprendre.

– N’attendons pas l’arrivée de la police, proposa le policier. Il vaudrait mieux que nous en sachions plus avant!

Une lueur apparut dans le regard du juge et Morgan sut qu’il venait de faire mouche.

CHAPITRE 4

– On a tenté de m’assassiner, hurla le juge en entrant dans son appartement tel une furie.

Morgan ne répondit pas, préférant laisser le juge faire monter la pression.

– Il faut être inconscient! Répéta le juge. Pire, il faut être un vrai dément pour oser s’en prendre à moi, l’homme le plus puissant de cette région.

– Je n’ai pas pu le rattraper, avoua Morgan, mais il a laissé des preuves accablantes. Nous avons son sang et son arme. Avec ça, un bon policier devrait pouvoir le retrouver. Si jamais nous pouvons faire confiance à la police.

Cette fois, ce fut le juge qui resta silencieux et Morgan n’insista pas. Il ne devait pas donner l’impression de s’acharner sur une piste, elle devait s’imposer d’elle-même.

– J’ai un homme de confiance dans la police qui m’est totalement fidèle, affirma-t-il. Giroud fera faire toutes les expertises nécessaires en un temps record. Qui que ce soit qui ait tenté de me faire tuer, je le lui ferais payer amèrement.

Morgan soupira intérieurement, tout se déroulait comme prévu.

CHAPITRE 5

Augustin fut conduit dans la villa de David Angel et contrairement à ce qu’il avait pensé, ce dernier ne le reçut pas dans le bureau du rez-de-chaussée mais dans sa chambre du premier. Il trouva cet endroit bien singulier pour rencontrer un client mais il fallait dire qu’il ne venait pas traiter d’une affaire très ordinaire. Il retrouva donc Angel installé au petit bureau de cette grande chambre richement décorée et il n’était pas seul. Une jeune fille, encore plus jeune que la brute qu’il avait précédemment vue à l’œuvre se trouvait assise sur ses genoux. Elle portait cet uniforme qui dévoilait plus son anatomie qu’il ne la cachait : sa poitrine imposante et ses fesses rebondies apparaissaient encore plus excitantes. Augustin réalisa rapidement que le maître des lieux était bel et bien en train de la besogner avec entrain et sans aucune pudeur. La jeune fille ne semblait pas plus gênée que lui mais il fallait dire qu’après le spectacle du jardin, Augustin n’était plus étonné par les extravagances des jeunes femmes vivant en ce lieu et ce fait confortait sa certitude d’avoir choisi le bon interlocuteur pour l’affaire qu’il voulait conclure.

Angel lui fit signe de s’approcher tout en accélérant ses mouvements de bassin. Au dessus de lui, la jeune fille accorda son rythme au sien et se mit à gémir, montrant un plaisir nouveau dans ce lieu qui pour l’instant n’avait laissé la place qu’à la domination et la douleur. Visiblement, cette jeune fille acceptait sa condition d’esclave contrairement aux trois autres femmes qu’Augustin avait entrevues précédemment. Angel massa sa poitrine en prenant bien soin de lui tordre les mamelons, provoquant de nouveaux râles de plaisirs qui ravirent son tourmenteur.

– Tu es vraiment toujours la même petite salope, Laura, lui lança-t-il alors que son souffle devenait plus rauque. La plus garce de toutes mes soubrettes.

Il se figea soudainement et jouit à l’intérieur de la jeune fille qui se plia sous l’effet d’un orgasme. D’un geste brusque, il la rejeta alors loin de lui et elle se retrouva les fesses sur le sol. Du regard, il lui intima de rester dans cette position en attendant son bon vouloir. Toujours aussi obéissante, elle ne montra aucun signe de révolte et baissa les yeux. Satisfait, il reboutonna son pantalon et reporta son attention sur Augustin.

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La Pimbêche — 01

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Chapitre 1 : Une lycéenne un peu hautaine

« Bravo Aline, tu as encore tout juste. »

Aline était retenue à la fin du cours par le prof de math du lycée Jacques Necker.

« Tu sais, avec de tels résultats je suis sûr que tu pourrais intégrer directement une école d’ingénieur ou de commerce.

— C’est ce que maman pense aussi.

— Elle a raison. J’ai quelques contacts parmi les enseignants de l’HEBAM, si tu veux je pourrais placer un mot pour toi avant les examens d’entrée, tu aurais une place réservée.

— C’est gentil monsieur Bouligner, mais je préfère encore réfléchir, il y a tellement de choix.

— Je comprends, n’hésite pas à revenir me voir quand tu te seras décidé. »

En sortant de classe, Aline était assez fière d’elle. Elle aimait ça, que les profs la complimentent, d’autant qu’elle le méritait, elle était la première de la classe, elle levait toujours la main pour répondre aux questions… Normal que les profs l’adorent en retour.

Comme elle quittait le bâtiment de cours, elle croisa Béatrice et Yasmina en chemin. Elles, c’étaient pas des premières de la classe, elles bavardaient au fond, et répondaient avec morgue aux profs… c’était vraiment d’effroyables garces selon Aline. Elles s’étaient isolées dans un petit recoin pour fumer du cannabis ! Aline alla les voir d’un pas décidé :

« Éteignez ça!

— Va te faire foutre conasse, c’est pas tes affaires.

— Ouais, » ajouta Béatrice, « c’est pas parce que tu lèches le cul des profs que t’as le droit de nous dire quoi faire. »

Ces deux-là étaient insupportables. Et le plus déplorable était qu’elles ne comprenaient pas qu’Aline ne souhaitait que leur bien, ainsi que de faire respecter les règles très sensées qui avaient cours dans l’enceinte du lycée.

« Vous n’avez pas le droit de fumer de la marijuana, un point c’est tout, expliqua-t-elle avec calme et hauteur de vue.

— Putain, ta gueule poufiasse.

— Va te faire baiser, ça te décoincera, ha ha…

— Ha ha ! » pouffa aussi Yasmina.

Si elles riaient, c’était sans doute parce qu’elles étaient défoncées et sous l’influence de la DROGUE. Aline comprit qu’il ne servait à rien de parler avec elles pour leur faire entendre raison. Elles se comportaient en idiotes, et des idiotes criminelles qui plus est. Elle les quitta pour entrer de nouveau dans le bâtiment de cours derrière elle. Elle les entendit rire et lui crier :

« Va faire le toutou auprès de ton prof, sale pétasse.

— Et n’oublie pas d’avaler quand tu l’auras sucé, c’est plus poli.

— Et toi t’es très polie ! »

En disant cela, Yasmina mina un pénis en train d’être pompé. Aline serra les poings de colère, mais réussit à reprendre rapidement son calme. Aline se félicita intérieurement de son self-control, et plutôt que de se rendre en cours, elle alla voir le CPE pour l’avertir que deux élèves indisciplinées fumaient du haschich dans la cour. Elle reçut les félicitations du conseiller, ce qui lui fit plaisir. D’autant que ce n’était pas une vengeance mesquine, mais un moyen pour que les deux jeunes filles prennent conscience de leur mauvais comportement et qu’elles soient remises sur le droit chemin.

Elles furent attrapées, et cela se passa assez mal pour elles. Lors de leur audition au conseil de discipline elles tinrent des propos vraiment méchants contre Aline. Ce qu’elles ignoraient, c’est que la mère d’Aline était au conseil, elle était l’adjointe du chef d’établissement. Sans surprise la sanction fut exemplaire : deux semaines d’exclusion pour un simple bédo.

Pour Aline il y eut un énorme changement dans sa vie lors de ces deux semaines, elle rencontra Maxime, un garçon adorable, grand et sportif. Et beau aussi. Des yeux bleus magnifiques et un visage de star de cinéma. Bien sûr, même si elle devenait sa copine cela ne signifiait pas luxure pour autant. Hors de question de pratiquer la bête à deux dos, ni même une quelconque turlute… Elle n’était pas du genre à coucher le premier soir, ni au second ou au troisième. Des fiançailles ou un amour sincère étaient nécessaires avant que quelques moments inspirés par la lubricité puissent se produire.

Et cela ne posa aucun problème à Maxime qui n’insistait jamais quand elle refusait de corrompre son innocence par quelques activités dévergondées. Elle lui expliqua que tant qu’elle n’aurait pas passé le Bac, elle préférait se concentrer sur les études plutôt que sur la bagatelle, et il le comprenait parfaitement.

Quand Béatrice et Yasmina revinrent de leur exclusion, elles cherchèrent tout de suite des poux à la jeune fille qui avait fait preuve d’autorité morale. Elles la retrouvèrent pendant la pause à la cour et commencèrent à la pousser et la maltraiter comme de vilaines filles :

« Salope, toi et ta mère vous êtes des putes!

— Ouais, ça va pas se passer comme ça, on va te taper et te foutre des baffes jusqu’à ce que tu pleures comme une môme. »

Aline sourit, car elle avait remarqué Maxime juste derrière elles. Et quand il entendit les menaces, il les poussa et les eskişehir escort fit tomber par terre, le nez contre le béton.

« Si vous menacez encore une fois ma copine, je vous écrase la tête contre le sol et fais exploser vos cervelles. »

Ce fut une bonne leçon. La violence est souvent le seul message auquel sont sensibles les brutes. Par la suite, les deux chipies ignorèrent tout simplement Aline, ce qui convenait très bien à la donzelle qui n’avait pas envie de traîner avec de “mauvaises” filles. Une semaine passa dans cette indifférence réciproque. Elle put cependant constater qu’elles étaient jalouses, particulièrement Yasmina, car lorsque Maxime rejoignait Aline, son visage se couvrait d’un masque de dégoût.

Le vendredi soir, Maxime eut quelque chose à lui annoncer :

« Aline, j’ai été invité à une fête.

— C’est super, c’est chez qui ?

— Je sais pas trop, mais il y aura les mecs du club de foot.

— Me dis pas que t’es devenu gay ?

— Non, » rigola-t-il. « C’est juste que je suis doué au ballon, et j’ai envie de rejoindre l’équipe. Ou du moins qu’ils me donnent une chance de faire mes preuves.

— Ok, mais ne t’attends pas à ce que je devienne pom-pom girl parce que tu deviens footballeur.

— T’inquiètes… sauf que… c’est un peu ça que j’aimerais que tu fasses.

— Pardon ?

— Tu vois entre footeux… on est assez viril. Savoir jouer au foot, faire des tacles et des coups de tête c’est la base. Mais faut aussi savoir s’intégrer au groupe.

— Et alors ? Tu sais bien parler, tu n’auras pas de mal à les convaincre de t’accepter.

— Ouais, mais je t’explique un truc, ne t’énerve pas et ne fais pas du #MeToo tout de suite.

— Je me prépare au pire…

— Ok, pour rejoindre l’équipe faut être un tombeur. Baiser des nanas canon. »

Aline leva les yeux au ciel.

« Et moi j’ai de la chance, parce que justement je sors avec une nana canon. »

Aline ne répondit rien ne sachant pas immédiatement si elle devait se sentir offusquée ou flattée par ces paroles mielleuses.

« Et donc, » poursuivit Maxime, « c’est pour ça que j’ai besoin de toi, pour qu’ils puissent te voir, et trouver que je suis un Don Juan.

— Et tu crois que je suis aussi canon que ça ?

— Bien sûr! T’as une chevelure blonde longue et soyeuse, des nichons à se damner, des fesses délicieuses et des jambes galbées. Si on vendait chaque morceau aux enchères, ça reboucherait le trou de la sécu.

— T’as des compliments bizarres, tu sais… Enfin si ça te fait vraiment plaisir, je viendrais à la fête. C’est quand ?

— Samedi à vingt heures.

— Samedi, comme dans demain ?

— Ouais, t’avais des trucs de prévus ?

— Rien d’important. Si c’est ce que tu souhaites, je viendrais. »

Aline passa une bonne partie de la journée de samedi à se préparer pour la fête, elle voulait que les “recruteurs” de Maxime tombent immédiatement sous son charme. Qu’en la voyant, son mec rejoigne directement leur club. Elle avait mis un top avec un léger décolleté, une jupe rouge bordeaux qui lui tombait un peu au-dessus des genoux. Ce n’était pas effronté, ni coquin, mais tout de même appétissant. Elle savait par expérience que ça captait les regards des garçons et que lorsqu’elle se déplaçait ils la mataient en espérant voir un peu de ses belles cuisses. Elle avait des boucles d’oreille en or aux oreilles et s’était maquillée avec soin : un rouge à lèvres un peu épais, de l’eye-liner pour accentuer ses cils et un peu de fard à paupières pour lui donner des yeux de biche.

Quand Maxime vint la chercher et qu’il la vit descendre les escaliers, il laissa échapper un sifflement. Ce dont il fut un peu honteux, car Caroline, la mère de Aline, était présente dans

la pièce.

« T’es splendide. »

Caroline n’aimait pas trop Maxime, elle trouvait que la rencontre avec sa fille et leur liaison, toute platonique qu’elle soit, s’était enchainée trop vite. Et il y avait autre chose qui la chiffonnait : il était trop gentil et décontracté.

Certes, dans l’absolu un petit ami cherche toujours à faire bonne impression à la mère de sa copine, mais derrière se cache l’idée qu’elle n’est qu’une enquiquineuse, uniquement là que pour l’empêcher de fourrer sa queue dans la chatte de sa fille. C’est pourquoi ils ont souvent un air gêné de baiser la chouchoute des parents.

Mais Maxime agissait comme si la mère d’Aline était une simple locataire de la maison. Il ne cherchait aucunement à lui plaire. Pour Caroline, c’était le signe que c’était un dragueur patenté, et qu’il allait laisser tomber son petit ange de la pire des façons une fois obtenu ce qu’il voulait. Peut-être qu’il la tromperait ou la quitterait cruellement avec un simple SMS… en tout cas ce Maxime lui hérissait le poil. Elle en avait parlé à son mari, Jacques, mais il s’était contenté de hausser les épaules, sa façon de dire qu’elle se comportait comme une maman poule beaucoup trop protectrice.

Et pourtant elle avait raison ! Si elle avait pu jeter gaziantep escort un œil au portable du petit ami, voici ce qu’elle aurait lu :

« Tout se passe bien, j’amène cette salope chez toi. On arrive dans une heure. »

Aline dit bonsoir à sa mère et partit dans la voiture de Maxime jusqu’à la maison de Béatrice.

Chapitre 2) Une réception surprenante

La maison était un pavillon élégant dont le luxe cachait l’âme maléfique de la jeune fille qui vivait dedans : Béatrice. En s’approchant, on pouvait entendre de la musique, les boums-boums de la sono qui résonnaient jusque dehors. Mais la maison n’avait pas de voisinage immédiat ce qui permettait à Béatrice d’organiser les meilleures fêtes du lycée. Ces fêtes étaient l’occasion pour les élèves de terminal de décompresser, et pour s’assurer que tous puissent boire de l’alcool, les invités avaient tous au moins 18 ans.

Quand Maxime sonna à la porte, Béatrice ouvrit. « Bonjour Maxime ! » et prenant un air surpris, elle ajouta : « Mais tu l’as amenée, celle-là. »

Aline se sentit immédiatement mal à l’aise, car elle entrait dans la maison de son ennemie. N’allant pas aux fêtes de Béatrice qu’elle jugeait vulgaires, elle avait ignoré jusqu’à présent que cette maison était l’endroit où vivait la fille qu’elle avait contribué à exclure du lycée.

Aline se prépara donc à se voir interdire l’accès à la sauterie, et elle en était presque soulagée. Passées des heures dans un climat hostile l’angoissait. Et puis ce n’était pas dramatique, Maxime pourrait tout de même entrer, et elle, elle n’aurait qu’à appeler sa maman pour qu’elle vienne la chercher. Mais à la place, Béatrice se pencha pour lui faire la bise et déclara :

« Allez, c’est pas grave si on a eu des différends. C’est l’occasion de se réconcilier, tu crois pas ?

— Euh oui… »

Aline était d’ordinaire ravie de se réconcilier avec ses amies… mais Béatrice et Yasmina n’avaient jamais été ses amies. Elles les trouvaient idiotes, méchantes et dégénérées et elle ne voyait pas comment elle pourrait devenir copine avec elles.

Mais comme elle était ici pour faire plaisir à Maxime, et elle ne chercha pas la confrontation et rendit sa bise à Béatrice.

« Entrez et amusez-vous, » les invita son ennemie.

Ils passèrent la porte pour pénétrer dans la grande maison où la fête battait son plein. Le mobilier était ancien et en bois laqué provenant d’héritages successifs. La décoration sur les murs était par contre moderne, très pop-art, dévoilant les penchants bohèmes des propriétaires de la maison. À peine Aline avait-elle retiré son manteau que Maxime montra du doigt un groupe de mecs assez balèzes :

« Tu vois les types là-bas, c’est les membres de l’équipe de foot ; je vais les voir, et pendant ce temps je te laisse t’amuser. »

Après avoir dit ça, il la laissa sur place. Aline se sentit très esseulée, toutes les filles rassemblées ici étaient des amies de Béatrice, et elle n’avait jamais eu de relations approfondies avec ces camarades de classe qui étaient du groupe des cancres. Elle, avec son comportement de chouchou des professeurs et sa conduite plus mature, n’avait que quelques amies choisies qui étaient malheureusement absentes. Elle poirota quelques minutes, elle fit semblant de s’occuper au buffet quand ce qu’elle craignait arriva : Yasmina vint lui adresser la parole.

« Oh, Aline, je ne m’attendais pas à te voir ici.

— Eh salut, euh… j’accompagne Maxime.

— Ah ouais ? Bah il semble occupé… viens avec moi… tu vas pas rester seule toute la soirée.

— Hum… ok. »

Yasmina rejoignit quelques filles habillées de courtes jupes et qui papotaient avec enthousiasme. À peine Aline était-elle arrivée que l’une d’elles sortit un pétard, et commença à le faire tourner dans le groupe. Aline ne dit rien, elle savait que c’était illégal, mais elle ne pouvait quand même pas aller voir les flics. Même si elle pensa un instant s’isoler pour leur téléphoner….

Quand Yasmina lui proposa le joint, elle déclina poliment l’offre : « Non merci, mais je ne consomme pas de drogue. »

Ce qui fit rire les convives déjà intoxiqués. Yasmina se marra aussi puis lui signala : « Bien sûr que si tu te drogues… T’as pas remarqué ?

— Remarqué quoi ?

— Le cookie que t’es en train de manger… c’est un space cake, bourré de weed. »

Aline recracha le morceau qu’elle avait en bouche aussi terrifiée que si on lui avait dit que le cookie contenait de la chair humaine.

« Mais non, je déconne! Faut que tu te décoinces, t’es à cran… fume donc ça. »

Yasmina lui fourra le gros bédo dans la bouche, et Aline se retrouva forcée de pomper sur le joint. Elle se mit à tousser après la première taffe ; elle n’avait jamais fumé de cigarette, et évidemment le pétard lui parut ultra-fort. Yasmina fit comme si de rien n’était et demanda :

« Comment ça se passe avec Maxime, il est plutôt beau gosse, non ?

— Oui, il est très mignon.

— Allez, je suis sûre qu’il est plus giresun escort que mignon… Est-ce qu’il a une grosse queue ? J’ai vu qu’il avait de gros doigts, ça veut dire que sa bite est énorme.

— Euh… »

Aline ne savait pas quoi répondre. Elle n’avait pas l’habitude de conversations avec des filles aussi vulgaires ; mais elle ne pouvait pas non plus faire semblant de ne pas avoir entendu. Quant à ce qu’elle devait répliquer, c’était une autre paire de manches… Elle n’avait jamais vu les bijoux de famille de son amoureux, mais elle se dit qu’elle devait plutôt mettre Maxime à l’honneur, et ce genre de fille grossière adorerait les exagérations.

« Oui… elle est de belle taille, c’est un vrai animal.

— J’en étais sûre, t’es une amatrice de grosse queue ! t’aimes ça quand ça te remplit la chatte, hein ? »

Aline rougit comme une pivoine. Elle regarda Yasmina attentivement, cherchant à savoir si elle moquait d’elle, l’insultait, ou si c’était sa manière naturelle de parler. Comme elle ne voulait pas être à l’origine d’un esclandre, elle choisit de ne pas considérer ses paroles comme une provocation.

« Non, c’est juste le hasard, s’il avait eu un pénis plus petit, ça m’aurait convenu aussi.

— T’es sérieuse ? T’aimes vraiment toutes les queues! T’es une sacrée cochonne sous tes airs de sainte nitouche. »

Toutes les filles se mirent à rire, et Aline comprit que Yasmina cherchait à l’humilier depuis le début. Mais elle ne savait pas comment réagir, ne voulant pas tomber aussi bas et être aussi vulgaire que son ennemie.

« Et un beau mec comme lui, comment tu t’y prends pour le garder, tu le suces à fond j’espère ?

— Euh… Peut-être… je préfère pas dire… »

Il faut dire qu’elle ne l’avait jamais sucé ni couché avec. Aline se contentait de l’embrasser et de lui laisser lui toucher les seins, voire de toucher son petit minou… Elle hésitait à aller plus loin, et Maxime s’était montré compréhensif, n’exigeant jamais rien d’elle. Tout juste avait-il demandé ce qu’elle aimait et n’aimait pas sexuellement. C’est aussi pour ça qu’elle en était amoureuse. Ce n’était pas un porc qui ne cherchait qu’à coucher. C’était quelqu’un qui avait des sentiments pour elle, et qui voulait établir une relation sur la durée…

« Pourquoi pas le dire ? Sa queue pue ? ou il a une difformité honteuse ?

— Pas du tout! elle n’a rien d’affreux, elle est comme toutes les autres !

— Ah très bien, si une experte en pine le dit, je la crois… »

Cette fois, Aline s’éloigna sous une avalanche de gloussement, ne sachant plus où se mettre. Elle tomba nez à nez avec Béatrice qui la prit par les épaules et la conduisit jusqu’à un autre groupe de filles. Là, elles discutèrent calmement, Béatrice semblait sincère dans son désir de se réconcilier avec elle. Elle se montra aimable, l’interrogea à propos de ses hobbies, sa passion pour la guitare. Elle lui demanda même si elle voulait jouer un morceau avec la gratte qu’elle gardait dans un coin. Elle accepta et toutes les filles purent remarquer qu’elle était très douée. Aline ne put s’empêcher de se vanter.

« Et je suis encore meilleure au violon.

— C’est super, Aline, » déclara Béatrice avant de lui présenter un joint.

« Je fume pas…

— Ici, c’est le coin fumeuse de beuh, si t’aimes pas ça, tu peux aller retrouver Yasmina.

— Non, non… c’est bon, je vais fumer. »

Elle n’avait aucune envie d’être à nouveau prise pour cible par les propos venimeux de la jeune arabe et de ses amies. Et puis elle avait fumé une taffe, et ça ne l’avait pas transformée en droguée. Elle pouvait bien recommencer. Elle saisit le cône fumant et le porta à ses lèvres. Elle avait l’impression que toutes les filles la regardèrent quand elle tira une bouffée… Cela la fit tousser, puis l’effet du joint commença à agir sur son cerveau, c’était relaxant et elle avait besoin de ça.

« Alors Aline, qu’est ce que tu penses de LA DROGUE ?

— Je… c’est plutôt puissant.

— Ouais, et ça m’a value deux semaines d’exclusion grâce à quelqu’un… Mais on ne va pas ressasser les vieilles affaires… Si on jouait à un jeu d’action ou vérité ?

— Je sais pas si c’est une bonne idée. »

Elle fut la seule à éprouver une réticence, toutes les autres filles étaient enthousiastes. Elle se résolut à participer espérant que les questions et gages ne tombent pas sur elle.

« On est six, je vais chercher un dé. Pendant ce temps, choisissez chacune votre chiffre. Moi je prends le deux. »

À peine avait-elle proposé aux filles de sélectionner un chiffre qu’elles déclarèrent presque à l’unisson :

— Un

— Quatre

— Trois

— Cinq »

Avant qu’Aline n’ait eu le temps de réfléchir au chiffre qu’elle désirait, il ne restait plus qu’un seul choix : « Ben, six alors. »

Au bout d’une minute, Béatrice revint avec le dé.

« Vous êtes prêtes ?

— Ouais, crièrent les filles. » Béatrice jeta le dé. « Six ! » annonça-t-elle. « ça tombe sur qui ?

— Sur moi, » répondit Aline, presque pas surprise. Le début la soirée avait mal commencé, et que le sort s’acharne sur elle ne l’étonnait pas. Elle ignorait par contre que si le sort allait à son encontre, il y avait une bonne raison à cela : le dé était pipé, et les probabilités qu’il tombe sur un six étaient de sept chances sur dix.

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L’horrible Dette

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Amateur

J’étais tendu, terriblement tendu. Audrey, ma femme , venait de me quitter à cause de ce que je venais de lui apprendre. Elle devait le savoir car de part ma bétise liée à mon addiction au jeu, notre futur mariage allait être remis en cause. D’autant plus que sous la colêre, elle m’annonça une terrible nouvelle mais qui au fond, n’était pas étonnante vu mon comportement. J’étais au bar, sirotant un café et attendant ma mére. Il fallait aussi que je lui dise, que je lui avoue tout. Nous étions trés proche et parlions beaucoup. mon pêre travaillait tous le temps et mon frêre ainé ainsi que ma soeur cadette, venait de démarrer leur vie, loin de notre famille. Je la vit arriver de loin car malgré ses bientôt 54 ans, Marie était une femme aux atouts remarquable et qui faisait dix ans de moins. Elle portait un pentacourt moulant noir, peut être trop moulant car elle avait des fesses légérement grosses bien que réhaussées ses mules à talons haut transparentes. Je me souviens, c’était Audrey qui les lui avait offert car ma mère se plaignait d’être petite alors qu’elle était de taille moyenne. On avait l’impression qu’elle marchait sur la pointe des pieds. elle s’était verni soigneusement les ongles en rouge. Elle avait mis une petite veste, trés fine non fermée par dessus son débardeur qui, comme d’habitude par beau temps, mettait son opulente poitrine bien en valeur. Bien que jeune, elle fut embarrassée par celà, selon ses confidences, elle prit goût de se décolletter en prenant de l’age. Surtout aprés son mariage, un peu blasée des absences de mon pêre et le besoin de se sentir désirer. Suite à ses grossesses, ses seins avaient encore grossi terriblement. Marchant cambrée, avec son petit sac, ses seins prenaient de l’ampleur et rebondissaient mollement attirant le regard des passants masculin. Lorsqu’elle me vit, elle se mit à sourire tout en m’embrassant. Cheveux teint en noir, impeccablement maquillé avec un gloss rose magnifique mettant en valeur ses lêvres. Elle s’assit posa son sac et commanda.

-Comment vas tu mon chéri? je suis trés heureuse de te voir.

-Mal, maman, trés mal

Ma mére fronça les sourcils.

-raconte moi tout, Jean, que se passe t’il? D’habitude tu es plutôt réjouit.

J’hésitais, maintenant que je l’avais enfin en face de moi, je ne voulais plus rien lui dire de peur de la décevoir, comme j’avais déçu Audrey, la femme de ma vie. Marie me regardait intensément, elazığ escort attendant ma réponse. Je me lançai:

-Audrey m’a quitté depuis une semaine, c’est fini.

-Elle t’a quitté? mais c’est impossible, vous deviez vous marier!

Je mis ma main sur mes yeux. Ma mère insista:

-Je n’en reviens pas. Mais que s’est il passé?

Elle attendait une réponse mais nous fûmes interrompus par le serveur, un jeune homme, la vingtaine passée à peine. Il ne put s’empêcher de lorgner les gros seins de Marie. Il lui servit son café et semblait horriblement géné. Sans doute en aperçevant, au dessus de la grosse poitrine, son deuxiéme collier auquel pendouillait son alliance histoire de dire: “on regarde mais on ne touche pas”. Elle le remercia avec un magnifique sourire. Certes, heureuse de plaire au jeune homme, elle était plus focalisée sur les malheur de son fils. c’est là que je décidai de ne pas dire toute la vérité. Je ne voulais pas la décevoir. Et lorsque le jeune parti, je lui dit texto:

-Elle en aimait un autre Elle resta bouche bée et posa sa main entre ses deux loches.

-Quelle horreur , mon pauvre chéri!

Je jouais mon rôle, faisant la victime…

Nous bûmes notre café et nous marchâmes longtemps, discutâmes du sujet. Elle essaya de me remonter le moral, crédule de mon histoire. Je lui dit que je voulais partir quelques temps à l’étranger pour me changer les idées alors qu’en vérité, c’était pour fuir. Elle comprit et me prit entre ses bras. je sentais ses gros seins s’appuyer contre moi.

-Va te changer les idées, mon fils, et reviens nous en pleine forme. la vie continue, elle est merveilleuse, ne l’oublie jamais.

Elle m’embrassa et m’ordonna de m’appeler en cas de soucis. C’était une mère superbe, tant physiquement que dans son rôle. J’étais heureux de ne pas l’avoir décu. Nous nous séparâmes et au moment d’arriver chez moi, une camionnette pila à coté de moi. Deux grand gaillards cagoulés en sortirent et s’emparêrent de moi en un dixiéme de seconde. Je fus baîllonné et ficelé. Le véhicule roula trois quart d’heure. Mes ravisseurs n’avaient pas cessé de rire. je compris immédiatement que c’était en rapport avec mes dettes de jeux où du moins à ceux à qui j’avais emprunté. Les casinos que je fréquentais m’avaient menacé si je ne payais pas. Un des gars, un tout maigre m’avait dit qu’il fallait que j’emprunte pour payer. erzincan escort Il m’avait donné une adresse et un surnom, Vic.

Les autres, pourtant de solides gaillards avaient frissonné et avaient sermonné le maigre. Mais il les enguela en disant qu’ils étaient trop scrupuleux et que je n’avais qu’à payer mes dettes quitte a emprunter au…Diable. Je rencontrai Vic, il était aimable et me donna la somme. Par contre avec un sourire pervers, il me prévint que si je n’honnorais pas mes dettes, ma sanction serait pire que la mort. Nous arrivâmes au point de rendez vous. Une espéce de gros hangard perdu. je fus malmené sous les rires et grognements des hommes. On me fit avancer par saccades et insultes. On me ligota dans une pièce. Une voix qui m’était familère s’adressa à moi.

-Alors, on essaie de fuir ses responsabilités?

Oh non, je le reconnu.

-Je t’avais prévenu, je te l’avais dit, tu m’avais juré!

Il avança tranquillement et m’arracha mon bandeau. C’était Vic. Le grand type à lunette avec un bouc aux cheveux longs. un faux air de john lennon.

-Ecoute vic, tu dois me laisser du temps et …

-Chut, vous dites tous ça, il est trop tard à présent. le jour de paie est arrivé et tu vas voir de tes yeux comment on traite les gens comme toi.

Il me gifla.

-Non, Vic, ne me tue pas, pleurais je.

-Te tuer? Non, ça jamais de la vie.

-Je te paierai, je te le jure…

-Ca oui, tu vas payer, et ça, trés cher, crois moi.

Vic regarda ses hommes qui se mirent à sourire d’un air entendu. Il tramait quelque chose, ce salaud. Son portable sonna. Il répondit satisfait.

-Aaah! trés bien. Emmenez la!

Vic me regarda.

-Ta femme, ou plutôt ton ex femme a bon goût, elle nous a pas menti!

J’entendis au loin des cris étouffés d’une femme sans doute baîllonnée. je compris, ils avaient séquestré Audrey pour me faire chanter.

-ne lui faites rien! je paierai, Audrey n’a rien à voir dans cette histoire et…

Eclat de rire dans la salle.

-Elle a à voir! Elle était si furieuse quand on est allé la voir qu’elle nous a elle même suggéré le moyen de paiement. On voulait se payer avec elle mais elle a su être persuasive en nous montrant des photos d’une femme chére à ton coeur.

la porte s’ouvre avec fracas. Deux brutes tiennent une femme qui se tortille énergiquement entre leur bras erzurum escort puissants. Quelle horreur, ce n’est pas possible, Audrey n’a pas pu faire ça.

-Ton ex était une belle femme mais assez banale. En revanche, ta maman, c’est une autre histoire.

Je tombais à genoux en hurlant. La femme qu’ils avaient entre leurs mains, c’était Marie…ma propre mère. Elle tentait vainement de se dégager devant les rires de ses ravisseurs.Pendant sa capture, elle avait perdu ses belles mules Ils lui avaient aussi arraché sa veste et son débardeur dans la lutte. L’alliance qu’elle portait autour du cou rebondissait entre ses gros seins rehaussaient par son soutien gorge noir en dentelle. Elle était baïllonnée, se débattant. vic s’approcha d’elle, se pourléchant les babines. Il lui saisit le visage et la regarda de prêt.

-Tu es drôlement bien conservée pour ton âge! Encore une bourgeoise dépendante de son mari qui n’a jamais eu a travailler.

Il se mit à carresser la grosse poitrine maternelle. Il les soupesa. Les nichons de Marie étaient vraiment énormes.

-Hmm, du très gros et du naturel en plus. Tu as du avoir de sacré problème de dos.

Ils rirent

-Lâchez là!

Les hommes s’exécutèrent. Il sortit quelque chose de sa poche et lui arracha l’alliance qu’elle avait autour de son cou. Ma mère ôta son bâillon, furieuse, et avant qu’elle eu pu ouvrir la bouche pour contester, Vic la coupa et dit en montrant l’alliance:

-Tu n’en auras plus jamais besoin!.

Vic déclencha le taser dont les fines aiguilles se plantèrent dans son gros nichon droit. Marie se cabra, terrassée. Son corps, parcouru d’electricité, était animé de spasmes. comme elle tremblait, ses gros seins se secouaient lourdement devant ses ravisseurs éclatant de rire.

-encore! encore!

et moi, j’hurlais d’horreur.

Les yeux révulsés, haletante, le corps paralysé par le courant, elle resta un moment tétanisée. vic jubilait à torturer cette femme aux gros nichons que l’électricité faisait se contracter tout en lui infligeant d’atroces douleurs. J’appréhendais le pire, Vic risquait de la tuer s’il continuait. Ma mère souffrait le martyre. Vic stoppa et ma mère chuta, anéantie et fut rattrapée in extrémis par un des gars. Il la releva, mais elle était sous le choc. Il siffla:

-regardez moi cette paire, nom d’un chien on va bien s’amuser avec elle. Il tripota la grosse poitrine maternelle sans défense à travers le fin tissu du soutien gorge. on voyait les marques rouges des aiguilles sur son gros sein moelleux. Marie gémissait entre les bras de son ravisseur.

Et tout en me regardant Vic dit:

-Oui, on va bien s’amuser et tu nous dois bien ça, toi!

…. A suivre

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Directrice d Agence 01

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Amateur

Bonjour à tous, je me présente :

Je m’appelle Lucy, à l’époque de ces aventures j’avais la trentaine, le peu d’amis que j avais me trouvais très belle. Il faut dire que du haut de mon 1m76 j en impose. La nature m’a gâtée d’une belle poitrine (90D) et d un petit cul qui fait retourner les têtes.

Me voici donc grande, brune aux yeux noirs.

Dans la vie, je ne suis pas une marante, je vie seule et mon métier conte plus que tout pour moi.

En effet je viens de passer directrice d’agence depuis quelques mois ce qui m’a valu pas mal de remarques, et de sous-entendu surtout de la part d’un conseiller, Laurent!

Il a la cinquantaine et pensait avoir le poste. Je le méprise, gros pas toujours propre, tout l’inverse de moi qui affectionne les tailleurs et chemises bien ajustées

Nous sommes désormais en été, les conseillers prennent des vacances chacun leur tour, les rotations, font que durant 15 jours je serai seul avec Laurent.

L’idée ne me plaît guère mais je ne peux pas faire autrement.

Ce matin-là il fait déjà chaud à 09h00 lors de l’ouverture de l’agence. J’ai comme souvent mis un tailleur gris et un chemisier blanc. Bien évidemment un léger string et soutien-gorge blanc.

Laurent arrive en même temps que moi il me complimente sur ma tenue mais je ne réponds même pas je m’avance pour lever le rideau de fer, lui file déjà à son bureau me fixant. Je ne relève pas et file au mien.

Je sens bien sûr ses yeux me détailler mais je suis habituée je n’y prête pas attention.

Les clients s’enchaînent jusqu’à 11h45 un client est avec Laurent et hurle dans l’agence demandant le remboursement immédiat de son sinistre voiture Laurent commence à perdre son calme je dois intervenir.

Il n’y a personne d’autre dans l’agence le client est particulièrement virulent.

Je me lève de mon bureau et me présente :

Bonjour je suis la directrice, il me regarde d’un œil noir.

Toi la bourgeoise je ne te parle pas, ferme gueule et rembourse-moi!

Ces mots me glacent et je ne bouge plus plantée au milieu de l’agence je ne peux pas perdre la face je lui réponds sèchement de sortir sur-le-champ ou j’appelle la police.

Je t’ai dit de me payer ou je te plante…

Joignant le geste à la parole il sort de poche un couteau…

Voyant que la situation dérive Laurent se lève pour s’interposer.

Toi le gros va fermer la porte à clé

Je ne bouge toujours pas voyant Laurent obéir docilement.

Retourne à ton bureau lui ordonnent il

Toi la solape donne-moi mes 20 000€.

Tu me les dois, j’essaie van escort de respirer mais l’homme avance sur moi.

Je suis tétanisé de peur il est là devant moi à crier et a bougé son couteau de devant mon visage.

Je suis blanche attendant la suite passivement, aucun son ne sort de ma bouche et d’un coup l’ordre tombe.

Si tu ne me payes pas je vais me payer sur toi.

Laurent ne bouge pas, nous sommes à sa merci. S’adressant à Laurent.

Il y a des caméras ici?Laurent répond par l’affirmative même si elles ne servent pas à grand-chose mon bureau est filmé.

Bien me regardant il m’en demande une dernière fois tu me payes ou pas?

Je ne réponds pas, le visage baisser j’attends la suite.

Allez tous les 2 à ton bureau!

Nous exécutons les ordres têtes basses.

Alors c’est ta patronne cette pute?

Oui c’est la directrice.

Elle est plutôt bonne!

Oui et elle le sait répond Laurent.

Ces mots me glacent.

Écoute mon gars c’est ton jour de chance! nous le regardons avec étonnement.

Toi, la bourgeoise relève ta jupe.

Je ne bouge pas, je baisse la tête.

Ecarte les jambes et lève ta jupe ordonnent il!

J obéi… dévoilant me longues jambes et mon string blanc.

Wouaaaaa la salope s’exclame le client…

Ecarte qu’on regarde ta petite chatte!

J obéi à nouveau, mon intimité est à leurs vue.

Ma petite chatte lisse est devant eux. Ils sourient.

D’un coup de couteau il coupe les cordelles du rideau et les lances à Laurent.

Attache-lui les mains derrière le dos c’est maintenant Laurent qui s’avance sur moi.

Tourne toi salope.

C’est Laurent qui vient de me dire ces mots je m’exécute mes mains sont liées derrière le dos je suis debout la poitrine en avant les boutons de mon chemiser sont étirés au maximum.

Le client reprend les ordres!

Mon gars amène là à son bureau devant la caméra!

Nous avançons maintenant.

Tu vas faire ce que je te dis sinon je vous plante tous les 2!

Personne ne proteste et je baisse toujours la tête.

Allez enlève ses boutons!

Laurent ne cache pas sa surprise et obéit

Les boutons sautent, ma poitrine apparaît sous son soutien-gorge blanc.

Allez enlève ça aussi!

Excuse-moi je suis obligé me dit Laurent.

Je le supplie d’arrêter mais il me regarde avec un sourire en coin.

Mes seins sont libérés de leurs entraves les 2 hommes me regardent avec envie.

Fait ce que tu veux d’elle!

Sans attendre la suite Laurent se jette sur moi et se yalova escort met à ploter les 2 globes bien ronds et lourd.

Le client donneur d’ordre reste devant la porte.

Allez relève ta jupe!

L’ordre une nouvelle fois me glace Laurent obéit élève ma jupe je suis désormais en string, les mains attachées. Sans attendre la suite des ordres Laurent me couche sur le bureau, déchire mon string et regarde ma chatte offerte.

Depuis le temps que j’en rêve de te bouffer!

Un non sort de mes lèvres. Mes petites protestations sont vite éteintes à la vue du couteau et du regard vicieux du client.

Allez amuse toi avec…

Je sens ces mains entrer en contact avec mon entrejambe, je sens son souffle contre ma chatte. Mes cuisses sont désormais largement écartées.

Laurent me dévore des yeux le client et toujours à l’entrée du bureau j’ose dire j’ai mal aux mains les 2 rigolent.

Ils s’en foutent.

Allez depuis le temps que je voulais dévorer cette chatte de salope, je ne vais pas m’en priver!

Avec horreur je sens la langue de ce collègue que je trouve répugnant me fouiller, il lèche mon clitoris avec ardeur.

Malgré moi la situation a un effet sur moi la position de soumise commence à me faire de l’effet.

Laurent le sent et me plante 2 doigts dans la chatte.

Un gémissement se fait entendre après quelques minutes de ce traitement je me sens humide Laurent accélère le traitement de choc, je n’arrive plus à contrôler mon corps. Je ne me retiens plus, mes gémissements augmentent et dans un cri de bonheur je jouie bruyamment…

Laurent me met à genoux sa bite est être entre ses mains.

Elle est grosse épaisse, mes liens sont coupés.

Pas besoin de me commander, je la prends en bouche, le goût me provoquent un léger au haut le cœur mais je continue quelques minutes. Laurent accélère le rythme et soudain déverse une quantité de sperme au fond de ma gorge.

Il tient ma tête je suis obligé d’avaler. Mes larmes coulent mais j’espère en avoir fini. Laurent me relève m’attire dans l’agence hors du champ de caméra.

C’est maintenant au tour du client de me tirer les tétons je crie de douleur les 2 hommes s’amusent et moi je ne proteste pas.

Je suis à nouveau allongé sur un bureau. L’homme se jette sur moi et me pénètre sans mal.

Il ne me ménage pas et me prend avec force.

Une onde de plaisir m’envahit à nouveau et très vite un nouvel orgasme ne gagne.

La bouche grande ouverte je cherche à reprendre mon souffle l’homme se retire et me plante sa queue çorlu escort dans la bouche.

Il éjacule aussitôt et un niveau je dois avaler du sperme.

Allez retourne à ton bureau! je m’exécute

Montre-nous ton cul et dépêche-toi!

Je pose mon torse mon bureau, écartant mes fesses, exposant sans pudeur mes 2 trous.

Ecarte les cuisses maintenant m ordonne Laurent

J’obéis, Le client a repris sa place à l’entrée du bureau.

Laurent se rapproche, il me plante 2 doigts dans la chatte et les ressors aussitôt je ne bouge pas.

Tu vas aimer patronne!

Sans prendre plus de soins,il me fourre les 2 doigts dans le cul.

J’hurle de douleur, mais pas de réaction.

il me doigte sans ménagement. Après Quelques secondes il ressorte ses doigts et présente son membre contre ma rondelle.

Il me tient par les hanches et me pénètre d’un coup et une poussée rendant la pénétration insoutenable.

Mais car il y a un mais…

j ‘aime ce traitement et c’est maintenant mon cul qui vient s’avancer sur sa bite.

Il me sodomise sans aucune retenue, des claques s’abattent sur mes fesses accompagnés d injures….

Ce traitement me fait basculer encore une fois, des cris sortent de ma bouche.

Un nouvel orgasme me terrasse dans un cri de bonheur… Laurent fait de même et joui entre mes entrailles il se retire enfin.

Un filet de sperme sort de mon anus.

Je relève la tête, les 2 hommes sont à l’encadrement de la porte ils me regardent avec un grand sourire aux lèvres.

Allez mon ami ouvre la porte!

Laurent sourit et va ouvrir la porte laissant partir le client facilement.

Mon tortionnaire ne va pas s’en sortir aussi facilement.

Je me relève, Laurent vient à côté de moi. Alors patronne je viens de te baiser tu ne pensais pas ça possible.

Je le regarde il est là me fixant droit dans les yeux.

Je réfléchis rapidement,

C’est toi qui as manigancé ça?

Moi?

En effet, me répond-il avec un grand sourire!

C’est un viol, j’étais forcé.

Je relève la tête et pointe du doigt la caméra!

Tout a été filmé vous allez payer.

Payer quoi?

Sur la caméra, on doit te voir en plein action avec ton collègue.

Peut-être même que je dirais si on me demande que tu m’as obligé!

Mais le client il m’a forcé!

Quels client pauvre idiote?

Sur la caméra, on ne voit que nous!

Il n’y a pas de son, mais je suppose que les images montreront que tu as pris ton pied!

D’ailleurs pour info les caméras c’est moi qui ai les codes d’accès, et je pense que vais garder précieusement l’enregistrement.

Tiens, je vais prendre mon après-midi! débrouille-toi sur ces mots il quitte l’agence me laissant penaude et nue.

Je réalise alors que je viens de me faire bien baisée et ce dans tous les sens du terme.

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Captive 01-02

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Double Penetration

Synopsis : USA, San Diego, Une belle asiatique de 24 ans part en vacances mais se perd dans une petite ville .Elle est rapidement kidnappée par un gang de motards impitoyables et violents.

Commentaires :

C’est une réécriture d’après un texte violent anglais publie mais qui etait partiel, a noter que j’ai change certains aspects de l’histoire, pour la rendre lisible en Français, et éliminé certaines répétitions aussi, ajoutant certains détails manquants.

C’est un texte TRES dur, âmes sensibles ne pas lire. Si vous aimez, dites-le et je traduirais/réécrirais le reste, c’est un tres gros texte en 12 parties, encore une fois extrêmement violent, et pornographique

voici le lien pour ceux qui préfèrent la version originale,

https://www.sexstories.com/story/30086/property_of_devil_039_s_outlaws_part_1_

Captive.

1.Enlèvement

Alors que le soleil commençait à se coucher rapidement derrière les magnifiques chaînes de montagnes, Hannah sentit sa frustration grandir de seconde en seconde. Elle maugréait contre son système de navigation qui lui donnait des informations erronées. Elle était en route pour rejoindre des amis au lac d’Otay Mesa, pour quelques jours de plaisir et de détente en été. Elle n’avait plus que quelques heures de conduite, mais son outil de navigation normalement fiable avait commencé à se comporter de manière très étrange et maintenant l’écran était noir.

Au lieu de continuer sur la route principale comme elle aurait dû le faire au moment où elle s’était perdue, Hannah avait pris une sortie, comme par panique et n’avait plus aucune idée de l’endroit où elle se trouvait, mais elle savait dangereusement propre de la frontière mexicaine. Pour aggraver les choses, l’obscurité approchait rapidement et la ville dans laquelle elle se trouvait ressemblait à un bidonville. Les bâtiments anciens tout autour d’elle étaient délabrés, les routes étaient mal entretenues et les lampadaires fournissaient une lumière blafarde. Il y avait peu de monde dans les rues, et les seuls qu’elle voyait, ressemblaient à des clochards ou à des ouvriers fatigués qui rentraient du travail. La jeune femme qui était une « city lady » eut une sorte de vertige comme si les deux mondes entraient en collision.

Après avoir conduit pendant plusieurs minutes, Hannah finalement trouva une station-service. Même si elle ne voulait pas s’arrêter et sortir de sa voiture dans cette ville, elle savait que sa seule option à ce stade était de demander des directions. Elle gara sa voiture sur l’une des aires de parkings et marcha rapidement à l’intérieur du petit magasin décrépit. L’air de la nuit était frais et Hannah aurait aimé maintenant avoir porté quelque chose de moins léger que son petit short bleu et son haut blanc à dos nu. C’était une fille extrêmement attirante, avec de longs cheveux noirs, une belle peau bronzée et un corps menu et athlétique, mais presque maigre. Comme la plupart des autres Asiatiques, ses seins et ses fesses étaient petits mais merveilleusement ronds et fermes, et ses longues jambes fines faisaient retourner les hommes sur son passage.

“Bonsoir, je me demandais si vous pourriez me donner des directions, je suis perdu,” sourit Hannah au vieil homme assis derrière le comptoir avec un magazine dans ses mains.

« Quelle direction? » L’homme demanda d’un ton irrité, levant les yeux pour regarder l’Asiatique.

“Otay Mesa,” répondit Hannah.

“Désolé, je ne connais pas”, s’excusa l’homme, il regarda de bas en haut la jolie fille devant lui mais n exprima rien, il reporta son attention sur le magazine.

“D’accord, merci,” dit Hannah en se retournant et en sortant du magasin.

Hannah sentit son cœur se glacer quand elle regarda vers sa voiture et vit au moins une douzaine de motards autour du véhicule, certains étaient même assis sur le capot. Elle n’était à l’intérieur du petit marché que depuis peut-être trente secondes, mais d’une manière ou d’une autre, cela avait suffi à tous ces hommes pour garer leurs bécanes et s’installer autour de sa voiture.

“Eh sexy, d’où viens-tu?”

Hannah sentit son sang se glacer. Au début, elle ne sut pas quoi faire. Elle savait que ces hommes n’avaient que de mauvaises intentions. Elle regarda autour d’elle mais il n’y avait personne d’autre à proximité. Elle avait également laissé son téléphone à l’intérieur de la voiture.

« S’il vous plaît, je suis perdu, pouvez-vous m’aider? » demanda Hannah en marchant lentement vers sa voiture et le groupe d’hommes menaçants.

“Bébé, nous serions ravis de t’aider”, a répondu un autre motard, suscitant des rires et des sifflets de la part de ses amis.

“J’ai besoin de directions, je me dirige vers Otay Mesa”, précisa Hannah, sans relever.

« Otay? Maintenant? putain, mais pourquoi voudrais-tu y aller, pourquoi pas plutôt rester avec nous? » Demanda un des motards.

À ce stade, Hannah n’était qu’à quelques mètres de sa voiture, alors que plusieurs motards avaient rapidement commencé à converger vers elle urfa escort et à l’encercler. Hannah savait qu’elle devait faire très vite, et pensa à courir aussi vite qu’elle le pouvait, mais elle était tétanisée, ses jambes refusèrent de bouger. Tous les motards l’entourèrent et elle pouvait à peine voir autre chose que leurs corps imposants qui la dominaient. Tous étaient de gros gabarit, mesurant bien plus de 1.85m et pesant au moins 125 kg. Hannah, à l’opposé, ne mesurait que 1m49 et ne pesait pas plus de 43 kg. Son copain Jeremy la prenait souvent dans ses bras car il disait qu’elle pesait moins qu’un enfant.

“C’est très simple, salope, soit tu peux venir avec nous gentiment et facilement, soit nous pouvons t’attacher à l’une de ces bécanes et te traîner derrière “, déclara l’un des motards et, à en juger par son énorme physique, le leader. “Qu’est-ce que tu choisis?”

“S’il vous plaît… s’il vous plaît, je ne veux pas de problèmes, je veux juste partir, s’il vous plaît, laissez-moi tranquille, je vous donnerai tout ce que vous voulez, j’ai de l’argent dans ma voiture, dans le vide poche”, plaida Hannah, son corps tremblant de terreur.

“Oh, nous prendrons ton argent, ne t’inquiètes pas pour ça, et tu feras aussi beaucoup plus “, sourit le géant tatoué. “Maintenant, tu es prête à venir avec nous, ou devons-nous faire ça à la dure?”

« Où… où m’emmenez-vous? S’il vous plaît, je veux juste y aller… laissez-moi partir, s’il vous plaît », a continué à supplier Hannah.

“tu vas venir chez nous, c’est tout ce que tu dois savoir”, répondit le motard.

« Non… non, je ne veux pas, je ne veux pas, s’il vous plaît », supplia Hannah, clairement en mode panique.

“Que quelqu’un m’apporte une corde, je pense qu’on va attacher cette stupide chienne”, déclara l’homme énorme, exaspéré.

“Non je t’en prie! S’il te plaît, arrête! Pourquoi fais-tu ça?!” Hannah cria, luttant désespérément alors que deux des motards lui ont rapidement saisi les bras et ont commencé à la traîner vers leur Harley.

“Non! Pitie! Je t’en prie, je viendrai avec toi, je viendrai avec vous, ne m’attachez pas! Hannah cria d’horreur quand l’un des hommes s’approcha d’elle avec une corde dans les mains.

“Tu es prête à être une bonne fille?” Demanda la bête tatouée, attrapant ses long cheveux noirs d’Hannah et secouant sa tête en arrière pour qu’elle soit forcée de le regarder.

“Oui! S’il vous plaît ne me faites pas de mal! Je ferai tout!” répondit Hannah, les larmes commençant à couler de ses yeux.

“Tu vas monter avec moi, si tu essaies de t’échapper, je te file une rouste, tu comprends, petite conne d’asiatique?” Le motard a prévenu.

Hannah hocha la tête en signe d’accord et le motard la traîna vers sa moto. Il la força à s’asseoir sur le devant de la selle avant de s’asseoir lui-même directement derrière elle. Elle sentit le cuir de la selle sur ses cuisses nues, l’homme lui caressa les jambes, il était tout contre elle.

Hannah tremblait violemment maintenant et était absolument terrifiée lorsque le colosse accéléra et sortit du parking, le reste de ses amis le suivant de près.

Lorsqu’elle vit sa Subaru WRX brillante disparaître, Hannah commença à pleurer et sentit la peur dans son estomac, se demandant ce qui allait lui arriver désormais.

Il ne fallut pas longtemps au gang de motards pour atteindre leur destination. En moins de dix minutes, le chef transportant Hannah quitta la route et pénétra dans un grand parking de ce qui semblait être une sorte de taverne. Il y avait des dizaines de camions, des gros engins de transports et d’autres bécanes garées tout autour du bâtiment. Hannah pouvait entendre les rires tapageurs et les cris d’hommes saouls à l’intérieur. Le motard derrière gara sa Harley près de l’entrée et rapidement attrapât Hannah par ses longs cheveux bruns, la trainant vers les portes du bar.

“Putain, j’ai hâte de baiser cette petite garce”, dit l’un des motards derrière elle, alors qu’elle était transportée dans le bâtiment.

Hanna tressaillit.

Chapter 2: la première nuit

Le chef du gang la conduisit directement vers l’arrière de la taverne, passant devant le bar mais ne s’arrêtant pas. Les innombrables clients ivres la regardèrent avec silence et admiration, la plupart des filles ici étaient moches et grosses, mais Hannah avait un petit cul et des petits seins qui eurent leur effet. Cependant, ils ne purent la voir que quelques secondes, car elle fut rapidement emmenée à l’arrière du bâtiment. Hannah eut du mal à suivre l’énorme motard alors qu’il la traînait à travers des doubles portes et dans un couloir sale avant d’entrer dans une pièce sur la droite. Tout sentait le moisi, le vieux, l’alcool, et la sueur des hommes.

Une fois à l’intérieur, le motard poussa rudement Hannah vers un grand matelas sale près du coin de la pièce. Le cœur de la jeune fille battait fébrilement et elle pouvait à peine se tenir debout sur ses genoux tremblotants. Hannah était plus que sivas escort terrifiée lorsque les nombreux motards se sont rapidement avancés dans la pièce. Tous avaient les sourires les plus écœurants et les plus malveillants sur leurs visages.

“D’accord salope, voilà comment ça va marcher”, déclara le motard qui l’avait traînée à l’intérieur. “A partir de maintenant, tu es notre propriété, et nous sommes très connus dans ce coin, les Hells Angels. Tu es notre petit jouet. Tu peux oublier toutes tes conneries stupides que tu faisais dans ton ancienne vie, parce que c’est de l’histoire maintenant. On ne sait pas qui tu es et franchement, on s’en tape. Ton seul but maintenant est de te faire baiser. Tu ferais mieux de commencer à t’habituer à être sur ce lit et à te faire bourrer tous tes trous, parce que c’est la seule chose que tu vas faire pendant très longtemps.

“Non, S’il vous plaît, ne faites pas ça, non non, s’il vous plaît, ne faites pas ça “, plaida Hannah, tremblant violemment alors que l’horreur de sa situation commençait vraiment à se faire jour, ces hommes parlaient de façon tellement crue qu’elle était sous le choc.

“Pour ton bien, j’espère vraiment que tu as une petite chatte excitée, parce que je ne plaisante pas quand je dis que tu vas te faire baiser presque sans arrêt. Nous sommes environ une douzaine ici, mais il y a plus de 100 Angels et je suis sûr qu’ils vont tous venir très bientôt une fois qu’ils auront entendu parler de toi », déclara le motard avec un sourire.

“S’il vous plaît, je vous en supplie vraiment, laissez-moi partir, je vous donnerai tout ce que j’ai, je le jure”, a supplié Hannah avec incrédulité. « Je te donnerai tout mon argent et tout le reste. Vous pouvez avoir ma voiture et tout, s’il vous plaît, laissez-moi partir ».

Le gars la gifla et Hannah recula d’un pas, sous le choc.

« Ohhh »..

“Ferme la, putain de salope, ça ne sert à rien d’essayer de négocier avec nous, ça va juste nous énerver encore plus. La meilleure chose à faire pour toi en ce moment est de te concentrer sur nous satisfaire avec ton petit corps sexy, parce que si tu le fais pas, nous n’allons pas seulement te baiser, on va aussi te battre et te défoncer. Comme je l’ai dit, tu es notre propriété maintenant, et nous pouvons et ferons tout ce que nous voulons de toi. Donc si tu ne veux pas te faire mal, tu vas être une bonne petite pute et nous faire plaisir avec tous tes trous, compris? » demanda le motard, lançant à Hannah un regard très menaçant.

“…Oui,” répondit Hannah, une expression de pure terreur sur son visage, sa joue la brulait, il avait main calleuse avec des gros doigts tatoues.

“Bien. Maintenant déshabille toi et monte sur ce lit derrière toi », expliqua le géant.

“S’il vous plaît, Messieurs ….”, implora Hannah, alors qu’elle commençait à pleurer.

“Monte sur ce putain de lit, et mets-toi à poil si tu ne veux garder ton joli visage intact”, répéta l’homme avec colère.

Hannah se sentait engourdie partout et avait tellement peur qu’elle était à peine capable d’enlever son haut sans manche. Elle a ensuite défait son short et l’a fait glisser le long de ses longues jambes. Elle tremblait et pleurait misérablement maintenant alors qu’elle enlevait son soutien-gorge puis sa culotte, suscitant de nombreux commentaires obscènes et dégradants de la part des autres motards. Ainsi, Hannah se tenait nue devant la meute d’hommes excités, et elle pouvait sentir à quel point ils étaient tous anxieux et fous alors qu’ils la regardaient avec une envie. Elle s’était rasée la chatte la veille du départ, ne laissant qu’une bande de poil serrée, juste au-dessus de son clitoris. Les hommes regardaient fixement dans cette direction, elle crut s’évanouir…

“Maintenant, mets ton cul sur ce lit, sur le dos pour l’instant et écarte tes jambes très largement”, ordonna le motard en chef.

La tête d’Hannah battait la chamade et toute la pièce semblait tourner. Elle ne pouvait toujours pas croire que cela se produisait vraiment alors qu’elle grimpa sur le matelas sale et se mit sur le dos. Son cœur était sur le point d’exploser et elle était plus que pétrifiée. Elle avait tellement peur mais écartait néanmoins ses cuisses aussi largement qu’elle le pouvait, de sorte que son magnifique vagin était exposé à tous les hommes de la pièce.

“Putain, c’est une jolie chatte, ton copain a dû passer des nuits à te lécher le trou”, a fait remarquer l’un des motards, gagnant un sifflement d’accord des autres. En vérité, Hannah était gênée quand Jeremy voulait l’embrasser entre les cuisses. Pour elle le sexe n’était pas dans sa culture, et elle n’avait que très peu regardé de film porno sur internet, elle n’y voyait aucun intérêt.

“Maintenant, nous allons tous baiser à tour de rôle ta jolie petite chatte pendant les deux prochaines heures. Comme c’est ta première nuit, nous essaierons de ne pas être trop durs. Tu vas garder les jambes écartées tout le temps, sinon nous allons devoir te tekirdağ escort filer une trempe et t’attacher », avertit le motard.

“Ouais, commençons à niquer cette pute! Déchires lui la fente, Tank! » L’un des motards cria avec enthousiasme.

Hannah regarda avec peur le chef de gang se déshabiller rapidement et grimper sur elle, l’écrasant pratiquement sous son corps massif. Le motard mesurait facilement 1m90 et pesait 140 kg, de la carrure d’un boxeur. Hannah se sentait nauséeuse alors que son visage était pressé contre son torse poilu et en sueur. Tank avait calé le bas de son torse entre ses cuisses fines jusqu’à ce qu’il sente le sexe d’Hannah contre le bout de sa bite gigantesque. Dès qu’il commença à pénétrer le petit orifice, Hannah se mit a à crier horriblement et à se débattre sauvagement sous l’homme.

« Putain, tu es serré! Dieu, tu es vraiment serré comme une ado, petite pute asiatique! Tank rugit, saisissant les bras agités de la fille et les épinglant au matelas au-dessus de sa tête.

“S’il te plaît, arrête! S’il te plait ça fait mal! Ça fait mal!!” Hannah criait, luttant fiévreusement alors que l’énorme motard enfonçait brutalement sa bite en elle.

Jamais dans sa vie Hannah n’avait fait l’amour avec quelqu’un de la taille du motard. Il était presque deux fois plus lourd que son petit ami. Même si elle ne pouvait pas le voir, Hannah pouvait sentir à quel point le pénis de 24 cm de Tank était massif et atrocement épais. Inutile de dire que la fille asiatique n’était en aucun cas préparée à faire plaisir à un homme de la taille de Tank. Hannah pouvait déjà sentir sa chatte commencer à se deformer alors que le motard monstrueux enfonçait de plus en plus sa bite dans son sexe.

“Ouais, tu as une vraie salope à la chatte serrée, mais ne t’inquiète pas, ça ne va pas être aussi serré pendant très longtemps! On va bientôt desserrer tous tes trous, tu verras!” Tank cria de joie.

Le démon tatoué avait maintenant presque tous les 24 cm de son pénis à l’intérieur d’Hannah et commença lentement à entrer et sortir de la fille agonisante. Parce que sa chatte était si serrée et sèche, Tank a dû travailler méthodiquement au début. Il ne fallut pas longtemps, cependant, avant que l’énorme motard ne commence à plonger violemment sa bite dans Hannah.

« Noooooon!! Pitieeeeee stttooooppp!!” Hannah criait, se tortillant lamentablement sous l’homme velu alors qui la baisait vicieusement.

Les autres motards riaient tous et faisaient des commentaires grossiers en regardant leur ami violer brutalement la petite asiatique. La seule partie d’Hannah qui était visible pour les hommes était ses jambes bronzées et galbées qui dépassaient du cadre massif de Tank. Cependant, ils pouvaient tous l’entendre crier dans une misère absolue, et ils en adoraient le son.

Hannah pensait qu’elle allait mourir alors que l’énorme motard la baisait vicieusement. Il déchirait littéralement son délicat vagin à chaque fois qu’il la percutait et la douleur était insupportable. Elle enroula étroitement ses jambes autour de son abdomen massif et essaya de le ralentir mais il était tout simplement trop grand et trop puissant. Pire, cela donna à Tank une position plus propice pour redoubler ses assauts encore plus profonds.

“Cette chienne a une putain de chatte serrée!” Tank rugit, alors qu’il continuait à marteler la chatte pulpeuse d’Hannah.

Il n’a pas fallu plus de quelques minutes à l’énorme motard pour jouir. Tank sentit son gland sur le point d’éclater et essaya de continuer un peu plus longtemps mais il était trop tard. Il donna une dernière poussée brutale et enfouit tout son pieu dans le sexe d’Hannah juste avant que son sperme ne jaillisse et remplisse la jeune femme.

“Non! s’il vous plaît! s’il vous plaît arrêtez!” Hannah hurla, se débattant sauvagement dès qu’elle sentit le sperme de l’homme dégoûtant inonder sa chatte. Son petit ami n’avait jamais éjaculé en elle, car il lui faisait porter une capote à chaque fois. C’était horrible de sentir ce jus poisseux se répandre au fond d’elle.

« Ne te bats pas salope! C’est pour ça que tu es ici! « Cria Tank, souriant à la fille pendant qu’il vidait ses couilles dans son vagin douloureux.

Quand il eut fini, l’énorme motard resta à l’intérieur d’Hannah pour profiter un peu plus longtemps de la chaleur et de l’étroitesse de sa chatte. Cependant, comme il y avait plus d’une douzaine de ses amis qui l’attendaient, il se retira à contrecœur de son vagin faisant un bruit de clapotis. Pendant ce temps, Hannah sanglotait misérablement et était en état de choc. Même si la bête tatouée n’avait duré que quelques minutes, il l’avait baisée si violemment que sa chatte la brulait et elle souffrait. Elle n’avait jamais eu une telle pénétration, c’était comme si cet homme avait pris possession d’elle. En quelques minutes, elle se sentait sale, humiliée.

“Putain de salope, c’était incroyable”, dit Tank, alors qu’il se penchait sur Hannah pendant quelques secondes. “J’ai toujours pensé que les putes asiatiques étaient serrées, mais cette salope c’est vraiment autre chose. Je vais devoir te baiser après que les autres garçons aient fini avec toi ce soir.

“D’accord, qui est le prochain les gars?” Dit l’un des autres motards, après que Tank soit descendu du matelas.

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Alice 05

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Ass

Je suis dans la cuisine, je termine mon petit déjeuner. Mon cul et ma moule me cuisent de la baise dont j’ai joui au cours de cette soirée. Je me demande ce que je fais là à attendre. Que va-t-il encore me faire faire ? A présent qu’il a des photos de la nuit dernière et il m’a peut- être aussi filmé avec son téléphone portable.

J’attrape et réponds presque en un seul mouvement quand mon téléphone sonne.

– C’est moi, ma pute ! Murmure Ange.

– Oui ? Que je balbutie.

– Comment va le cul de ma pute? Demande Ange.

– Un petit peu endolori, mon puits d’amour aussi !

– Nous allons bientôt arranger cela ! Il raccroche en riant.

Je peux sentir l’humidité envahir ma grotte d’amour. Cela est provoqué par le bref contact que je viens d’avoir avec mon amant. Comment j’en suis arrivée là? Ange m’a fait entrer dans un monde de dépravation et de vice. C’est déjà assez grave, mais le pire, c’est que j’aime cela!

Comment la femme respectable que j’étais, il y a encore quelques jours, a-t-elle pu laisser la place à celle qui se vautre dans la luxure? Perdue dans ma rêverie sentimentale, je commence à caresser mon minou quand la sonnette retentit.

Quand j’ouvre, il y a deux hommes noirs devant la porte ?

– C’est toi la femme de Mr Ange qu’il faut qu’on élargisse ?

Dit le plus grand en me poussant à l’intérieur pendant que l’autre visiteur referme la porte.

– Moi, c’est Omar et je te présente, Moussa un collègue venu me prêter main forte! C’est la première fois que je me trouve seule en contact avec des hommes noirs. Je suis vêtue d’une légère robe.

Moussa m’embrasse direct, j’en suis surprise et gênée. Sa main descend lentement jusque sur ma poitrine. Je ne bouge toujours pas, mais mes seins parlent pour moi, car mes tétons se dressent sous ma robe ne cachant pas mon excitation. Je serre les cuisses.

Sa main descend sur ma hanche me plaque contre lui. Je sens immédiatement son sexe déjà bien dure venir se frotter contre mon ventre.

Omar donne des consignes à Moussa discrètement. Il s’éclipse dans la cuisine alors qu’Omar me pousse vers la chambre d’amis, il semble bien connaître la maison.

J’arrive dans la chambre avec Omar, nos bouches se collent, il me mange la langue.

Omar me pousse vers le lit. Sa main glisse sur mes fesses qu’il malaxe. Il me demande d’enlever ma robe. Ce que je fais sans réfléchir. Une fois nue devant lui, il m’appuie sur les épaules pour que je m’agenouille.

Il sort alors sa queue monstrueuse. Elle est bandée, elle se dresse complètement. Il pose son gland sur mes lèvres pour que je le lèche. Puis je le prends à pleine bouche, mais elle est trop longue pour que je l’avale totalement. Très vite, elle est dure comme du bois. Il me pousse sur le lit et vient se ficher entre mes cuisses.

Son gland n’a aucun mal à me pénétrer.

– ARH ! ARH ! Je n’ai jamais senti un truc pareil doucement, tu vas me déchirer, je n’ai pas l’habitude d’un si gros manche.

Omar se met à me pilonner pendant trente minutes, moi, je gueule dans tous les sens mon plaisir.

Il me défonce vraiment très brutalement, je tente de le repousser, mais à chaque fois, il m’embrasse plein de bave ou il me claque les seins, par la suite les mord sans arrêté de me baiser de toute sa longueur.

J’ai un peu mal au ventre, mais le sexe d’Omar ressort plein de sécrétions. Je vient de jouir pour la première fois de la journée.

-ARF ! Comment je te défonce, jamais une salope aussi ouverte n’a pris ma queue comme ça. – AARRFF !! Tiens prends ça et encore et encore, je vais te défoncer comme un dingue.

Il sort sa bite en entier et l’enfonce sauvagement dans une cadence infernale, je bouge la tête dans tous les sens, je tremble de partout, j’ai un autre orgasme, mais il continue à me bourrer comme un fou. Il change de position en permanence comme s’il voulait me foutre son gland partout dans mon vagin.

En bas, Moussa attend, ça fait une heure que je me fais baiser par trabzon escort Omar.

Moussa doit se déshabiller, car quand il arrive dans la chambre, il est nu. Omar est dans son assaut final, il cogne à fond dans mon puits d’amour. Je ne sais plus où j’en suis tellement, je jouis en permanence. – Oui ! Encore plus fort, fais-moi jouir, je veux ta grosse bite. AARRFF ! OUIII ! Plus fort putain, j’ai jamais? AAARR ! OUIIII ! OUIIII !

Omar voit son pote, il lui tape dans la main en sortant de ma moule, il n’a pas encore joui, c’est incroyable ?

Je m’effondre dans un état second, à demi consciente, je n’aurais jamais cru que l’on pouvait jouir autant de fois et d’avoir autant d’orgasmes, je demande. – Il faut que je baise avec lui aussi ?

– Il vient prendre le relais, tu m’épuises tellement que t’es bonne, j’ai presque plus de batterie et lui, c’est une pile atomique.

– Ouais ! Tu vas voir ma salope, ça c’est de la bite d’africain, tu vas dérouiller !

Je tente de m’échapper en me relevant en voyant la bite de Moussa. Mais Omar me tient fermement les mains au-dessus de la tête, je me tortille pendant que Moussa avance avec son énorme membre en main qui gonfle encore. – Regarde ce qui t’attend ma salope.

Je tente de le repousser avec les pieds. – Arrêtez ? Vous êtes plein de transpiration, vous sentez mauvais et en plus, vous n’êtes pas beau.

Là, fou de rage, Moussa m’attrape les chevilles et écarte au maximum mes jambes, je hurle me débat dans tous les sens, il avance sa bite, il a du mal à me pénétrer tellement, il est large, je crie en gigotant sans arrêt, je donne des coups de pieds, mais il me maintient bien en grand écart.

– OH? La pute, elle ressert son vagin pour m’empêcher de rentrer, ne résiste pas sinon je te viole.

Et il m’assène deux énormes gifles en pleine gueule, je pleure.

– Fais pas chier, on va t’engrosser tous les deux avec Omar, tu la fermes sinon Ange t’emmène dans un foyer de migrants et là, ils seront vingt à te baiser.

Je pense soudainement qu’il n’a pas mis de capote, Ange m’avait prévenu que serait ainsi.

Il ressort son gourdin, c’est vraiment monstrueux, il me frappe les seins et dit. – Bon, tu t’ouvres et tu te laisses faire ou j’abats la foudre sur toi ! Il attend, il dit à Omar.

– Lâche-lui les bras, je veux voir ? Mr Ange nous a demandés de la baiser comme on veut, alors là ?

– Toi la pute, prend ma bite et vient l’embrasser.

Je sanglote, j’hésite, mais doucement comme un animal blessé, je m’exécute et pose un baiser sur l’énorme gland de Moussa, qui tend sa bite et me regarde faire.

Il me relève, il me prend la bouche, je grimace, il essaie de rentrer sa langue et je cède difficilement, mais il me force, je suis un peu écœurée par cet échange de salive.

Il me lèche tout le visage, il bave, il me pétrit les seins en me bouffant les mamelons, il tire dessus avec ses dents, il suce vraiment fort.

Puis il remonte vers ma bouche, je commence à me laisser faire, je n’ai pas le choix, je tire lentement la langue, le baiser est très intense et il me dit.

– Alors comme ça je ne te plais pas, je ne sens pas bon, tu vas me sucer la langue alors !

Et il m’embrasse comme fou, il me mange la bouche dans un clapotis baveux.

D’un coup, il me repousse sur le lit. – C’est ça ? Tu commences à comprendre. Clac ! Clac! Deux baffes sur mes seins, ensuite, il les prend à pleine bouche, les tord, les mord, je gémis de douleur. – J’aime les bonnes chiennes comme toi bien en chaire avec de bonnes mamelles!

Pendant ce temps, Omar, s’est mis dans un coin dans le fauteuil et se caresse doucement la bite.

Moussa se prépare sur moi et me demande d’écarter au maximum ses jambes.

– Aller plus grand, je vais te défoncer l’utérus, mais avant ouvre la bouche en grand ?

Il va chercher un gros crachat au fond de sa gorge et me crache en plein dans la bouche un truc immonde rempli de bave.

– Fais tunceli escort voir sur ta langue, tu le goûtes bien et tu l’avales. Voilà maintenant, tu es baptisée à la salive d’africain, aller choppe ma bite et mets-la en place à l’entrée de ton trou.

Je prends à deux main le mandrin monstrueux de Moussa et le pose sur ma moule toute fragile.

Moussa pousse tout doucement, juste le gland disparaît entre mes lèvres vaginales, il le ressort tout de suite puis recommence, il se branle le gland avec mes lèvres vaginales, c’est hyper sensuel. Je commence à gémir, je suis proche de la jouissance, il accélère la masturbation de mes lèvres de plus en plus vite.

Je me détends, il me caresse les seins, les suce délicatement comme s’il me faisait l’amour. Ce mec sait y faire. Je craque et de moi-même, j’attrape la tête de Moussa et lui roule une pelle bien grasse avec la langue, je suis hypnotisée par les gestes de Moussa. – C’est bien ma grande, plus tu te livres, plus tu as envie, plus tu vas prendre ton pied.

Il continue sa masturbation avec son gland, j’ouvre de plus en plus mes jambes, il se colle à mon oreille et me dit.

– Alors le moche qui sent mauvais, il sait y faire avec sa bite non ? Tu sens mon gros gland faire vibrer ta moule, il suffit de te faire jouir par l’entrée de ton volcan, ton mari n’arrive pas à te mettre dans cet état, tu aimerais bien en avoir plus?

– Je ? Je ne sais pas, j’ai peur, c’est si gros et si dur, bien plus gros que les autres, mais continue avec ton gland j’adore.

Et là, Moussa se met à me baiser juste l’entrée du vagin, la cadence est ultra-rapide, je jouis sans qu’il ne soit allé au fond et il continue, c’est vraiment pervers, il me pousse à bout.

Omar qui en a assez se lève et m’enjambe au-dessus de mon visage et me colle sa bite le long de ma bouche, il vient se faire sucer, j’essaie de rentrer un max de sa grosse bite, mais il en reste toujours un bout dehors.

Je suis excitée à fond, Omar à cheval sur mon visage, me baise littéralement la bouche et Moussa commence à pousser sa bite de plus en plus en profondeur et il accélère les mouvements.

D’un coup, je mets mes mains sur les fesses d’Omar pour le prendre encore plus profond dans ma gorge. C’est le signal, par la suite, je passe mes jambes autour de la taille de Moussa qui plonge au fond de mon ventre, c’est tellement énorme que je suis surprise et j’ouvre la bouche en grand. Omar en profite, il me fait une gorge profonde et se bloque au fond.

– Putain c’est pire que dans un porno, cette pute va nous purger les burnes, je vais vider mon jus dans ton ventre. Râle Moussa.

Il me met maintenant des grands coups de bite, il me pilonne le plus profond possible, j’en suis en transe, les orgasmes se multiplies, je secoue la tête, m’électrise et inonde le lit de cyprine. Omar me lime la bouche et dans un dernier élan, il se plante bien au fond et se vide dans ma bouche, ça coule partout tant ses couilles sont pleines. J’aspire pour en avaler le plus possible, je pompe toute sa bite, il s’écroule sur le côté vaincu, il quitte le lit, il est complètement éteint et vidé.

Moussa me baise à présent comme un dingue, son endurance est incroyable, la mienne aussi, nous sommes plus que tous les deux, le rythme est soutenu, nous prenons notre pied. Moussa se couche sur moi, il me câline, il me fait l’amour puissant et fort, je me laisse faire et dit. – OOH ! OUIIII ! Enfonce encore ta bite dans mon ventre, tu baises comme un dieu vas-y plus fort, plus loin, fais-moi crier, ta bite est partout ? Tu me remplis bien.

Ses mouvements sont très amples, il me lime de toute sa longueur avec force, avec les trente cm et l’épaisseur comme un avant-bras, son pieu coulisse dans ma matrice, je l’encourage.

– OUII ! C’est ça lime-moi bien, remplis mon ventre, fais-moi jouir, j’aime la force de ta queue, plus vite, plus fort ! AARF! AARF! OOOUII ! Encore défonce-moi comme une salope, je suis ta pute, je uşak escort veux ton jus dans mon ventre. AAARR ! OUII ! OUII ! Je jouis sans arrêt.

Il va de plus en plus vite, on dirait qu’il me perfore, nous sommes deux bêtes qui s’accouplent, je lui griffe le dos jusqu’au sang, il redouble ses coups, percute le fond de mon vagin, c’est violent, je jouis encore. Je lui reprends sa bouche dans un mélange de langue qui n’en finit pas. Mes orgasmes se succèdent à une vitesse hallucinante, je me demande encore comment je ne me suis pas encore évanouie.

D’un coup, je le pousse, il tombe sur le dos la bite en l’air. Ce monstre a l’air vraiment hors norme, je le prends en main et dit en parlant à sa bite : – Alors c’est toi le démon du sexe, le dieu du plaisir qui me fait jouir?

Puis, je me tourne vers Moussa en tenant sa bite à la verticale, je le lèche du torse jusqu’à la bouche, elle dit.

– J’en veux en encore plus, t’as encore des réserves ou j’appelle Omar ? Moussa répond. – Non ! C’est bon, j’ai les couilles bien pleines, viens te planter sur ma bite, tu vas voir.

J’enjambe son gourdin et le fais disparaître au fond de mon puits d’amour, c’est moi qui bouge maintenant, je suis insatiable, je suis une droguée de sexe, je monte et descends, je fais des cercles avec mon bassin pour que la bite tourne dans mon ventre dans un rythme effréné.

Moussa se laisse faire, il donne parfois des petits coups pour m’accompagner.

– Vas-y bourre-moi bien, je veux sentir ta bite au fond, remplit mon utérus, met ton sperme partout, aller plus fort ? OUI ! OUIIII ! Je veux jouir tout le temps.

L’orgasme est intense, de la cyprine sort de mon vagin et c’est le moment que choisi Moussa pour me défoncer comme un malade, je perds presque connaissance. Il fait signe à Omar de venir, sa bite est de nouveau bien droite, mais un peu moins grosse.

– Met la lui aussi dans son garage à bite, on va l’écartelé et lui remplir le ventre de foutre !

Omar se positionne, je suis couchée sur le buste de Moussa et Omar pousse toute la longueur de sa bite contre celle de Moussa. Je me fais écarteler, mon vagin est complètement distendu.

– AAARRGN! Deux énormes bites ? Je suis pleine de viande, déchirez-moi en deux, je veux du cul, vous êtes des vrais taureaux alors, il faut me saillir comme une vache, c’est ce que je mérite, défoncez-moi je suis une salope qui trompe son mari.

Ils se mettent à me limer en cadence de toutes leurs longueurs, mon vagin n’a jamais été ouvert comme ça, je jouis encore, je ne sais plus ce que je fais, je ne suis plus qu’un morceau de viande. J’ai un nombre incalculable d’orgasmes parfois à répétition parfois longs et dévastateurs.

Nous jouissons tous ensemble dans un énorme râle bestial. Eux continuent à me pilonner pour se vider les burnes au maximum. Omar sort sa bite toute blanche du sperme de Moussa qui continue à vider ses couilles lentement.

Dans son élan, Omar s’enfonce dans mon anus, qu’un énorme orgasme, écarte bien pour faciliter son entrée. Il ne tarde pas lui aussi à me remplir les entrailles. Ça fait maintenant prêt de trois heures que nous copulons comme des bêtes, Moussa après bien des efforts m’a aussi rempli les entrailles.

Je suis remplie de semence, je me glisse comme une chatte et descend lécher leurs bites couvertes de jus, mais qui semblent toujours en forme!

Quand Ange rentre le soir, il ne me trouve pas, il va dans la chambre d’amis. Je suis là, assoupie, sur le ventre, mes jambes écartées laissent voir ma vulve rougie et débordante de semence d’africains ainsi que mon anus. En moins de temps qu’il faut pour le dire, Ange se déshabille, et me sodomise.

J’ai un sursaut, mais je suis trop épuisée pour réagir. Ange s’active dans mon rectum, il nage dans le sperme de mes derniers visiteurs. Au bout de dix minutes, il mélange sa semence avec celle des deux autres africains. Je pousse un léger gémissement de plaisir avant de replonger dans les bras de Morphée jusqu’au lendemain.

– OH LA LA ! Tu vois ce que je deviens ?

– Tu sais d’où je sors là? Il y a un quart d’heure?

– Non ?

– De chez Mohamed, l’homme à tout faire de la commune.

– Chez Mohamed l’arabe ? Mais pourquoi ? 

– Ange m’y a amenée vers dix-huit heures.

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De la Chimie des Corps Ch. 06

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Avant-propos

Dans ce chapitre, les aventures de Walter rejoignent les tribulations de Léa cela pourrait exciter la vieille mère de famille que je suis! »

A ce moment, Soise entra avec deux des nourrissons , les passa à Niki qui dégrafa son soutien-gorge d’allaitement et les installa aussi confortablement que possible. Les minuscules mains tâtonnèrent sur ses gros seins tandis que deux bouches avides cherchaient ses mamelons. Françoise l’aida à trouver de meilleures positions puis dit

« Le garçon dort encore ; j’espère qu’il attendra encore dix minutes pour se réveiller »

« Ouch! » dit Niki, « qu’est-ce qu’elles sont affamées? Tu veux bien préparer du lait de complément? Sinon je n’aurai plus rien pour Antoine! »

« Antoine? Et les filles? »

« Bethany et Cheyenne »

« Ca c’est déjà plus original. Walt, si Antoine se réveille, je compte sur toi! »

« Mmmh » soupira Niki après son départ. « Ces petits monstres pourraient me faire jouir avec leurs succions . Je suis toute mouillée mais c’est encore trop tôt pour que tu me soulages Wally … C’est dur la vie d’une maman! »

Walter bandait comme un bouc en rut mais n’osa rien dire. Il ne pouvait décemment pas demander à son épouse déjà surchargée de le satisfaire avec un ‘Clinton’. Françoise revint avec le lait de complément et nourrit Bethany que Walter fit ensuite roter et changea. Ensuite, ce fut le tour de Cheyenne au moment même où Antoine donnait de la voix.

« Si ils pouvaient toujours se relayer de la sorte, ce serait merveilleux » commenta Walter à Françoise en recouchant sa première fille. »

« N’y compte pas trop et quand j’aurai mon bébé, il faudra sans doute engager du renfort » dit-elle « mais je payerai ma remplaçante tant que je ne serai pas en état de retravailler »

« Ahem, il y a deux jours, je t’aurais dit que c’était hors de question mais maintenant, j’ai peur de ne plus pouvoir assumer ce genre de dépenses supplémentaires! A moins que Niki n’obtienne de bien meilleures conditions financières»

Dix minutes plus tard, Antoine avait rejoint ses sœurs. Françoise s’apprêtait souhaiter la bonne –courte — nuit aux jeunes parents quand Niki l’arrêta.

« Soise, tu veux bien t’occuper de mon mari jusqu’à la prochaine tétée? Le pauvre a eu une journée plutôt excitante et si je me souviens bien de mon état à partir du premier mois, tu ne devrais pas être contre une petite partie de jambes en l’air, non? »

« Mais Niki .. » commença Walter

« Tais-toi Wally, ce que femme veut … » l’interrompit Soise en le tirant derrière elle vers sa chambre « repose-toi bien ma chérie » dit-elle à Niki qui fermait déjà les yeux.

Trois heures plus tard, c’est un Walter essoré qui s’endormit dans le lit de la rouquine comme une souche au moment où le babyphone appelait une Soise complètement requinquée dans la nursery. Lorsqu’elle réveilla Walter une heure plus tard, il dut lutter contre le mur de brique qui fermait ses paupières.

« Wally, va prendre une douche, tu n’as qu’une demi-heure avant qu’on ne vienne te chercher! »

Une demi-heure plus tard, la longue Citroën noire se garait devant la maison mais le chauffeur avait changé

« Salut Doc! »

« Toussaint, quelle bonne surprise! »

« Le Colonel a conclu un contrat avec Claude pour mes services! Je bosse maintenant pour l’Etat mais avec un salaire du privé! Oups, vous avez l’air crevé Doc! Faites une sieste ; on en a presque pour deux heures ..»

Walter obéit avec gratitude et ne se réveilla qu’une heure et demie plus tard alors que la voiture roulait dans une forêt . Il aperçut vaguement dans le lointain une colline dominée par un imposant château fort de style hollywoodien avant que le véhicule ne se présente devant un modeste hangar à l’aspect délabré.

« Mettez la cagoule, Doc ; vous n’êtes pas encore autorisé à voir l’entrée de la base! »

Walter obtempéra et comme la veille, il sentit le véhicule descendre une pente et rouler à nouveau quelques minutes à vitesse réduite sur une route macadamisée.

(« On doit rouler dans un tunnel qui part du hangar et toute la base doit se trouver sous terre » se dit-il)

La voiture s’arrêta, la porte s’ouvrit et la voix du Colonel retentit

« rize escort Alors Lévèque, content de votre nouveau chauffeur? Enlevez cette cagoule ; c’est la dernière fois que nous vous l’imposons. L’opération d’hier a été un tel succès que vous avez gagné tous vos galons de sécurité en 24 heures. «

Derrière le colonel, se tenaient la Hauptmann Ulla Votsôrr presque, méconnaissable, sanglée dans un uniforme de parade impeccable et la petite laborantine qui l’avait aidé la veille.

« Je vais rendre une visite de courtoisie à votre épouse avec mon adjointe et surtout la rassurer quant à votre avenir commun. Toussaint nous servira d’homme de confiance pour cette première visite. Je vous laisse entre les mains d’Anne-Sophie Terclavers. »

Il prit sa place dans le véhicule suivi de la hiératique blonde militaire et Toussaint fit demi-tour pour reprendre le tunnel en sens inverse.

« Je suis contente que vous ayez obtenu votre accréditation de sécurité » lui dit Anne-Sophie, cela nous simplifiera la vie et nous pourrons aller prendre l’air au château de temps en temps! »

« Le château? Celui qu’on aperçoit avant d’entrer dans le tunnel? »

« Vous ne l’avez pas reconnu? C’est le Château de Pierrefonds. Quand Napoléon III a mandaté Eugène Viollet-Le-Duc pour la reconstruction du château dans le style médiéval, il a ajouté un codicille confidentiel concernant la création de passages secrets et de salles souterraines . Depuis 1895, ces couloirs et ces salles sont un des QG opérationnels des Services français et maintenant européens. »

Elle le mena directement au labo où ils avaient travaillé la veille. Elle lui montra deux boîtes sur la planche de travail

« Voici les deux suivants de ces messieurs. C’est le sergent Matthew qui mènera la danse ce matin. Cette après-midi, nous ferons un test avec deux femmes »

« Si vous avez la possibilité d’influencer le commandement militaire, on pourrait s’y mettre sans attendre ; il suffit que quelqu’un nous ramène leurs sécrétions vaginales sur un coton tige! »

« Moi je n’ai pas d’ordre à leur donner mais vous oui , Professeur, vous avez été nommé Chef de la nouvelle ‘Division Scientifique C’ . Vous êtes l’équivalent d’un Major! Le caporal Gomez a été désignée pour être votre ordonnance ; elle est à votre disposition pour transmettre ou exécuter vos ordres … et pour toute autre mission d’ailleurs»

Walter regarda la blonde laborantine d’un œil torve, se demandant si elle était au courant de l’épisode de la fellation . Il imagina un instant sa collaboratrice dans le même exercice puis secoua la tête.

« Convoquez Gomez et mettons-nous au travail! »

Le caporal Gomez surgit dans le labo moins d’une minute plus tard. Comme son patronyme le suggérait, elle avait une ascendance ibérique marquée et portait d’ailleurs un treillis différent de celui des gardes (« les Espagnols sont dans le coup aussi? ») mais elle était aussi jolie dans son genre qu’Anne-Sophie.

Walter soupira intérieurement (« Heureusement que Niki est compréhensive! Ces deux-là sont une tentation permanente! »). Il lui donna ses instructions pour les prélèvements sur les deux captives et lui demanda

« Est-ce que les deux ..euh… patients de ce matin ont déjà été soumis au ‘M’? »

« Le sergent Matthew s’en occupe depuis l’aube. Ils sont presqu’à point! »

« OK ; on va se dépêcher. Anne-So, au travail! »

Ils travaillèrent de concert sur les deux échantillons à la fois et les incubèrent en même temps dans le mûrisseur

« Bon » dit Anne-Sophie « On a trois quart d’heure à attendre ; c’est le moment de faire plus ample connaissance! »

Elle se colla contre Walter et lova son corps mince et souple contre celui de son patron

« Vous savez Professeur, le seul désavantage de cette base, c’est qu’il n’y a aucune distraction valable … à part le sexe ; ce qui devient évidemment un avantage quand on aime ça! »

Walter l’enlaça et l’embrassa. Elle répondit à son baiser avec enthousiasme et en profita pour palper ses fesses.

« Carmen m’avait dit que vous avez des fesses bien dures et musclées…et que le reste est à l’avenant! »

Walter défit le premier bouton de la blouse sakarya escort blanche immaculée de la jeune femme puis le deuxième et continua en la regardant dans les yeux. Quand il eut ouvert tous les boutons, il écarta les pans de la blouse et siffla

« Si toutes mes collaboratrices ont la même tenue de travail, je vais finir par aimer cet endroit! »

La jeune laborantine ne portait en tout et pour tout qu’un porte-jarretelles et des bas noirs.

« J’ai lu dans le dossier de votre femme qu’elle appréciait ce genre de lingerie. Quant à l’absence du reste, je ne fais que respecter mes instructions : je dois être à votre entière disposition! »

Elle lui prit la main et l’entraîna dans le fond du labo et ouvrit une porte dissimulée par un paravent. Elle alluma la lumière via un interrupteur placé sur le côté et la lumière tamisée qui jaillit révéla non pas une nouvelle pièce de travail mais une véritable chambre avec un lit plutôt spacieux pour une seule personne.

« Voici notre pièce de repos au cas où nous ne pouvons pas rentrer chez nous et qui peut également servir à la relaxation »

Tout en s’approchant du lit, elle déboucla sa ceinture et défit le bouton de son pantalon . Elle palpa ensuite l’intérieur du vêtement, trouvant immédiatement l’objet de sa convoitise.

« Vous avez en effet besoin de relaxation, Professeur » dit-elle en s’attaquant aux boutons de sa chemise. En moins de deux, il se retrouva torse nu et le pantalon sur les chevilles. Elle s’assit sur le lit et emboucha sa verge dressée. Il posa ses mains sur sa tête pour guider ses mouvements, surpris que malgré sa séance prolongée avec Soise quelques heures auparavant, il soit encore aussi en verve.

Après quelques minutes d’une délicieuse succion, il décida de rendre la pareille, enjamba son slip et son pantalon et poussa Anne-So sur le lit. Il s’installa entre ses cuisses grand ouvertes et s’attaqua de la langue à son clitoris tout en pénétrant sa vulve avec deux doigts. Sa chatte était couverte d’une fine toison blonde soigneusement taillée qui était déjà bien humectée par ses sécrétions intimes.

« Uuugh » fit-elle dès le premier contact « Vous avez du talent Professeur! Cela me change agréablement de mon ancien uuh patron! »

Assez rapidement, elle commença à haleter puis à geindre

« Je .. vais … aah … venir .. » dit-elle sans que Walter ne sache si elle voulait qu’il arrête ou qu’il continue. Il choisit la deuxième option et après deux trois minutes de léchage intense, elle se cabra sur la couche, plaquant son sexe sur la bouche de son supérieur hiérarchique

« AAAAH! JE JOUIS! … C’EST BON … PROF!… VOUS …TU .. ME .. FAIS … AAAH! »

Walter attendit que les spasmes se calment et qu’elle arrête d’embrocher son vagin sur ses doigts pour remonter le long de son corps et venir l’embrasser une nouvelle fois, lui offrant ses lèvres couvertes de cyprine.

« Vous avez des coutumes d’accueil plus qu’intéressantes » lui dit-il , moqueur.

« Ce ne sont pas seulement des coutumes d’accueil, Professeur, c’est comme cela tout le temps. Comme je vous l’ai dit, il n’y a pas d’autre distraction dans la base et on s’est organisés pour lutter contre l’oisiveté. Carmen Gomez et moi, on fait équipe pour vous servir … ou nous satisfaire entre nous quand vous ne serez pas présent. Le sergent Matthew et son peloton féminin s’occupent du Colonel tandis que l’Hauptmann bénéficie des services des pelotons de gardes mâles … qui occupent les dortoirs à côté du peloton de Matthew. Je vous dis pas les orgies qui s’y organisent. »

« Il n y a que nous dans la base? »

« Dans la zone C, il n’y a que nous mais il y a sept autres départements soigneusement compartimentés où seul le Colonel a accès et d’après ce que je sais, ils sont au moins aussi actifs que nous sur le plan sexuel! Mais vous avez encore l’intention de parler ou est-ce qu’on pourrait poursuivre notre pause relaxation?»

Il la fit basculer sur lui en lui disant « Je suis un peu fatigué, Anne-Sophie, je préfère que vous preniez les commandes ce matin! »

Amusée, elle s’empara de sa verge et la présenta à l’entrée de son vagin puis s’empala sur le membre roide samsun escort de son patron.

« Mmmh , Prof, vous devez rendre votre femme heureuse avec cet engin! Aah, ça fait du bien …! Qu’est-ce que vous … aah… préférez , jouir dans … ooh .. mon con ou dans le … aah .. cul de Carmen …? »

« Votre con me satisfera ..humpf …pleinement ce matin, .. han … très chère! Nous envisagerons … le cul de aah .. Carmen un autre .. jouir .. jour .. humpf! »

« Alors.. ooh . ; dépêchez ..aah .. . vous .. Prof … ooh … Je pars … ENCORE … OUIIII! .. PROOOF! »

« JE … VIENS… AUSSI! .. ANNE-SOOO … OOH .. AARGH! »

La laborantine blonde se laissa retomber sur Walter , les yeux fermés, reprenant son souffle. Elle caressa son torse et ses épaules.

« Pour un scientifique, Prof, vous avez le corps d’un garde! Cela me change agréablement et Carmen va être ravie! »

« En parlant de la louve, elle est justement là!» se rendit compte Walter en découvrant la soldate dans l’embrasure de la porte. Elle montra les deux boîtes d’échantillons .

« J’ai ce que vous m’avez demandé Major! Et votre tenue de travail .. . » ajouta t’elle en montrant un cintre enveloppé de cellophane qui contenait des vêtements blancs.

« Le devoir vous appelle Prof! Je m’occupe de Carmen et je vous rejoins dans le labo »

Carmen s’était approchée du lit en faisant déjà sauter les boutons pressions qui fermaient son treillis et tendit le cintre à Walter qui s’était relevé. Pendant qu’il s’habillait, elle enleva ses bottillons et son uniforme. En dessous, elle portait un slip-short moulant et un soutien noirs d’un modèle que Walter n’avait encore jamais vu ; quelque part entre le body et un soutien de sport. Elle ôta son shlip comme il l’appela et vint se jucher sur le visage de la laborantine qui lécha son sexe sans attendre.

Walter revêtit l’uniforme blanc, une sorte de tenue de chirurgien avec des épaulettes et après avoir jeté un dernier coup d’œil sur le couple qui s’était maintenant allongé en 69, il entra dans le labo

(« Sacré tempérament cette Anne-So! » se dit-il)

Le mûrisseur avait terminé son travail et il prépara les diffuseurs tout en lançant l’incubation des échantillons féminins. Il entendait des cris orgasmiques provenant de la chambre de repos et se dit qu’il allait avoir du mal à garder la cadence . Il avait bien promis à Niki de ne plus utiliser le ‘pot lillois’ mais il avait déjà eu des idées pour une version ‘ light’ ou du moins sans danger. Il espérait que son labo disposait d’un accès à tous les produits dont il avait besoin pour cette nouvelle concoction.

Il se rendit à la salle de contrôle et transmis les diffuseurs à un des hommes de Votsörr qui contemplait, fascinée, le sergent Matthew prise en sandwich par deux de ses collègues tandis que les prisonniers hurlaient des imprécations en essayant d’agiter leurs sexes noircis par l’afflux sanguin.

Comme la veille, le garde sprinta vers la porte donnant sur la cellule et tendit les deux diffuseurs à son collègue qui venait de s’assouvir dans les fesses du sergent . il prit sa place et la sodomisa à son tour pendant que le collègue s’occupait d’asperger les deux captifs.

Walter se dit que Niki ne croirait jamais qu’une base secrète pouvait se transformer en un tel lupanar. Il regarda fasciné l’orientation sexuelle des deux terroristes virer à l’attraction homosexuelle réciproque tandis que Matthew et ses deux amants en terminaient et se rhabillaient. Après avoir libéré les deux hommes qui se jetèrent l’un sur l’autre, le sergent rejoignit le scientifique dans la salle de contrôle.

« J’adore votre nouvelle méthode d’interrogatoire Major! » dit-elle en le saluant militairement

« Vous avez une tâche mal placée » dit Walter en montrant en effet une trace humide qui s’élargissait à son entrejambe. »

« C’est pour les besoins du service … » répliqua t’elle .

Il retourna à son labo et lança le mûrisseur avec les échantillons féminins quand une nouvelle salve de cris de plaisir lui parvint de la chambre de repos. Curieux, il jeta un rapide coup d’œil : Anne-So était cramponnée aux cuisses du caporal Gomez et la léchait avec une détermination implacable tandis que celle-ci se broyait les seins maintenant débarrassés de son curieux soutien-gorge. Il recommença à bander mais dans son état de fatigue, il préféra battre prudemment en retraite et essaya de se concentrer sur la composition d’un nouveau ‘pot’ dopant moins dangereux que son ‘pot lillois’.

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Un grand hôtel aux Pyramides 02

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Marie Flo, les yeux clos, tressautait sur le gros vit en tenant ses loches à pleine main. Maintenant, elle gémissait de plaisir encouragée par la voix suave de Azzam qui chuchotait des obscénités en arabe. Au moment où Azzam lâchait son foutre dans une bordée de cris rauques, je me suis approché à une dizaine de centimètres à ses genoux pour mieux voir sa grosse hampe pistonnant les belles lèvres rouges du con clapotant de ma femme. Et je n’ai pas pu m’empêcher de lâcher à mon tour une giclée de sperme en voyant la semence d’Azzam couler sur ses cuisses tandis que ma femme était parcourue d’un immense frisson accompagné d’un râle que je ne lui avais jamais entendu.

Le salaud de serveur avait tout filmé en gros plan pendant ce temps mais j’étais trop en rut pour penser à ce qu’ils allaient faire de ce film.

Quelques instants plus tard et comme si de rien n’était, Azzam souleva Marie-Flo et la déposa doucement sur le fauteuil. Il se leva, son gros sexe dégonflé et luisant de cyprine, fit une petite courbette, me salua d’un air ironique et me laissa seul avec ma femme.

Un peu hagard, je la fis lever et sans mot dire l’entrainais sous la douche où je l’ai soigneusement lavée. Elle était comme une somnambule. Je l’ai rhabillée et entraînée rapidement à travers la chambre vers notre bungalow où elle s’est endormie immédiatement

Le lendemain, Marie-Flo ne semblait se souvenir de rien sinon m’a-t-elle dit, de rêves hyper bizarres qu’elle n’a pas voulu décrire. Moi je voulais partir de l’hôtel, mais comme il était prévu que nous restions encore deux nuits, all included, Marie-Flo a décrété qu’elle ne bougerait pas d’ici.

J’ai évité soigneusement de passer à la réception et dieu merci pas vu la figure de mon serveur ni celle du manager. J’avais presque fini par croire qu’il n’y aurait pas de conséquences et nous sommes partis visiter les pyramides et le Sphinx. Ma femme avait l’air détendue, ravissante avec son pantalon de toile et un t-shirt vert très moulant mais avec un foulard sur la tête

– je préfère porter ça dans ce pays avec tous ces hommes qui matent, avait-elle précisé — comme si les mecs ne regardaient pas ses gros seins tendant le t-shirt!

Notre visite se déroula sans incident, sauf vers la fin quand Pris d’une lubie elle insista pour faire une photo à dos de chameau dans les dunes. Un vieux chamelier nous avait alpagué et je n’étais pas très chaud mais elle insistait tellement que je finis par accepter. Marie-Flo monta en riant sur le chameau agenouillé, poussé par le vieux qui en profitait un max pour lui tâter la croupe sous couvert de l’aider. Au final, le chameau se redressa et nous commençâmes kütahya escort à marcher, le chamelier tenant la bête par le licol et moi à ses côtés filmant ma femme qui était très contente et ne semblait pas avoir noté les mains baladeuses du vieux. Au bout de quelques centaine de mètres, nous étions au creux d’une dune et je lui ai indiqué par signes que cela suffisait, et qu’il fallait retourner mais il a demandé dans un anglais très primitif si ma femme voulait voir ce que c’était que galoper. J’ai dit non bien sûr, mais Marie Flo a dit « yes » d’un ton enthousiaste et le chamelier sans m’écouter a fait agenouiller à nouveau sa monture et lestement pour son âge a grimpé en croupe derrière ma femme puis a lancé un cri et ils se sont élancés au petit trot. Eberlué, j’ai vu qu’il tenait fermement ma femme par les hanches tandis qu’ils s’éloignaient. J’ai couru après eux pour les filmer mais ils disparaissaient déjà derrière le sommet de la dune suivante. Lorsque j’y suis parvenu à mon tour tout essoufflé, j’ai vu heureusement que le type revenait mais dans mon viseur, j’ai vu que sa main entourait fermement la poitrine de ma femme et que le type la collait comme une arapède. Lorsqu’ils sont arrivés près de moi, j’ai bien vu que Marie Flo était toute rouge et ce n’était pas un coup de soleil. Le vieux est descendu prestement, une barre déformant sa djellaba crasseuse ; comme à regret, il à fait descendre ma femme qui l’a remercié ans le regarder. Je l’ai payé en grommelant et nous sommes partis. En rejoignant la route, je lui ai demandé

– ce vieux saligaud t’a peloté non?

– un peu a-t-elle répondu, le souffle court m’a-t-il semblé.

Je n’ai pas insisté et nous somme rentrés à l’hôtel où Azzam lui-même nous a accueilli.

– Je vous invite à un cocktail en fin d’après midi, pas habillé s’il vous plait a-t-il précisé avec un double sens qui a échappé à Marie-Flo mais pas à moi. J’ai commencé par refuser mais ma femme a accepté en me jetant un regard comme pour signifier que j’étais décidemment un ours.

– Très bien a dit Azzam, à 18h donc dans la salle du dernier étage avec vue sur les Pyramides.

A 18h 15, nous nous sommes présentés à l’entrée de la salle, moi, un peu nerveux, assez sobre en blazer et pantalon clair, Marie-Flo avec une combinaison noire, très échancrée sur un soutif noir transparent et de jolis escarpins rouges à talons élevés. Quatre de nos serveurs habituels, du room service ou de la piscine et de la réception formaient une haie d’honneur et se sont inclinés obséquieusement à notre passage. Marie-Flo leur a accordé un signe de tête un peu condescendant manisa escort et nous sommes entrés dans la salle proprement dite où Azzam est venu nous accueillir très courtoisement en baisant la main de mon épouse. À ses côtés, le serveur de la veille, impeccable dans son uniforme rouge, nous a tendu deux coupes puis, après s’être incliné une nouvelle fois, est sorti de la salle en fermant la porte derrière lui.

Azzam nous a entrainé près d’une baie vitrée donnant sur les pyramides dans le lointain et près de laquelle une table était dressée avec jus de fruits, amuse-gueules et pâtisseries.

Sur le mur diamétralement opposé, il y avait un gigantesque écran de télévision diffusant des images de la mer rouge qui dominait une sorte d’estrade pas très haute, un demi mètre au plus, couverte de tapis épais et de coussins et poufs multicolores.

– Nous somme seuls, a demandé ma femme étonnée?

– Pour l’instant, a dit Azzam, but enjoy, enjoy the view!

De fait, la vue, féérique, de Gizeh, a captivé ma femme et elle s’est mise à siroter tranquillement le breuvage que Azzam lui a tendu tout en décrivant par le menu une visite épique des pyramides qu’il avait organisé pour un lord anglais qui se prenait pour Carnavon. Pour ma part, je ne me sentais pas tout-à-fait à l’aise et je l’ai été encore moins

Lorsque Azzam m’a fait un clin d’œil et s’est approché silencieusement de ma femme qui avait le nez collé à la baie vitrée. Sans crier gare, il a fermement baissé les bretelles de sa combinaison sur ses épaules, emprisonnant ses bras du même coup et faisant apparaître ses gros seins et leurs belles aréoles à peine masqués par le soutif. Ma femme en est restée muette de saisissement.

– You have beautiful tits, de belles mamelles de salope, je crois que vous dites en français, a dit Azzam en soupesant les seins à travers le mince tissu. Comme s’éveillant de sa surprise, Marie-Flo a voulu remonter ses bretelles et lui lancer une baffe mais il a saisi son poignet au vol. Marie Flo m’a regardé incrédule

– Vous êtes fou, ai-je dit en m’avançant.

Azzam s’est marré et a reculé un instant pour admirer le spectacle de ma femme les puis a saisi une télécommande qu’il a négligemment actionnée.

Sur l’écran, les poissons bariolés ont disparu pour être remplacés par les images de notre arrivée la veille au soir dans le hammam, puis dans un fondu enchainé rapide, la scène dans la salle de massage lui a succédé. En voyant la gueule que je tirais, Marie-Flo s’est retournée et s’est vue en gros plan sur l’écran, cuisses écartées sur la table de massage, le sexe énorme de Azzam s’introduisant mardin escort dans son vagin et ses lèvres moustachues venant téter ses mamelles. Ma femme a ouvert la bouche en cul de poule dans un petit cri muet.

Le temps semblait suspendu et ma femme regardait les images y compris hélas celles où je me branlais furieusement.

– vous voyez Madame tout le monde profite, very good, non? Et cela reste entre nous of course. Vous ne voudriez certainement pas que ces images aillent à la police touristique. Dans mon pays c’est grave de faire du porno!

Il s’est à nouveau approché de Marie Flo qui avait un regard de bête traquée et cette fois, a baissé complétement sa combinaison. Ma femme s’est laissée faire comme dans un songe tout en regardant avec horreur son visage en train de jouir en gros plan sur l’écran. En quelques instants, elle était en escarpins, string noir et soutien-gorge transparent.

C’est à ce moment là que les serveurs qui nous avaient fait une haie d’honneur sont entrés les uns et les autres dans la pièce sous le regard paternel d’Azzam. Qui a eu une moue d’excuse :

– c’est un petit bonus pour eux, ils l’ont mérité!

Les serveurs regardaient alternativement l’écran puis le corps de ma femme en se palpant l’entre jambe. Nous étions pétrifiés, de vraies statues de sel. Le silence était total et le temps comme suspendu. Mais les horloges se sont remises à tourner et j’ai vu du coin de l’œil Azzam s’approcher de Marie-Flo, très gentleman, et la prendre gentiment par le coude pour l’entrainer vers l’estrade. Les quatre hommes ont suivi en silence. Azzam l’a galamment aidée à grimper et l’a suivie. Il a fait lentement pirouetter Marie-Flo sur elle-même, puis, d’une main leste a baissé son string sur les cuisses pour dégager son cul. Marie-Flo a eu un petit cri étranglé et tenté de le remonter.

Mais Azzam toujours souriant lui a dit

– montre ta croupe, putain.

Le réceptionniste, sorte de géant poilu du torse et chauve avait retiré complétement sa djellabah, exhibant un gros braquemart marronnasse avec un gland déjà luisant. Les autres entreprenaient à leur tour de se mettre à poil. Etait-ce un effet de sa petite taille, mais l’un des serveurs, un quasi nain, m’a semblé doté d’une bite de cheval incroyablement épaisse et longue. Les deux autres étant simplement convenablement montés pouvais-je juger de là où j’étais.

J’ai esquissé un mouvement pour aller vers Marie-Flo, mais le serveur de la veille est prestement venu me retenir avec un geste sans ambiguité m’intimant de me tenir tranquille.

Pendant ce temps, Azzam encourageait doucement Marie-Flo :

– Penche toi un peu en avant en mettant tes mains en appui sur tes cuisses voilà et tend bien tes jolies fesses qu’ils puissent tous voir la merveille.

Marie-Flo semblait dans un état second et s’offrait d’une manière tellement obscène que je dois le reconnaître avec honte, ,je me suis mis à bander.

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